Léon Delamarche (président de l'Association générale des étudiants de Paris), Les étudiants italiens à Paris, Revue de la Paix, Organe de la Société française pour l'Arbitrage entre Nations, janvier 1905, 10e année, numéro 1, page 19 :
Ce sont les délégués de la Corda Fratres, auxquels se sont joints les principaux membres de l'Association Universitaire de Turin, — en tout, deux cent quatre-vingt-quatre étudiants, — que l'Association Générale des Étudiants de Paris vient de recevoir et de fêter.
En 1995, Brigitte Larguèze, dans Statut des filles et représentations féminines dans les rituels de bizutage, témoigne de cette hostilité à l'apolitisme de la Faluche, qu'elle associe à l'adhésion aux abus du bizutage qu'elle dénonce. Au passage elle souscrit au concept de « syndicat politisé », ce qui n'est pas la position de tous les partisans du syndicalisme :
L'Ordre de la Faluche est intimement lié au réseau des associations étudiantes qui cultivent l'apolitisme et s'opposent aux syndicats étudiants politisés. Porter la faluche n'est donc pas un choix sans conséquence puisqu'il implique une prise de position très nette en faveur de la « neutralité » estudiantine. Les faluchards sont des partisans inconditionnels du bizutage et ses acteurs principaux car, pour eux, ce rituel est aussi l'expression et le moyen de transmission de traditions qu'ils revendiquent et souhaitent perpétuer. (note no 4 de bas de page 78)