Gaulois (peuples) (French Wikipedia)

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academia.edu

archive.org

  • Théophile-Malo de La Tour d'Auvergne-Corret, Origines gauloises. Celles des plus anciens peuples de l'Europe puisées dans leur vraie source ou recherche sur la langue, l'origine et les antiquités des Celto-bretons de l'Armorique, pour servir à l'histoire ancienne et moderne de ce peuple et à celle des Français, Hambourg, F.F. Fauche, (lire en ligne).

bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • Hector du Lac de la Tour d'Aurec, Précis historique et statistique du département de la Loire : Forest. [Volume 1], Le Puy, (lire en ligne).
  • Hector du Lac de la Tour d'Aurec, Précis historique et statistique du département de la Loire : Forest. [Volume 1], Le Puy, impr. J. B. La Combe (Puy), (lire en ligne)

catalogue.bnf.fr

books.google.com

  • Le premier but de la chasse n'est pas alimentaire. La chasse aux lièvres ou aux cervidés répondrait à une nécessité de protection des cultures ou de travail du bois de cerf pour les parures. L'élite pratique la chasse à courre, notamment celle du sanglier, qui « représente une forme d'entraînement au combat et un signe social distinctif ». Cf Roland Jussiau, Louis Montméas et Jean-Claude Parot, L'élevage en France : 10 000 ans d'histoire, Educagri Editions, (lire en ligne), p. 118.
  • En réalité, les nobles peuvent s'offrir des rasoirs de bonne qualité, et livrer chaque jour leurs joues à un barbier, seul à les manier avec un aiguisage soigné. Les pauvres se laissent pousser modérément cheveux et barbe, de façon à pouvoir les couper à l'aide de ciseaux. Cf Jean-Louis Brunaux, Voyage en Gaule, Le Seuil, (lire en ligne).
  • Sarunas Milisauskas, European Prehistory : A Survey, Springer, 2002 (ISBN 0-306-47257-0), , 445 p. (ISBN 978-0-306-47257-2, lire en ligne), p. 363.
  • H. D. Rankin, Celts and the classical world, Routledge, 1998 (ISBN 0-415-15090-6), , 328 p. (ISBN 978-0-415-15090-3, lire en ligne).
  • Jean-Louis Brunaux, Alésia, Gallimard, (lire en ligne), n.p..
  • Maria Deubergue, Le costume civil, Delahaye, (lire en ligne), p. 7.

cell.com

cgauloise.com

cnrs.fr

artxiker.ccsd.cnrs.fr

  • Cette parenté est réfutée par des linguistes, en effet, le nom des Callaici / Callaeci, en grec ancien Καλλαϊκoί (Kallaïkoí) (Appien, Histoire romaine - Tome II, Livre VI L'Ibérique, 70 et Strabon, Géographie, III, 3, 2) peut s’analyser en un radical call(a)- + un suffixe -aici + la désinence -us ou kall(a)- + -aiko-, avec suffixe *-aiko-. Ce suffixe indigène du nord-ouest hispanique avait pour fonction de transformer des noms de lieux (propres ou communs) en formes adjectivales, c’est-à-dire qu’il avait grosso modo la même valeur que le suffixe latin -ensi-. Le nom de peuple Kallaikoi serait alors un dérivé du thème pré-indo-européen *kalla- ou *cal-, sa signification serait celle de « montagnard, habitant des hauteurs, des montagnes ». Cette étymologie semble confortée par les propres dires de Strabon (Géographie, III, 3, 2), lorsqu’il mentionne les Callaïques, qui occupent une grande partie de la région montagneuse (Toponymes portugais, galiciens, asturiens et pyrénéens : affinités et problèmes historico-linguistiques - Étude historico-linguistique d'Hector Iglesias dont les travaux et les publications sont consultables sur le site : Hector Iglesias : Euskal Ikasketak. EETBI Euskarari eta Euskal Testuei Buruzko Ikerketak. ikerketak.wifeo.com) (Fernando Cabeza Quiles, Toponimia de Galicia, editorial Galaxia S. A., 2008, p. 303 (lire en espagnol sur Google Book) [1]). En outre les Grecs ne confondent aucunement le K- (C-) et le G- quand ils nomment les Kallaikoi « Galaïques » et les Galatai « Galates ». La racine *kal / *Cal existe en latin, représentée par le mot callus désignant une substance dure, le celtique également, en revanche, il ne connaît qu'une forme suffixée en -eto-, d'où proto-celtique *kaletos que l'on retrouve dans l'ethnonyme Calètes, le breton kaled « dur » et le gallois caled, même sens

