Françoise Talvard, La Maîtrise de la cathédrale de Rodez au XVIIe et XVIIIe, Versailles, Centre de musique baroque de Versailles, coll. « Cahier Philidor » (no 31), , 36 p. (ISBN2-911239-46-6, OCLC469526569, BNF40024854, lire en ligne), p. 24–25.
Léonard Poisson, Traité théorique et pratique du plain-chant, appellé grégorien, Paris, Lottin & Butard, , 419 p. (OCLC504425323, BNF41264820, lire en ligne), p. 89.
Psaumes des dimanches et des fêtes solennelles en Faux-Bourdons, Beauvais, Au grand-Séminaire de Beauvais, , viii-95 (OCLC406981432, BNF36815334, lire en ligne)
abbé L. Chastain, Essai sur la tradition du chant ecclésiastique depuis saint Grégoire, Toulouse, E. Ratier, , viii-371 (OCLC457551771, BNF30227058, lire en ligne), p. 311
Eugène Cardine (trad. de l'italien par Marie-Elisabeth Mosseri), « Sémiologie grégorienne », Études grégoriennes, Abbaye Saint-Pierre, , p. 2 (ISBN2-85274-020-6, OCLC1017896045, BNF35351344) : « Or, les premiers copistes du chant grégorien, très imparfaits sur le plan diastématique (notation précise des intervalles mélodiques), ont, par contre, noté soigneusement la partie expressive, « musicale » de la mélodie. Les graphies les plus anciennes avaient donc une double signification : mélodique et expressive. Par la suite, on chercha à représenter toujours plus parfaitement les intervalles mélodiques, mais, tandis qu'on y parvenait, disparurent de plus en plus les particularités et les finesses interprétatives, et l'on en vint rapidement à écrire toutes les notes de façon identique. En raison de ce nivellement extérieur, le chant grégorien parut être — et devint, en fait — un « cantus planus », c'est-à-dire un chant privé de toute valeur expressive. Ce nom de « plain-chant » qui, aujourd'hui encore, désigne si souvent le chant grégorien, est à écarter, car il est l'expression d'un a priori faux. »
Françoise Talvard, La Maîtrise de la cathédrale de Rodez au XVIIe et XVIIIe, Versailles, Centre de musique baroque de Versailles, coll. « Cahier Philidor » (no 31), , 36 p. (ISBN2-911239-46-6, OCLC469526569, BNF40024854, lire en ligne), p. 24–25.
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Eugène Cardine, « Vue d'ensemble sur le chant grégorien », Études grégoriennes, Solesmes, Abbaye Saint-Pierre, , p. 8 (OCLC65491701).
Messe solennelle des morts : plain-chant & faux-bourdons du XIXe siècle [Cambrai, 1840] - Les Paraphonistes ; dir. Damien Poisblaud (1999, Sisyphe) (OCLC904554332).