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L'Uruguayen Gonzalo Mosca affirme être parvenu à fuir la dictature argentine grâce à l'aide personnelle du père Bergoglio. En 1977, le jeune réfugié était membre du GAU (Groupe d'action unificatrice), un mouvement de gauche opposé à la dictature uruguayenne. Recherché par les autorités militaires uruguayennes, il était parvenu à fuir vers Buenos Aires, mais il se trouvait du coup placé sous la menace des militaires argentins. Son frère, un prêtre jésuite, a alors sollicité l'aide du père Bergoglio, à la tête de l'ordre en Argentine. La nuit même, Jorge Bergoglio conduisit les deux frères dans un couvent de San Miguel, à 30 km de Buenos Aires. « À cette époque, la répression en Argentine était très forte […] je me demandais si le père [Bergoglio] était véritablement conscient de ce qui était en jeu » a expliqué l'Uruguayen. Au bout de quelques jours, Bergoglio le conduisit jusqu'à l'aéroport, afin qu'il puisse rejoindre la ville touristique d'Iguazu, près de la frontière brésilienne. Cf. AFP, « Un Uruguayen dit avoir fui la dictature argentine grâce au pape François »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur liberation.fr, (consulté le ).
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Son nom de pontificat est « simplement » François, bien que les médias (y compris Radio Vatican, cf. « Habemus Papam, cardinalem Bergoglio, François Ier ») l'aient désigné dans un premier temps, lors de son élection, sous le nom de François Ier. Le directeur du bureau de presse du Saint-Siège Federico Lombardi a précisé que cette désignation était anachronique et trop hâtive, et que le pape ne sera appelé officiellement — et rétrospectivement — François Ier que le jour où l'un de ses successeurs choisira le nom de François II (cf. Le Monde avec AFP, « François Ier ou François ? », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )). Cependant cette règle n'est pas toujours respectée puisque, lors de l'élection de Jean-Paul Ier en 1978, le cardinal protodiacre présenta celui-ci à la foule sous le nom de Ioannes Pauli I (primi) et non Ioannes Pauli (cf. Vidéo de l'élection de Jean-Paul Ier en 1978 sur You Tube). Ce choix de François, au lieu de François Ier, est selon le Vatican le vœu de Jorge Mario Bergoglio (source : Judith Duportail, « Sept choses à savoir sur le pape François », Le Figaro, (lire en ligne).
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Brunelli publie dans la revue géopolitique Limes le journal tenu pendant les deux jours du conclave d'avril 2005 par un cardinal ; cf. (it) Lucio Brunelli, « Così eleggemmo papa Ratzinger », Limes, no 4, , p. 291-300 (lire en ligne).
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"35. Tout cela constitue un champ d'action vaste et fécond pour l'engagement et les luttes, au nom de la justice, des syndicats et des autres organisations de travailleurs qui défendent les droits de ces derniers et protègent leur dignité, alors qu'ils remplissent en même temps une fonction essentielle d'ordre culturel, en vue de les faire participer de plein droit et honorablement à la vie de la nation et de les aider à progresser sur la voie de leur développement.
Dans ce sens, on peut parler à juste titre de lutte contre un système économique entendu comme méthode pour assurer la primauté absolue du capital, de la propriété des instruments de production et de la terre sur la liberté et la dignité du travail de l'homme (73). En luttant contre ce système, on ne peut lui opposer, comme modèle de substitution, le système socialiste, qui se trouve être en fait un capitalisme d'État, mais on peut opposer une société du travail libre, de l'entreprise et de la participation. Elle ne s'oppose pas au marché, mais demande qu'il soit dûment contrôlé par les forces sociales et par l'État, de manière à garantir la satisfaction des besoins fondamentaux de toute la société.
"L'Église reconnaît le rôle pertinent du profit comme indicateur du bon fonctionnement de l'entreprise. Quand une entreprise génère du profit, cela signifie que les facteurs productifs ont été dûment utilisés et les besoins humains correspondants convenablement satisfaits.
Cependant, le profit n'est pas le seul indicateur de l'état de l'entreprise. Il peut arriver que les comptes économiques soient satisfaisants et qu'en même temps les hommes qui constituent le patrimoine le plus précieux de l'entreprise soient humiliés et offensés dans leur dignité. Non seulement cela est moralement inadmissible, mais cela ne peut pas ne pas entraîner par la suite des conséquences négatives même pour l'efficacité économique de l'entreprise"
L'Uruguayen Gonzalo Mosca affirme être parvenu à fuir la dictature argentine grâce à l'aide personnelle du père Bergoglio. En 1977, le jeune réfugié était membre du GAU (Groupe d'action unificatrice), un mouvement de gauche opposé à la dictature uruguayenne. Recherché par les autorités militaires uruguayennes, il était parvenu à fuir vers Buenos Aires, mais il se trouvait du coup placé sous la menace des militaires argentins. Son frère, un prêtre jésuite, a alors sollicité l'aide du père Bergoglio, à la tête de l'ordre en Argentine. La nuit même, Jorge Bergoglio conduisit les deux frères dans un couvent de San Miguel, à 30 km de Buenos Aires. « À cette époque, la répression en Argentine était très forte […] je me demandais si le père [Bergoglio] était véritablement conscient de ce qui était en jeu » a expliqué l'Uruguayen. Au bout de quelques jours, Bergoglio le conduisit jusqu'à l'aéroport, afin qu'il puisse rejoindre la ville touristique d'Iguazu, près de la frontière brésilienne. Cf. AFP, « Un Uruguayen dit avoir fui la dictature argentine grâce au pape François »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur liberation.fr, (consulté le ).
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