Lena Lutaud, « Brassens : ses dernières volontés dans un imbroglio », Le Figaro, supplément Le Figaro et vous, 22-23 octobre 2022, p. 35 (lire en ligne).
Différentes sources ne s'entendent pas sur la durée de la peine imposée à Georges Brassens. Si l'ami d'enfance de celui-ci, Victor Laville, affirme que tous les malfaiteurs écopèrent de peines allant de quinze jours à deux ans avec sursis, ce dernier affirme ne pas se souvenir des peines exactes ordonnées à chacun (Laville, V. et Mars, C. (2006). Brassens : le mauvais sujet repenti. Paris, France : L'Archipel). De son côté, Jean-Paul Sermonte déclare que Brassens fut condamné à quinze jours avec sursis (Sermonte, J.-P. (2001). Brassens : au bois de son cœur. Paris, France : Éditions Didier Carpentier.), alors que Jacques Vassal, s'appuyant sur le témoignage de Pierre Onténiente, ami et secrétaire personnel de Brassens, fixe la peine à un an avec sursis (Jacques Vassal, Brassens : le regard de "Gibraltar", éd. Fayard, 2006.). Éric Kristy, scénariste du téléfilm La Mauvaise Réputation réalisé en 2011 pour France 2 et qui raconte la vie de Georges Brassens de son adolescence à ses débuts sur scène, quant à lui, établit la peine à six mois dans une entrevue accordée au Point (Georges Brassens et sa "mauvaise réputation").
En 2011, un jeune homme de 27 ans est condamné à Cherbourg à 200 euros d'amende et 40 heures de travaux d'intérêt général pour outrage à agents après avoir chanté Hécatombe à sa fenêtre. Sources : "Brassens : les cas tombent" sur lesmotsontunsens.com
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Catherine Calvet, « Louis-Jean Calvet : «Le bouillonnement des langues a façonné la Méditerranée» », Libération, (lire en ligne, consulté le ).