« la réduction de la droite juive à l’extrême droite est bien sûr conçue comme un procédé disqualifiant et elle est à ce titre critiquable. Il se trouve aussi qu’elle est fausse et que ceux qui l’utilisent passent à côté d’un fait important, à savoir la naissance en France d’un véritable courant néoconservateur juif, prenant réellement son essor dans les années 2000, bien que ses racines remontent à la victoire israélienne de la guerre de 1967, qu’il convient de prendre au sérieux comme acteur de la vie intellectuelle. […] Nulle part ailleurs, l’inflexion néoconservatrice n’est aussi sensible et aussi élaborée que dans les écrits de Gilles-William Goldnadel, à l’exemple de son dernier livre, Les martyrocrates. » dans Jean-Yves Camus, « Un conflit instrumentalisé par les communautaristes »[1], Revue internationale et stratégique, no 58, 2/2005, pp. 79-86, DOI10.3917/ris.058.0079.
« la réduction de la droite juive à l’extrême droite est bien sûr conçue comme un procédé disqualifiant et elle est à ce titre critiquable. Il se trouve aussi qu’elle est fausse et que ceux qui l’utilisent passent à côté d’un fait important, à savoir la naissance en France d’un véritable courant néoconservateur juif, prenant réellement son essor dans les années 2000, bien que ses racines remontent à la victoire israélienne de la guerre de 1967, qu’il convient de prendre au sérieux comme acteur de la vie intellectuelle. […] Nulle part ailleurs, l’inflexion néoconservatrice n’est aussi sensible et aussi élaborée que dans les écrits de Gilles-William Goldnadel, à l’exemple de son dernier livre, Les martyrocrates. » dans Jean-Yves Camus, « Un conflit instrumentalisé par les communautaristes »[1], Revue internationale et stratégique, no 58, 2/2005, pp. 79-86, DOI10.3917/ris.058.0079.
flattosharon.co.il
Site officiel de Samy Flato-Sharon, Biographie, consulté en septembre 2012.
« la réduction de la droite juive à l’extrême droite est bien sûr conçue comme un procédé disqualifiant et elle est à ce titre critiquable. Il se trouve aussi qu’elle est fausse et que ceux qui l’utilisent passent à côté d’un fait important, à savoir la naissance en France d’un véritable courant néoconservateur juif, prenant réellement son essor dans les années 2000, bien que ses racines remontent à la victoire israélienne de la guerre de 1967, qu’il convient de prendre au sérieux comme acteur de la vie intellectuelle. […] Nulle part ailleurs, l’inflexion néoconservatrice n’est aussi sensible et aussi élaborée que dans les écrits de Gilles-William Goldnadel, à l’exemple de son dernier livre, Les martyrocrates. » dans Jean-Yves Camus, « Un conflit instrumentalisé par les communautaristes »[1], Revue internationale et stratégique, no 58, 2/2005, pp. 79-86, DOI10.3917/ris.058.0079.