Voir le texte du discours pages 125 à 154 du Bulletin mensuel de l'Académie Delphinale, volume 6, 1870. Gabriel Monavon avait choisi de rendre hommage à Lamartine pour deux raisons : il l'admirait beaucoup et celui-ci venait juste de disparaître l'année auparavant.
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En janvier 1869, Gabriel Monavon est précisément juge de paix du canton nord-ouest de Grenoble, comme cela est mentionné dans un article du Département de l'Ain, Journal de l'Ain, Feuille politique, littéraire et industrielle, 13 janvier 1869, page 3, 1re colonne :
« Cette décision qui fait l'objet d'un décret impérial, a été prise à l'occasion de la demande de M. Mollard, tendant à obtenir l'autorisation de poursuivre, devant le tribunal correctionnel de Grenoble, M. Monavon, juge de paix du canton nord-ouest de ladite ville, pour diffamation à son égard. M. Mollard a été renvoyé à se pourvoir devant la cour de Grenoble. ».
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Les pièces marquées d'un asterisque nous ont été communiquées par M. Edm. Maignien qui possède, dans sa collection, plusieurs manuscrits autographes de l'auteur, par ex. : La Sérénade in extremis, Ascanio et Perditta (4 strophes), Les Seins.
Parmi les poésies insérées dans les revues, le « Sonnet à Laure » fut publié dès le 12 juillet 1851 dans le Courrier de Vaucluse. Quant au « Nid », il fut attribué à Théophile Gautier et publié dans ses Œuvres posthumes. On a dit que les poésies de Monavon rappellent certaines pages d'Émaux et Camées. (Note de Léon Côte et Paul Berthet)