Fantaisie en fa mineur (Schubert) (French Wikipedia)

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archive.org

  • Christofer Howard Gibbs (trad. La Vie de Schubert), The Life of Schubert, Cambridge University Press, , 240 p. (ISBN 978-0-521-59512-4, lire en ligne), pp. 161 et 150-151.
  • (de) Otto Erich Deutsch (trad. Franz Schubert : Index thématique de ses œuvres par ordre chronologique), Franz Schubert: Thematisches Verzeichnis seiner Werke in chronologischer Folg, Kassel, Bärenreiter, coll. « New Schubert Edition », , 736 p. (ISBN 9783761805718, ISMN 9790006305148, lire en ligne).
  • L’auteur de ce recueil de témoignages et de documents d’époque sur Schubert est le même Deutsch (1883-1967), que le musicologue qui a établi le catalogue systématique éponyme des œuvres de Schubert ; ce document est donc tiré du livre de : (de) Otto Erich Deutsch (trad. Franz Schubert. Les documents de sa vie et de son œuvre), Franz Schubert. Die Dokumente seines Lebens und Schaffens, Munich et Leipzig, éditeur original : Georg Müller, conservé et digitalisé par Harold B. Lee Library, Brigham Young University, , 734 p. (lire en ligne), p. 19.
  • (de) Otto Erich Deutsch (trad. Franz Schubert : Index thématique de ses œuvres par ordre chronologique), Franz Schubert: Thematisches Verzeichnis seiner Werke in chronologischer Folg, Kassel, Bärenreiter, coll. « New Schubert Edition », , 736 p. (ISBN 9783761805718, ISMN 9790006305148, lire en ligne), page 597.
  • (de) Otto Erich Deutsch (1883-1967) (trad. Franz Schubert. Les documents de sa vie et de son œuvre), Franz Schubert. Die Dokumente seines Lebens und Schaffens, Munich et Leipzig, éditeur original : Georg Müller , conservé et digitalisé par Harold B. Lee Library, Brigham Young University, , 734 p. (lire en ligne), p. 257.

bach-cantatas.com

bnf.fr

catalogue.bnf.fr

cosavostra.com

dev.cosavostra.com

  • Dans le cadre de la critique de disques de ce numéro de la Revue des deux mondes de septembre 2015, il s'agit d'une recension du CD Erato : 461669 9, présentant la Sonate D. 894, la Mélodie hongroise et la Fantaisie D. 940 de Schubert par David Fray et Jacques Rouvier : Jean-Luc Macia, « Un rêve, des jumeaux et des claviers », sur dev.cosavostra.com, Revue des deux mondes, (consulté le ), p. 171.

cultura.com

  • Présentation en ligne et recension critique de cet enregistrement du duo Tal & Groethuysen : « Schubert, Complete Piano Music for Four Hands », sur Cultura.com. Et présentation en ligne du concert du duo le 10 janvier 2020 à l’Université de Chicago : (en) UChicago presents, « Duo Tal & Groethuysen », sur Chicago University presents, (consulté le ).

di-arezzo.fr

  • Franz Schubert, Fantaisie en fa mineur op. 103 D. 940, partition établie par Willi Kahl, Henle Verlag, , 32 p. (ISMN 9790201801803, présentation en ligne). Même présentation ici : « Fantaisie en Fa Mineur », sur di-arezzo.fr (consulté le )

