« […] tout le Peuple Gaullois a de tout temps eü foy & creü la figne Immortalité de l’Ame. Voire & tant s’en fault, que les habitans de telle Region ayet iamais rien eü de l’Atheisme, qu’encor’ a present ilz ont non seullement le Nom par-dessus tous autres Peuples de Treschrestiens & d’obseruer l’Immortalité de leurs Ames cõme leurs Peregrans, mais aussi celles des Proces, pensans y trouuer la perfection de Iustice a l’hõneur du Nom Gaulloys. »« Le fort inexpugnable du sexe féminin, construit par Françoys de Billon, secrétaire », J. d’Allyer, Paris, 1555.
erudit.org
Renée-Claude Breitenstein, « Traduction, transferts culturels et construction des publics dans deux éloges collectifs de femmes de la première moitié du XVIe siècle », Études françaises, vol. 47, no 3, , p. 91-107 (lire en ligne)