(en) Ioannis-Dionysios Salavrakos, « Russian Versus Soviet Military Mobilization in World Wars I and II : A Reassessment », Saudi Journal of Humanities and Social Sciences, vol. 2, no 2, , p. 155-168 (e-ISSN2415-6256, DOI10.21276/sjhss.2017.2.2.8).
(en) Ioannis-Dionysios Salavrakos, « Russian Versus Soviet Military Mobilization in World Wars I and II : A Reassessment », Saudi Journal of Humanities and Social Sciences, vol. 2, no 2, , p. 155-168 (e-ISSN2415-6256, DOI10.21276/sjhss.2017.2.2.8).
Dans ses Mémoires (revue Discobolul, oct.-décembre 2009, sur [1]) le capitaine Titus Bărbulescu raconte avoir échappé à cette « épuration déguisée » en revêtant un uniforme de simple soldat. Plus tard, fait prisonnier par les Allemands en Hongrie, détenu à Linz et libéré par les Américains, il échappe une seconde fois au Goulag grâce à son français parfait, en se faisant passer pour Jean Bescon, un prisonnier français qui, ayant trouvé l'amour en Autriche, lui laissa son paquetage et sa carte : ainsi, Bărbulescu fut envoyé en France au lieu d'être livré aux Soviétiques, comme l'étaient ses compatriotes…
radiofrance.fr
Le tour du Monde Idée et Brice Couturier, « Comment Poutine réécrit l'histoire de la Russie pour justifier sa politique impérialiste », France Culture, (lire en ligne)
Brice Couturier, « Le Régiment immortel, ou quand Poutine embrigade les morts avec les vivants : Le tour du monde des idées », France Culture, (lire en ligne)
G. F. Krivosheev (trad. Christine Barnard, préf. John Erickson), Soviet casualties and combat losses in the twentieth century, London Pennsylvania, Greenhill Books Stackpole Books, , 290 p. (ISBN978-1-85367-280-4, OCLC36884089).
D'après G. F. Krivosheev (trad. Christine Barnard, préf. John Erickson), Soviet casualties and combat losses in the twentieth century, London Pennsylvania, Greenhill Books Stackpole Books, , 290 p. (ISBN978-1-85367-280-4, OCLC36884089) sur le front de l'Est, les morts des pays alliés de l'Allemagne se montent à 668 163, ceux de l'Allemagne à 3 604 000 plus les 550 000 prisonniers morts dans les camps soviétiques soit un total de 4,8 millions soit plus de la moitié des pertes militaires de l'Axe au cours de la guerre (Europe et Pacifique). Du côté soviétique, les pertes militaires sont de 10,5 millions (incluant les prisonniers morts dans les camps allemands, d'après Vadim Erlikman, Poteri narodonaseleniia v XX veke : spravochnik, Moscou, 2004 (ISBN5-931-65107-1)), et les pertes civiles s'élèvent à 15,7 millions. Soit un total de 15 millions de morts militaires et 15,7 millions de morts civiles. Les pertes civiles allemandes et des autres pays d'Europe orientale ne sont pas incluses dans ce total.
zf.ro
Articles du journal Ziua (« Le Jour ») no 3723 du vendredi 8 septembre 2006, du Jurnalul Național du mardi 5 décembre 2006, et du Ziarul Financiar du 23 juin 2006 sur Ziarul Financiar, 23 iunie 2006 - Războiul din Est.