discogs.com

fayard.fr

  • On sait pourtant par Schindler, ami et biographe de Beethoven, que cette admiration profonde de Schubert pour son grand devancier était réciproque : après avoir lu longuement et intensément plusieurs partitions de Schubert et alors qu'il était déjà très malade, Ludwig lui aurait confié en s'exclamant : « Vraiment, en ce Schubert habite une étincelle divine ! — [ajoutant qu'il] ferait encore beaucoup de sensation dans le monde... et qu'il regrettait de ne pas l'avoir connu plus tôt ». Mais Schubert le sut-il jamais avec certitude ? Pour son bonheur et pour le nôtre permettons-nous d'espérer que oui, à l'instar de sa biographe, Brigitte Massin... On sait d'ailleurs par Anselm Hüttenbrenner et son frère Josef, amis de Schubert (Anselm ayant été son camarade d'études au Konvikt — collège de musique), qu'ils rendirent visite à Beethoven sur son lit de mort, mais celui-ci était au plus mal ; et aussi que Schubert participe, comme l'un des trente-six porte-flambeau qui entouraient le cercueil de Beethoven pendant le cortège (Brigitte Massin), à l'imposante cérémonie des funérailles du « plus grand compositeur de tous les temps ». Voir les sections Reconnaissance et Dernières années de l'article consacré à Schubert, et voir ce récit développé par la grande musicologue et biographe de Schubert ici : Brigitte Massin, Franz Schubert, Fayard, 1ère édition en 1977, éd. revue et corrigée en 1993, 1400 p. (ISBN 2213030049 et 978-2-213-63887-4, présentation en ligne, lire en ligne).
  • Brigitte Massin, Franz Schubert, Fayard, 1ère édition en 1977, éd. revue et corrigée en 1993, 1400 p. (ISBN 2213030049 et 978-2-213-63887-4, présentation en ligne, lire en ligne). [Voir aussi note "i" de la section : "L'écriture d'un compositeur en pleine possession de ses moyens"].
  • Brigitte Massin, Franz Schubert, Fayard, 1ère édition en 1977, éd. revue et corrigée en 1993, 1400 p. (ISBN 2213030049 et 978-2-213-63887-4, présentation en ligne, lire en ligne), p. 313.
  • Brigitte Massin, Franz Schubert, Fayard, 1ère édition en 1977, éd. revue et corrigée en 1993, 1400 p. (ISBN 2213030049 et 978-2-213-63887-4, présentation en ligne, lire en ligne), pp. 41 et 411.

francemusique.fr

free.fr

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  • (en) William Smith Rockstro (trad. Une histoire générale de la musique : de ses débuts dans le théâtre grec jusqu'à nos jours), A General History of Music : From the Infancy of the Greek Drama to the Present Period, Cambridge University Press, (ISBN 9781108064798, lire en ligne), pp. 330-331.
  • La phrase originale (traduite en anglais de l'allemand par Brian Newbould) est la suivante : « Schubert appears seriously in love with the Countess E. This pleases me about him. He’s giving her lessons.  » À retrouver ici : (en) Brian Newbould, Schubert Studies, Routledge, (ISBN 9781351549943, lire en ligne), p. 237.
  • (en) Brian Newbould, Schubert Studies, Routledge, (ISBN 9781351549943, lire en ligne), p. 237.
  • (en) Brian Newbould, Schubert Studies, Routledge, (ISBN 9781351549943, lire en ligne), p. 253.
  • Sont encore nombreuses en effet les controverses sur l'amour platonique voué par Schubert à Caroline Esterházy, dont la frustration sublimée en ferait l'origine de certaines de ses œuvres les plus belles et les plus déchirantes de sa fin de vie, justement en musique de chambre et piano quatre-mains ; ce qui place la jeune femme en position de « muse » et inspiratrice. Certains critiques en doutent, mettant en cause les sources, d'autres l'affirment s'appuyant sur des témoignages oculaires. Certains critiques évoquent même la possibilité d'une homosexualité de Schubert, bien cachée et peu attestée (mais rappelons que celle-ci était encore à l'époque punie d'enfermement), voir notamment : Jean-Luc Caron, « Schubert, déstabilisé par une maladie vénérienne incurable », sur ResMusica, (consulté le ). D'ailleurs, comme le dit Rita Seblin dans l'article ci-après référencé : The memoirs of Schubert’s friends are full of his devotion to Caroline Esterházy, but perhaps this “fact” is unknown to musicologists and theorists who for so long have preached that music is autonomous from biography. (« Les mémoires des amis de Schubert sont pleines de sa vénération pour Caroline Esterházy, mais ce "fait" est peut-être inconnu des musicologues et des théoriciens qui ont si longtemps prêché que la musique est autonome par rapport à la biographie. ») : (en) Rita Steblin, et réponse de Charles Rosen, « Schubert à la Mode », The New York Review of Books,‎ (lire en ligne). On trouvera des éléments pour informer cette controverse dans les témoignages cités, mais aussi dans les points de vue musicologiques, nuancés ou hostiles à l'hypothèse, dans les liens et ouvrages suivants : (en) Scott Messing (trad. Schubert dans l'imaginaire européen), Schubert in the European Imagination, University of Rochester Press, (ISBN 9781580462136, lire en ligne), p. 83 et suivantes. Et enfin : (en) Brian Newbould, Schubert Studies, Routledge, (ISBN 9781351549943, lire en ligne), p. 237.

