Lettre du , cité dans (en) Harold F. B. Wheeler et Alexander M. Broadley, Napoleon and the Invasion of England, vol. I, Londres, John Lane The Bodley Head, (lire en ligne), xiii.
(en) Philip Treherne, The Right Honourable Spencer Perceval, Londres, T. Fisher Unwin, (OCLC5825009, lire en ligne), p. 193-194
(en) Mollie Gillen, Assassination of the Prime Minister : The shocking death of Spencer Perceval, Londres, Sidgwick and Jackson, (ISBN978-0-283-97881-4, lire en ligne), p. 3-4
books.google.com
(en) Jeremy Black, George III : America's Last King, New Haven, Yale University Press, , 475 p. (ISBN0-300-11732-9, lire en ligne), p. 82.
doi.org
dx.doi.org
(en) Timothy J. Peters et Dawn Wilkinson, « King George III and porphyria: a clinical re-examination of the historical evidence », History of Psychiatry, vol. 21, no 1, , p. 3-19 (PMID21877427, DOI10.1177/0957154X09102616).
(en) Timothy M. Cox, Nicola Jack et Simon Lofthouse, « King George III and porphyria: an elemental hypothesis and investigation », The Lancet, vol. 366, no 9482, , p. 332-335 (PMID16039338, DOI10.1016/S0140-6736(05)66991-7).
Un contribuable américain ne payait qu'un maximum de 6 pence (environ 40 £ de 2011) contre une moyenne de 35 shillings (environ 2 860 £ de 2011) en Angleterre (Cannon et Griffiths 1988, p. 505 ; Hibbert 1999, p. 122). En 1763, les revenus issus des taxes collectées des colonies britanniques en Amérique du Nord représentaient 1 800 £ (environ 3 millions de livres de 2011) tandis que les dépenses militaires dans la région étaient de 225 000 £ (environ 370 millions de 2011) ; en 1767, cette somme était passée à 400 000 £ (environ 655 millions de livres de 2011) (Cannon et Griffiths 1988, p. 505). Ces valeurs sont calculées sur la base des salaires moyens (average earnings) en utilisant le site Measuring Worth.
Selon des rumeurs, George aurait épousé une quaker appelée Hannah Lightfoot le et au moins un enfant serait issu de cette union. Lightfoot avait néanmoins épousé Isaac Axford en 1753 et était morte en 1759. Lors du procès en 1866 de Lavinia Ryves, la fille de l'imposteur Olivia Serres qui se présentait comme la « princesse Olive de Cumberland », le jury considéra à l'unanimité que le certificat de mariage de George présenté par Ryves était un faux (consulter les documents conservés par The National Archives : (en) Treasury Solicitor et HM Procurator General's Department, « Serres, Olivia Wilmot: claim to be "Olive, Princess of Cumberland" », 1767-1843).
(en) Timothy J. Peters et Dawn Wilkinson, « King George III and porphyria: a clinical re-examination of the historical evidence », History of Psychiatry, vol. 21, no 1, , p. 3-19 (PMID21877427, DOI10.1177/0957154X09102616).
(en) Timothy M. Cox, Nicola Jack et Simon Lofthouse, « King George III and porphyria: an elemental hypothesis and investigation », The Lancet, vol. 366, no 9482, , p. 332-335 (PMID16039338, DOI10.1016/S0140-6736(05)66991-7).