Isabelle Bour dans (en) Anthony Mandal et B. C. Southam, The reception of Jane Austen in Europe, Londres, Continuum, , 424 p. (ISBN978-0-8264-6932-8, lire en ligne), p. 60.
Amanda Claybaugh, Mansfield Park, Introduction, Barnes & Noble Classics (présentation en ligne) p. XIX-XX.
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Il est possible que cet élément de l'intrigue soit inspiré de Cecilia, de Fanny Burney : quand Cecilia Beverley découvre que son amie, la pauvre et roturière Henrietta Belfield est tombée amoureuse du héros (Delvile, qu'elle aime en secret), parce qu'il s'est montré gentil à son égard, constatant, à cette occasion que le sentiment amoureux est « un serpent dans le jardin de l'amitié ». Voir Kristina Straub, Fanny Burney and feminine strategy (lire en ligne) p. 130-131.
Christine Raguet, De la lettre à l'esprit : traduction ou adaptation?, Palimpsestes N° 16, , 268 p. (ISBN9782878543100, présentation en ligne) L'adaptation larvée (p. 105-116).
(en) Jean Hart et Raphael Klayman, Emma, Research & Education Assoc., (lire en ligne), « Introduction », p. 1.
Lisa Zunshine, Bastards and Foundlings : Illegitimacy in Eighteenth-century England, Ohio State University Press, , 240 p. (ISBN9780814209950, lire en ligne), p. 197.
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(en) Jack Edmonds, « Hartfield », sur Jane Austen Society of Australia, (consulté le ).
À titre d'exemple, au chapitre III du volume I, Pierre de Puliga supprime tout le commentaire ironique de Jane Austen sur l'école de Mrs Goddard ; un peu plus loin, il traduit « Harriet Smith was the natural daughter of somebody » par un simple « Harriet Smith était une enfant naturelle », qui occulte totalement le caractère narquois de la remarque (voir la traduction de Pierre de Puliga sur Wikisource).