François Panigarole (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "François Panigarole" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
215th place
551st place

google.it

books.google.it

  • Antoine Péricaud, Notes et documents pour servir a l'histoire de Lyon : Pendant la Ligue. 1589 - 1594, vol. 2, Lyon, Mougin-Rusand, (lire en ligne), p. 46

    « Vers le même temps passèrent à Lyon plusieurs personnages distingués ; Pierre Bullioud, qui étoit alors procureur du roi, eut un jour l’honneur de les recevoir dans sa maison (rue du Bœuf), et de leur donner un banquet qui rappela celui d’Agathon, ou plutôt celui dont Sidoine Apollinaire parle dans ses lettres (IX, 15). Ces illustres convives étoient Gilbert Genebrard, archevêque d’Aix, François Panigarole, Robert Bellarmin, Matthieu de Vauzelles (fils de Matthieu, ancien échevin, mort en 1562) ; le père Bernardin Castor, professeur de Rhétorique au collège de la Trinité, et Jean Hay, jésuite écossais, professeur de Théologie, auxquels il faut ajouter leur Amphitryon, Pierre Bullioud. »

  • Claude Bernard Petitot, Collection complete des memoirs relatifs a l’histoire de France, depuis le regne de Philippe Auguste, vol. 46, Paris, Foucault, Libraire, Rue de Sorbonne, n° 9, , 115-116 p. (lire en ligne)

    « En cest an 1590, pour tousjours entretenir le peuple de Paris en ses dévotions, et lui donner aide et confort en ses misères, M. le legat donna charge à Panigarole, evesque d’Ast, italien, homme docte et fort patethique et persuasif, de prescher. Ce qu’il fist dans l’église de Nostre-Dame de Paris, avec grand concours et affluence de peuple, principalement de dames et damoiselles, ausquelles la façon de Panigarole revenoit fort ; et là combattoit, par beaucoup de vifs et subtils argumens, l’hérésie et l’hérétique, tendant tous aux fins de non recevoir le Roy de Navarre pour roy : qui estoit l’unique but et subject de ses predications, comme estoit celui de tous les predicateurs de Paris. A quoi il s’emploioit fort bien, mais sans colère et sans injures, qui estoient ordinaires aux chaires des autres. »