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books.google.fr

  • On sait pourtant par Schindler, ami et biographe de Beethoven, que cette admiration profonde de Schubert pour son grand devancier était réciproque : après avoir lu longuement et intensément plusieurs partitions de Schubert et alors qu'il était déjà très malade, Ludwig lui aurait confié en s'exclamant : « Vraiment, en ce Schubert habite une étincelle divine ! — [ajoutant qu'il] ferait encore beaucoup de sensation dans le monde... et qu'il regrettait de ne pas l'avoir connu plus tôt ». Mais Schubert le sut-il jamais avec certitude ? Pour son bonheur et pour le nôtre permettons-nous d'espérer que oui, à l'instar de sa biographe, Brigitte Massin... On sait d'ailleurs par Anselm Hüttenbrenner et son frère Josef, amis de Schubert (Anselm ayant été son camarade d'études au Konvikt — collège de musique), qu'ils rendirent visite à Beethoven sur son lit de mort, mais celui-ci était au plus mal ; et aussi que Schubert participe, comme l'un des trente-six porte-flambeau qui entouraient le cercueil de Beethoven pendant le cortège (Brigitte Massin), à l'imposante cérémonie des funérailles du « plus grand compositeur de tous les temps ». Voir les sections Reconnaissance et Dernières années de l'article consacré à Schubert, et voir ce récit développé par la grande musicologue et biographe de Schubert ici : Brigitte Massin, Franz Schubert, Fayard, 1ère édition en 1977, éd. revue et corrigée en 1993, 1400 p. (ISBN 2213030049 et 978-2-213-63887-4, présentation en ligne, lire en ligne).
  • Brigitte Massin, Franz Schubert, Fayard, 1ère édition en 1977, éd. revue et corrigée en 1993, 1400 p. (ISBN 2213030049 et 978-2-213-63887-4, présentation en ligne, lire en ligne). [Voir aussi note "i" de la section : "L'écriture d'un compositeur en pleine possession de ses moyens"].
  • Brigitte Massin, Franz Schubert, Fayard, 1ère édition en 1977, éd. revue et corrigée en 1993, 1400 p. (ISBN 2213030049 et 978-2-213-63887-4, présentation en ligne, lire en ligne), p. 313.
  • Brigitte Massin, Franz Schubert, Fayard, 1ère édition en 1977, éd. revue et corrigée en 1993, 1400 p. (ISBN 2213030049 et 978-2-213-63887-4, présentation en ligne, lire en ligne), pp. 41 et 411.
  • Jean-Luc Macia, « Un rêve, des jumeaux et des claviers », Revue des deux mondes,‎ , p. 171 (lire en ligne, consulté le ).

harmoniamundi.com

homestead.com

lugansky.homestead.com

hyperion-records.co.uk

imdb.com

lalettredumusicien.fr

  • Christian Lorandin, « Schubert, l’œuvre pour piano à quatre mains : les lettres de noblesse d'un genre », Piano n° 11,‎ 1997-98, p. 24 (1 sur 5) (lire en ligne, consulté le ).

larousse.fr

  • Dictionnaire de la musique Larousse, « Franz Peter Schubert », sur Encyclopédie Larousse en ligne (consulté le ), § "De la prolixité à l'inhibition".
  • Ce mot célèbre de Schumann à propos de Schubert est diversement traduit. Par exemple : « l'expression de Schumann, "céleste durée" (au singulier !), demeure un perpétuel sujet de malentendu. » In : Dictionnaire de la musique Larousse, « Franz Peter Schubert », sur Encyclopédie Larousse en ligne (consulté le ), § "Le « chemin de la grande symphonie »".
  • Dictionnaire de la musique Larousse, « Franz Peter Schubert », sur Encyclopédie Larousse en ligne (consulté le ), § "Le « chemin de la grande symphonie »".
  • Dictionnaire de la musique Larousse, « Franz Peter Schubert », sur Encyclopédie Larousse en ligne (consulté le ), § "Une incomparable série de chefs-d'œuvre".

