92 × 72,5 cm. Collection particulière. Cité dans Laurence Bertrand Dorléac, Après la guerre, éditions Gallimard, coll. « Art et artistes », Paris, p. 58 (BNF42141329).
Charles Barachon, « L'Érotisme à double fond de Picabia », sur Playboy, (consulté le ) : « Car en ces temps de monstruosité nazie, ce qu'il a en tête en peignant cette scène, c'est la peinture allemande réaliste officielle de la propagande hitlérienne, notamment les innombrables nus pompiers néo-académiques de Wilhelm Hempfing à la gloire des corps de la "race germanique" et leur érotisme aguicheur. ».