« Qui sont les lauréats du prix Danielle Mitterrand 2018 ? », sur france-libertes.org, (consulté le ) : « Cette année, France Libertés a choisi de décerner les prix Danielle-Mitterrand à deux lauréats dont l’engagement est remarquable : le peuple autochtone Krenak du Brésil et la comédienne franco-iranienne Golshifteh Farahani. Deux combats, celui d’un peuple pour la justice et celui d’une femme libre qui se répercutent et dialoguent en écho. »
Thierry Chèze, « Golshifteh Farahani : "Avec Elle joue, Nahal Tajajod voulait que mes paroles rentrent en elle" », sur lexpress.fr, (consulté le ) : « Ce roman raconte l'Iran des années 70 à nos jours comme si on y était, à travers la vie de deux femmes, l'auteur qui a grandi dans ce pays à l'époque du Shah et une comédienne — largement inspirée par Golshifteh Farahani — véritable star dans son pays qui en est aujourd'hui bannie pour avoir tourné dans un film américain puis posé dénudée pour le photographe Jean-Baptiste Mondino. »
Elisabeth Franck-Dumas, « Mon nom est persane », sur liberation.fr, (consulté le )
memento-films.com
« Dossier de presse du film My Sweet Pepper Land de Hiner Saleem » [PDF], sur memento-films.com, (consulté le ) : « Dans mon précédent film [Si tu meurs, je te tue, sorti en 2011], Golshifteh Farahani jouait du piano. C'est une excellente pianiste, même si elle privilégie aujourd'hui sa carrière de comédienne. Mais je ne voulais pas me priver de son talent de musicienne. J’avais envie d’entendre cet instrument peu connu qu’est le hang, dont elle sait jouer. Cet instrument a été inventé par deux Suisses. Il se rapproche du piano et des percussions, tout en dégageant des sonorités magnifiques. Certains pensent que c'est un instrument kurde traditionnel, mais personne ne pourrait s'imaginer qu'il a été mis au point par des hippies suisses ! », page 6, colonnes 3 et 4.