cnrtl.fr

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educalingo.com

google.es

books.google.es

  • Cette parenté est réfutée par des linguistes, en effet, le nom des Callaici / Callaeci, en grec ancien Καλλαϊκoί (Kallaïkoí) (Appien, Histoire romaine - Tome II, Livre VI L'Ibérique, 70 et Strabon, Géographie, III, 3, 2) peut s’analyser en un radical call(a)- + un suffixe -aici + la désinence -us ou kall(a)- + -aiko-, avec suffixe *-aiko-. Ce suffixe indigène du nord-ouest hispanique avait pour fonction de transformer des noms de lieux (propres ou communs) en formes adjectivales, c’est-à-dire qu’il avait grosso modo la même valeur que le suffixe latin -ensi-. Le nom de peuple Kallaikoi serait alors un dérivé du thème pré-indo-européen *kalla- ou *cal-, sa signification serait celle de « montagnard, habitant des hauteurs, des montagnes ». Cette étymologie semble confortée par les propres dires de Strabon (Géographie, III, 3, 2), lorsqu’il mentionne les Callaïques, qui occupent une grande partie de la région montagneuse (Toponymes portugais, galiciens, asturiens et pyrénéens : affinités et problèmes historico-linguistiques - Étude historico-linguistique d'Hector Iglesias dont les travaux et les publications sont consultables sur le site : Hector Iglesias : Euskal Ikasketak. EETBI Euskarari eta Euskal Testuei Buruzko Ikerketak. ikerketak.wifeo.com) (Fernando Cabeza Quiles, Toponimia de Galicia, editorial Galaxia S. A., 2008, p. 303 (lire en espagnol sur Google Book) [1]). En outre les Grecs ne confondent aucunement le K- (C-) et le G- quand ils nomment les Kallaikoi « Galaïques » et les Galatai « Galates ». La racine *kal / *Cal existe en latin, représentée par le mot callus désignant une substance dure, le celtique également, en revanche, il ne connaît qu'une forme suffixée en -eto-, d'où proto-celtique *kaletos que l'on retrouve dans l'ethnonyme Calètes, le breton kaled « dur » et le gallois caled, même sens

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  • Guido Brandt, Anna Szécsényi-Nagy, Christina Roth et Kurt Werner Alt, « Human paleogenetics of Europe--the known knowns and the known unknowns », Journal of Human Evolution, vol. 79,‎ , p. 73-92 (ISSN 1095-8606, PMID 25467114, DOI 10.1016/j.jhevol.2014.06.017, lire en ligne, consulté le ).
  • Guido Brandt, Wolfgang Haak, Christina J. Adler et Christina Roth, « Ancient DNA reveals key stages in the formation of Central European mitochondrial genetic diversity », Science (New York, N.Y.), vol. 342, no 6155,‎ , p. 257-261 (ISSN 0036-8075, PMID 24115443, PMCID 4039305, DOI 10.1126/science.1241844, lire en ligne, consulté le ).
  • (en) Iosif Lazaridis, Nick Patterson, Alissa Mittnik et Gabriel Renaud, « Ancient human genomes suggest three ancestral populations for present-day Europeans », Nature, vol. 513, no 7518,‎ , p. 409-413 (ISSN 0028-0836, PMID 25230663, PMCID 4170574, DOI 10.1038/nature13673, lire en ligne, consulté le ).

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  • Laurent Olivier, « Les Gaulois, une civilisation majeure. », L'Histoire,‎ , p. 41 (lire en ligne).
  • Jean-Louis Brunaux, « Nos ancêtres les Gaulois… », L'Histoire, vol. 326,‎ (lire en ligne) :

    « C'est donc bien une population essentiellement gauloise qui peuplait au cours du Ier millénaire le pays qui allait devenir la France »

    .

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  • Guido Brandt, Anna Szécsényi-Nagy, Christina Roth et Kurt Werner Alt, « Human paleogenetics of Europe--the known knowns and the known unknowns », Journal of Human Evolution, vol. 79,‎ , p. 73-92 (ISSN 1095-8606, PMID 25467114, DOI 10.1016/j.jhevol.2014.06.017, lire en ligne, consulté le ).
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  • Alain Ferdière, « La place de l’artisanat en Gaule romaine du Centre, Nord-Ouest et Centre-Ouest (province de Lyonnaise et cités d’Aquitaine septentrionale) », Revue archéologique du Centre de la France, t. 45-46,‎ 2006-2007 (lire en ligne).

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ucl.ac.be

bcs.fltr.ucl.ac.be

ucl.ac.uk

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  • Eneko Hiriart (dir.) et al., Les agglomérations dans le monde celtique et ses marges. Nouvelles approches et perspectives de recherche, Pessac, Ausonius Editions (ISBN 978-2-35613-528-5, lire en ligne)

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wikisource.org

fr.wikisource.org

  • « Toute la Gaule est divisée en trois parties, dont l'une est habitée par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par ceux qui, dans leur langue, se nomment Celtes, et dans la nôtre, Gaulois. » Jules César, La Guerre des Gaules, Livre I. Traduction du latin : « Gallia est omnis divisa in partes tres, quarum unam incolunt Belgae, aliam Aquitani, tertiam qui ipsorum lingua Celtae, nostra Galli appellantur. » Iulius Caesar, Commentarii de bello Gallico.
  • Pline l'Ancien, Histoire Naturelle, 21:6 : “les Mirobrigiens, surnommés Celtiques” (“Mirobrigenses qui Celtici cognominantur”).
  • Jules César, La Guerre des Gaules, 1.1: “Toute la Gaule est divisée en trois parties, dont l'une est habitée par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par ceux qui, dans leur langue, se nomment Celtes, et dans la nôtre, Gaulois.” Trad. Désiré Nisard.

la.wikisource.org

  • « Toute la Gaule est divisée en trois parties, dont l'une est habitée par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par ceux qui, dans leur langue, se nomment Celtes, et dans la nôtre, Gaulois. » Jules César, La Guerre des Gaules, Livre I. Traduction du latin : « Gallia est omnis divisa in partes tres, quarum unam incolunt Belgae, aliam Aquitani, tertiam qui ipsorum lingua Celtae, nostra Galli appellantur. » Iulius Caesar, Commentarii de bello Gallico.

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