Français québécois (French Wikipedia)

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  • La particule postverbale « -ti » a été notée pour la première fois dans Gaston Paris (1887). « Ti, signe d'interrogation. » Romania 6.438-442. Au XIXe siècle, cette particule était encore le moyen le plus répandu pour indiquer l'interrogation dans les dialectes de la langue d'oïl. Par contre, dans les variétés du français populaire dérivées de la koinè de Paris autres que celles parlées en Amérique du Nord, elle a été évincée au profit de la particule esk en position de complémenteur : « On a gagné » (indicatif) → « Esk on a gagné? » (interrogatif), Wittmann, Henri, « Grammaire comparée des variétés coloniales du français populaire de Paris du XVIIe siècle et origines du français québécois. » Le français des Amériques, dir. Robert Fournier & Henri Wittmann, 281-334. Trois-Rivières: Presses universitaires de Trois-Rivières (lire en ligne[PDF]).

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  • Bien que ce recul du « vous » ne soit pas accepté par tous les Québécois (voir David Abesdris et Martine Rioux, « J'vous tutoie-tu? », Jobboom, le magazine, s.d.), il est bien documenté dans la recherche scientifique : Lambert, Wallace E. (1967), « The use of tu and vous as forms of address in French Canada. A pilot study », Journal of Verbal Learning and Verbal Behavior 6.614–617 ; Lambert, Wallace E. & George R. Tucker (1976), Tu, vous, usted: A sociopsychological study of address patterns, Rowley, Newbury House ; Deshaies, Denise (1991). « Contribution à l'analyse du français québécois : étude des pronoms personnels », Revue québécoise de linguistique théorique et appliquée 10:3.11-40 ; Vincent, Diane (2001). « Remarques sur le tutoiement et le vouvoiement en français parlé au Québec », Actes du colloque « La journée du Québec », Institut d'études romanes, Université de Copenhague, 11-22 ; Peeters, Bert (2009). « Tu ou vous? », B. Peeters & N. Ramière (dir.s), « Tu ou vous : l'embarras du choix », Limoges, Lambert-Lucas.

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  • Marie-Hélène Côté, « La longueur vocalique devant consonne allongeante en contexte final et dérivé en français laurentien », In: Carmen LeBlanc, France Martineau & Yves Frenette (éd.), Vues sur les français d’ici, Québec: Presses de l’Université Laval, 2010, p. 49-75 ; (lire en ligne[PDF]) Dumas (1987), p. 123-130. La règle de diphtongaison est bloquée dans les voyelles allongées par l'action d'une des consonnes allongeantes [v, z, ʒ] (incluant le groupe acrolectal [vʁ]) : rénove, innove, neuve, fleuve, veuve, grève, élève, chèvre, trêve, bave, épave; loge, toge, éloge, horloge, Limoges, cage, allège, p'tit dèj ; quiz, taise, plaise, topaze, jazz, Caucase. Par contre, quand l'allongement est intrinsèque à la syllabe, la règle de diphtongaison s'applique : vive, cuve, couve, rêve, fève, orfèvre, Lefebvre, poivre, sauve, cadavre, esclave ; vise, frise, buse, douze, cinq, seize, creuse, cause, gaz, jase; tige, juge, bouge, neige, sauge, nage, âge. Un cas à part est le suffixe « -age » : dans l'Ouest du Québec, la structure sous-jacente du suffixe est /ɑʒ/ (avec longueur intrinsèque, prononcé âge dans le basilecte) et la diphtongaison s'applique ; à l'Est du Québec, la structure sous-jacente du suffixe est /aʒ/ (avec allongement dû à la consonne /ʒ/, prononcé aj comme dans AGE « association générale des étudiants ») et la diphtongaison ne peut s'appliquer.

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uqac.ca

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