Georges Schehadé, poète des deux rives, 1905-1989, p. 19. « Les Chehada quittent le berceau de la famille, la bourgade d'Izra, dans la plaine du Hauran syrien, vers 1650. Ils se dispersent dans l'ensemble du Levant. La branche beyrouthine est attestée dès la fin du XVIIe siècle. » (en ligne) La notice est tirée d'un texte inédit de Abdallah Naaman.