Le célèbre imposteur George Psalmanazar, originaire de la basse vallée du Rhône est décrit comme parlant français « avec un fort accent gascon » par Charles-Athanase Walckenaer, Vies de plusieurs personnages célèbres : des temps anciens et modernes, Laon, 1830, [lire en ligne]
Charles de Tourtoulon Octavien Bringuier, Étude sur la limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oïl (avec une carte), Paris, 1876, Imprimerie Nationale [lire en ligne] - rééd. 2004, Masseret-Meuzac : Institut d’Estudis Occitans de Lemosin/Lo Chamin de Sent Jaume
Achille Luchaire, Études sur les idiomes pyrénéens de la région française, Édition Maisonneuve, (lire en ligne)
badw-muenchen.de
dom.badw-muenchen.de
« Qu’un dictionnaire de l’occitan médiéval inclut le gascon, c’est là une option qui de nos
jours n’a plus besoin de se justifier, malgré le témoignage des Leys d’Amors et du
fameux Descort de Raimbaut de Vaqueiras qui, comme on sait, comptent le gascon à
l’égal du français, de l’italien, etc. parmi les langues étrangères. C’est que, malgré tout ce
qu’on a pu avancer, la composante occitane du gascon semble être trop manifeste pour
qu’on la sacrifie à ses idiosyncrasies. », Introduction au Dictionnaire de l'occitan médiéval (DOM), Fascicule 1, éd. W.D. Stempel, Tübingen 1996, p. VIX [1]
books.google.com
Gerhard Rohlfs, Le Gascon : Études de philologie pyrénéenne, Tübingen; Pau, Verlag Max Niemeyer ; Marrimpouey Jeune, coll. « Beihefte zur Zeitschrift für romanische Philologie », , 2e éd. (1re éd. 1935), 252 p. (ISBN9783484520257 et 3484520256, OCLC3345494, lire en ligne), p. 1. — « Si l’on s’est habitué à considérer le catalan comme une langue à part, il faudra, certes, rendre le même honneur au gascon. ».
Alain Viaut cite le dictionnaire languedocien de l'Abbé de Sauvages (1785) : D'où il résulte que non seulement le provençal, mais tous les idiomes gascons des provinces méridionales sont du ressort de notre dictionnaire. Alain Viaut, « Pratiques et représentations de l'occitan en Aquitaine », in Variable territoriale et promotion des langues minoritaires, MSHA, 2007, p. 146 [lire en ligne]
Gerhard Rohlfs, Le Gascon : Études de philologie pyrénéenne, Tübingen; Pau, Verlag Max Niemeyer ; Marrimpouey Jeune, coll. « Beihefte zur Zeitschrift für romanische Philologie », , 2e éd. (1re éd. 1935), 252 p. (ISBN9783484520257 et 3484520256, OCLC3345494, lire en ligne).
Département d'études régionales de l'Institut universitaire de recherche scientifique, L'image littéraire du Gascon: 2e Colloque de littérature régionale, FeniXX réédition numérique, (ISBN978-2-307-15801-1, lire en ligne)
cg33.fr
J'aurai le plaisir tout à l'heure de vous offrir le dictionnaire toponymique de la Gironde qui révèle les racines occitanes de nombreux noms et patronymes liés à l'histoire de notre département., discours du président du conseil général Philippe Madrelle le 20 mai 2009 En ligne
Philippe Lartigue, « Origine et limites de la langue gasconne », sur le site du Conservatoire du Patrimoine de Gascogne (consulté le ) : « La phonétique, le lexique et parfois même la syntaxe propres au gascon possèdent un fort substrat vasco-aquitain […] »
education.gouv.fr
Ainsi le Bulletin officiel de l'Éducation Nationale du 14 avril 2011 donne la Liste des académies et des collectivités d'outre-mer dans lesquelles peuvent être subies les épreuves obligatoires de langues vivantes autres qu'allemand, anglais, espagnol et italien - session 2011 : pour le gascon-langue d'oc, il s'agit des académies de Bordeaux, Toulouse, Créteil, Versailles, Paris.
Institut béarnais et gascon. Voir par exemple l'article de J. Lafitte et G. Pépin, « Les domaines d'oc, si et oïl, selon Dante », en ligne, qui entend prouver que le gascon ne fait pas partie de la langue d'oc et qui affirme : « Et plus encore, Internet conditionne l'opinion mondiale avec Wikipédia, l'“Encyclopédie libre” »
larousse.fr
La langue se divise en trois grandes aires dialectales : le nord-occitan (limousin, auvergnat, vivaro-alpin), l'occitan moyen, qui est le plus proche de la langue médiévale (languedocien et provençal au sens restreint), et le gascon (à l'ouest de la Garonne). in Encyclopédie Larousse
Encyclopédie Larousse : Le mot « Gascogne » ne s'applique qu'à l'aire des parlers gascons.
François Fontan, La nation occitane, ses frontières, ses régions 1969, rééd. de 2002 en ligne n° spécial de Lo Lugarn
revistadoc.org
Classification de X. Ravier d'après l’Atlas linguistique de Gascogne. Reprise notamment par D. Sumien, « Classificacion dei dialèctes occitans », Linguistica occitana, 7, septembre 2009, en ligne
sil.org
iso639-3.sil.org
Le gascon n'a plus de code ISO 639-3, gsc est déprécié depuis 2007 : (en) « Gascon [gsc] », sur sil.org (consulté le ).
ulaval.ca
tlfq.ulaval.ca
Institut béarnais et gascon. Voir par exemple l'article de J. Lafitte et G. Pépin, « Les domaines d'oc, si et oïl, selon Dante », en ligne, qui entend prouver que le gascon ne fait pas partie de la langue d'oc et qui affirme : « Et plus encore, Internet conditionne l'opinion mondiale avec Wikipédia, l'“Encyclopédie libre” »
« Gascon » in Christopher Moseley, Atlas of the World’s Languages in Danger, 2010, 3e éd., Paris, UNESCO Publishing. [lire en ligne].
worldcat.org
Gerhard Rohlfs, Le Gascon : Études de philologie pyrénéenne, Tübingen; Pau, Verlag Max Niemeyer ; Marrimpouey Jeune, coll. « Beihefte zur Zeitschrift für romanische Philologie », , 2e éd. (1re éd. 1935), 252 p. (ISBN9783484520257 et 3484520256, OCLC3345494, lire en ligne), p. 1. — « Si l’on s’est habitué à considérer le catalan comme une langue à part, il faudra, certes, rendre le même honneur au gascon. ».
Gerhard Rohlfs, Le Gascon : Études de philologie pyrénéenne, Tübingen; Pau, Verlag Max Niemeyer ; Marrimpouey Jeune, coll. « Beihefte zur Zeitschrift für romanische Philologie », , 2e éd. (1re éd. 1935), 252 p. (ISBN9783484520257 et 3484520256, OCLC3345494, lire en ligne).
Par exemple en ce qui concerne la chute du n intervocalique (latin lunam > gascon lua (lune) : « Las denominaciones romances de los pueblos vascos presentan hoy, por lo general, la forma vasca arcaica, la más conservadora. La razón se debe a que romance y vascuence han evolucionado de diferente forma. En efecto, en su evolución, en castellano no ha caído la -n- intervocálica latina, a diferencia del euskera, gascón, gallego y portugués. El proceso de caída de -n- intervocálica y de nasalización vocálica, comenzó hace casi un milenio. Los siguientes topónimos nos sirven para conocer la evolución que ha seguido el euskera en los últimos 1000 años », xarnege.com, paragraphe Aproximación a la evolución de los topónimos vascos