ledevoir.com

leducation-musicale.com

nybooks.com

  • Témoignage d'Eduard von Bauernfeld à retrouver chez : Ian Bostridge (trad. de l'anglais par Denis-Armand Canal), Le Voyage d'hiver de Schubert : anatomie d'une obsession [« Schubert's Winter Journey, anatomy of an Obsession »], Arles, Actes Sud, (1re éd. 2015 (en)), 442 p. (ISBN 2330077459, OCLC 1024315310). Ce témoignage est aussi évoqué par Rita Seblin ici : (en) Rita Seblin, « Schubert à la Mode », sur The New York Review of Books, (consulté le ), § 3.
  • Sont encore nombreuses en effet les controverses sur l'amour platonique voué par Schubert à Caroline Esterházy, dont la frustration sublimée en ferait l'origine de certaines de ses œuvres les plus belles et les plus déchirantes de sa fin de vie, justement en musique de chambre et piano quatre-mains ; ce qui place la jeune femme en position de « muse » et inspiratrice. Certains critiques en doutent, mettant en cause les sources, d'autres l'affirment s'appuyant sur des témoignages oculaires. Certains critiques évoquent même la possibilité d'une homosexualité de Schubert, bien cachée et peu attestée (mais rappelons que celle-ci était encore à l'époque punie d'enfermement), voir notamment : Jean-Luc Caron, « Schubert, déstabilisé par une maladie vénérienne incurable », sur ResMusica, (consulté le ). D'ailleurs, comme le dit Rita Seblin dans l'article ci-après référencé : The memoirs of Schubert’s friends are full of his devotion to Caroline Esterházy, but perhaps this “fact” is unknown to musicologists and theorists who for so long have preached that music is autonomous from biography. (« Les mémoires des amis de Schubert sont pleines de sa vénération pour Caroline Esterházy, mais ce "fait" est peut-être inconnu des musicologues et des théoriciens qui ont si longtemps prêché que la musique est autonome par rapport à la biographie. ») : (en) Rita Steblin, et réponse de Charles Rosen, « Schubert à la Mode », The New York Review of Books,‎ (lire en ligne). On trouvera des éléments pour informer cette controverse dans les témoignages cités, mais aussi dans les points de vue musicologiques, nuancés ou hostiles à l'hypothèse, dans les liens et ouvrages suivants : (en) Scott Messing (trad. Schubert dans l'imaginaire européen), Schubert in the European Imagination, University of Rochester Press, (ISBN 9781580462136, lire en ligne), p. 83 et suivantes. Et enfin : (en) Brian Newbould, Schubert Studies, Routledge, (ISBN 9781351549943, lire en ligne), p. 237.

on-mag.fr

partitions-musicales.net

  • Franz Schubert, Fantaisie en fa mineur op. 103 D. 940, partition établie par Willi Kahl, Henle Verlag, , 32 p. (ISMN 9790201801803, présentation en ligne). Même présentation ici : « Fantaisie en Fa Mineur », sur di-arezzo.fr (consulté le )

philharmoniedeparis.fr

pad.philharmoniedeparis.fr

  • Comme le confirme Lamour : « Durant toute sa courte vie, il passe à côté de tous les postes qui auraient pu améliorer son quotidien [il laisse passer, peut-être par défaut de manifestation de la force de sa motivation, à 24 et 29 ans, ses candidatures aux postes de "compositeur de la cour", puis de "second directeur musical à la chapelle de la cour royale et impériale"], se brouille avec ses éditeurs ou des collègues en raison de sa maladresse. Il rêve constamment, attend que ses amis se cotisent pour faire publier ses premières œuvres, et s’en tient à son rythme quotidien : composition le matin, café le midi, fête musicale entre amis le soir. », Jean-Marie Lamour, « Franz Schubert », sur Philharmonie de Paris (consulté le ).
  • Jean-Marie Lamour, « Franz Schubert », sur Philharmonie de Paris (consulté le ).
  • Jean-Marie Lamour, « Franz Schubert », sur Philharmonie de Paris (consulté le ), § « Un élan brisé à 26 ans ».
  • [C'est nous qui soulignons, NDLR] Angèle Leroy, « Schubert et ses sonates pour piano (introduction au concert de Daniel Barenboim consacré aux sonates de Schubert) », sur Philharmonie de Paris, (consulté le ), p. 5

