Tim Paterson, l'auteur de QDOS, « admet sans ambages qu'il a ouvert son manuel de référence de CP/M et a repris chacun des appels au système ». On n'est pas aujourd'hui accusé de plagiat pour cela. Ironie du sort, quelques-unes des ressemblances qu'il a introduites entre CP/M et MS-DOS l'étaient à la demande même d'IBM. Voir : Jimmy Maher, « The complete history of the IBM PC, part two: The DOS empire strikes », site arstechnica, , consulté le . Autre ironie : c'est le principe même des degrés d'architecture, dont Kildall était partisan, qui a rendu son malheur possible.
Tekla S. Perry, « CP/M creator Gary Kildall’s memoirs released as free download », 2016. Ses enfants ajoutent que la seconde partie des mémoires de leur père ne sera pas publiée, car elle reflète surtout sa lutte contre l'alcoolisme. C'est dans cette partie qu'on trouverait sa version des événements principaux de sa carrière.
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D’après Tom Rolander, « Eulogy », sur Tom Rolander's website and album, (consulté le ).