* Morris (1989) p. 204-211 écrit : "Tous les Israéliens qui furent témoins des événements furent d'accord que l'exode, sous un chaud soleil de juillet, fut un épisode de longue souffrance pour les réfugiés, particulièrement pour ceux de Lydda. Certains furent dépossédés par les soldats de leurs biens quand ils quittèrent la ville ou aux postes de contrôle le long du chemin… Peu de réfugiés moururent - de fatigue, déshydratation et maladie".
Morris (2003) p. 177, il écrit : "Une poignée, et peut-être des dizaines, moururent de déshydratation et de fatigue". Dans Morris (2004), p. 433, il écrit : "Quelques réfugiés moururent sur la route.", attribuant le chiffre de 335 morts à Nimr al-Khatib, qu'il qualifie d'"exagéré". * Gilbert (2008), p. 218-219 rapporte les chiffres de 355 morts et les propos du commandant britannique de la Légion arabe, Glub Pacha, selon lesquels : "on ne saura jamais combien d'enfants moururent." * Dans son introduction à l'article de Spiro Munayyer's "The Fall of Lydda", Journal of Palestine Studies, Vol. 27, No. 4, p. 80-98