resmusica.com

  • Bruno Serrou, « Franz Schubert, notre contemporain », sur ResMusica, (consulté le ).
  • Von Spaun, cité par Bruno Serrou dans « Franz Schubert, notre contemporain », sur ResMusica, (consulté le ).
  • Jean-Luc Caron, « Schubert, déstabilisé par une maladie vénérienne incurable », sur ResMusica, (consulté le ).
  • Sont encore nombreuses en effet les controverses sur l'amour platonique voué par Schubert à Caroline Esterházy, dont la frustration sublimée en ferait l'origine de certaines de ses œuvres les plus belles et les plus déchirantes de sa fin de vie, justement en musique de chambre et piano quatre-mains ; ce qui place la jeune femme en position de « muse » et inspiratrice. Certains critiques en doutent, mettant en cause les sources, d'autres l'affirment s'appuyant sur des témoignages oculaires. Certains critiques évoquent même la possibilité d'une homosexualité de Schubert, bien cachée et peu attestée (mais rappelons que celle-ci était encore à l'époque punie d'enfermement), voir notamment : Jean-Luc Caron, « Schubert, déstabilisé par une maladie vénérienne incurable », sur ResMusica, (consulté le ). D'ailleurs, comme le dit Rita Seblin dans l'article ci-après référencé : The memoirs of Schubert’s friends are full of his devotion to Caroline Esterházy, but perhaps this “fact” is unknown to musicologists and theorists who for so long have preached that music is autonomous from biography. (« Les mémoires des amis de Schubert sont pleines de sa vénération pour Caroline Esterházy, mais ce "fait" est peut-être inconnu des musicologues et des théoriciens qui ont si longtemps prêché que la musique est autonome par rapport à la biographie. ») : (en) Rita Steblin, et réponse de Charles Rosen, « Schubert à la Mode », The New York Review of Books,‎ (lire en ligne). On trouvera des éléments pour informer cette controverse dans les témoignages cités, mais aussi dans les points de vue musicologiques, nuancés ou hostiles à l'hypothèse, dans les liens et ouvrages suivants : (en) Scott Messing (trad. Schubert dans l'imaginaire européen), Schubert in the European Imagination, University of Rochester Press, (ISBN 9781580462136, lire en ligne), p. 83 et suivantes. Et enfin : (en) Brian Newbould, Schubert Studies, Routledge, (ISBN 9781351549943, lire en ligne), p. 237.
  • Patrice Imbaud, « Musique et silence : l’éternel retour », sur ResMusica, (consulté le ).

uchicago.edu

chicagopresents.uchicago.edu

  • Présentation en ligne et recension critique de cet enregistrement du duo Tal & Groethuysen : « Schubert, Complete Piano Music for Four Hands », sur Cultura.com. Et présentation en ligne du concert du duo le 10 janvier 2020 à l’Université de Chicago : (en) UChicago presents, « Duo Tal & Groethuysen », sur Chicago University presents, (consulté le ).

wikimedia.org

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  • Cet épisode, dans une traduction légèrement différente, et cette information sont aussi repris dans la biographie de Schubert écrite au XIXe siècle par Agathe Audley, Franz Schubert : sa vie et ses œuvres, Paris, Didier et Cie, , 365 p. (lire en ligne), pagination originale p. 108, pagination numérique p. 122.

wikipedia.org

en.wikipedia.org

wikisource.org

fr.wikisource.org

  • Stéphane Mallarmé, Poésies : édition complète contenant plusieurs poèmes inédits et un portrait, Paris, nrf, éditions de la Nouvelle Revue Française, 1914 (8e édition), pages totales réelles : 186, paginées : 172 (lire en ligne), p. 82.

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