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André Bouton indique qu'il était seigneur de Brains, les Touches, les Grandes-Métairies, la Gravelle, Vauguyon, Monceaux, Saint-Christophe, La Barberie, Mésimon, la Grande-Buchaille et autres lieux. Certaines sources l'indiquent également « seigneur de La Boussinière » ou encore « René Prud'homme, sieur de La Boussinière, seigneur de Brains, Les Touches, Les Métairies etc. ». Au sujet de la seigneurie de Monceaux, René Prudhomme de La Boussinière l'acheta pour 14 906 livres. L'ensemble comprenait la terre, fief et seigneurie et haute justice de Monceaux avec le fief de Sonnelle, situés sur les paroisses de Saint-Christophe-en Champagne et de Saint-Pierre-des-Bois, ainsi que le bordage de la Poussetière à Mareil en Champagne (La Province du Maine, Société Historique de la Province du Maine., (lire en ligne).).
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Le , « Messire (« Messire » était une qualification noble à l'époque féodale (Bulletin de la Société héraldique et généalogique de France, t. 1, (lire en ligne), p. 39) mais plus tard des non nobles prirent cette qualification « Un roturier, en effet, pouvait être propriétaire d'un domaine noble pourvu qu'il payât le droit de franc fief; il avait dès lors le droit de s’intituler seigneur de ce domaine et d'en porter le nom. Il faut reconnaître qu'en fait la plupart des seigneurs non nobles ont fini après quelques années par se faire attribuer les qualifications de messire » (Bulletin de la Société héraldique et généalogique de France, t. 1, 1879 (lire en ligne), p. 231). René Prudhomme, sieur de la Boussinière, bourgeois de la ville du Mans, rend foi et hommage au sieur P. Lefebvre de la Barre, à cause de son domaine fief, seigneurie et haute justice de Monceaux, paroisse de Saint-Christophe, relevant de la terre et seigneurie du Breil » (Julien Rémy Pesche, Dictionnaire topographique, historique et statistique de la Sarthe, volume 5, Monnoyer, 1841, p. 544 [lire en ligne].).
« Il sortait de cette bourgeoisie riche et libérale qui n'aspirait qu’à monter (...). Les Prudhomme, disait la malice populaire, avaient toujours su tirer parti de la gestion des affaires d'autrui » (René Bouton, La Province du Maine, 1960, page 104).
Thomas Cauvin, États du Maine, députés et sénéchaux, 1839, p. 48 [lire en ligne].
La Province du Maine, Société historique de la province du Maine, (lire en ligne), p. 209 : « Le 4 mai 1765, demoiselle Françoise Lefebvre, fille de M. Jean Lefebvre, écuyer, conseiller du Roy, contrôleur ordinaire des guerres, seigneur de Follet, les Exemples, Rambouillet, etc. épousa René-François Prudhomme des Touches ».
Paul Bois, Paysans de l'Ouest. Des structures économiques et sociales aux options politiques depuis l'époque révolutionnaire dans la Sarthe, Vilaire, (lire en ligne), p. 362.
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Antoine Bachelin-Deflorenne en 1886 liste un membre de cette famille dans un annuaire consacré à la noblesse française (Antoine Bachelin-Deflorenne, État présent de la noblesse française, 1886, p. 1590 [lire en ligne]). En 1959 Joseph Valynseele et Philippe Devillard la classent dans leur carnet mondain parmi les familles nobles avec un titre de vicomte (Joseph Valynseele et Philippe Devillard, Carnet des familles nobles ou d'apparence, édition Philippe du Puy de Clinchamps, 1959).
F. de Saint-Simon et É. de Séréville (en 1975) (Fernand de Saint-Simon, Étienne de Séréville Dictionnaire de la noblesse française, édition La société française au XXe siècle, 1975, p. 824) indiquent : « Noblesse inachevée par suite d’une charge de secrétaire du roi à la fin du XVIIIe. Anobli définitivement le 16 avril 1825 ». Selon Philippe du Puy de Clinchamps (Charondas) dans À quel titre (1970), la famille porte un titre emprunté de « comte » et fut anoblie par lettres en 1825 (Charondas, À quel titre, volume 37, Les Cahiers nobles, 1970.). D'après Nicolas Guerre cette famille fut anoblie définitivement en 1825.
André Münch, L'expertise en écritures et en signatures, Les éditions du Septentrion, 2000, 233 pages, (ISBN978-2-89448-145-5), pp. 17-18 [lire en ligne].
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Acte de mariage le de René-François Prudhomme des Touches avec Françoise Lefebvre, Registre paroissial de Saint-Pierre-du-Lorouër 1740-1765, 1MI 851, p. 136/139 [lire en ligne].
Registre paroissial de Rouez-en-Champagne 1779-1792, 1MI 1007, p. 190/273 [lire en ligne].
Registre paroissial de Loué 1736-1749, 1 MI 1172 [lire en ligne].
Registre paroissial de Mareil-en-Champagne 1673-1741, 1MI 1151, p. 371/558 [lire en ligne].
Registre paroissial de Loué 1736-1749, 1 MI 1172 [lire en ligne].
Registre paroissial de Brains-sur-Gée 1780-1792, 1 MI 1162 R1, p. 158/241 [lire en ligne].
[PDF] Mémoires d'un notable manceau au siècle des Lumières par Benoit Hubert, chercheur à l’université du Maine, professeur d'histoire-géographie et docteur en histoire moderne. Publié aux éditions Presses Universitaires de Rennes en 2007, page 281 [1].