Graduale simplex (French Wikipedia)

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  • Cette hypothèse est totalement fausse. Dans les premiers siècles, les psaumes étaient singulièrement chantés par solistes auprès de l'Église en Occident. Depuis le IVe les scholæ remplacèrent les solistes. D'ailleurs, les fidèles commencèrent à participer le chant depuis que saint Ambroise avaient composé ses hymnes. Voir aussi http://palmus.free.fr/session_2005.pdf à partir de p. 5 (Dom et Dr Daniel Saulnier, Session de chant grégorien 2005) ; également « Saint Ambroise est célèbre pour avoir importé à Milan, et de là dans tout l'Occident, des formes liturgiques qui, de son temps, n'existaient qu'en Orient. Les textes narratifs qui parlent de cette importation sont malheureusement assez vagues, trop généraux et trop peu précis. Ils ne nous disent pas exactement de quoi il s'agissait ; mais il semble possible de le conjecturer sans imprudence, en prenant acte, d'une part, de ce qui est en jeu dans ces changements, destinés uniquement à intéresser le peuple à la liturgie, et en observant ensuite concrètement les traces de changement dans le répertoire à notre portée. Il est hors de doute que le style in directum (sans refrain) ait régné sans concurrent dans la liturgie chrétienne dès le début de l'évangélisation. Seul il correspond aux possibilités d'une communauté qui a tout à apprendre. Lectures, chants et oraisons, sont à ce stade autant de prédications qui présentent aux nouveaux convertis et la doctrine et la prière. Saint Augustin nous en est témoin qui plusieurs fois compte le psaume chanté entre l'épître et l'évangile comme troisième lecture, ce qu'il est en effet, car le psaume est donné en son entier par le lecteur-psalmiste, à côte de quoi la responsio, imporetante pour le style de psalmodie, fait figure d'élément négligeable. La psalmodie in directum n'est donc pas une invention tardive, née au VIe siècle du dépérissement de la psalmodie responsoriale (avec refrain), comme on l'a cru trop longtemps sur la foi d'historiens qui ne considéraient que les textes qui la nomment. Lorsque, au contraire, on étudie la liturgie dans son développement et qu'on analyse la musique, la forme in directum se présente comme le stade le plus ancien de la psalmodie chrétienne, ayant conservé encore assez souvent son mélisme traditionnel, et la forme responsoriale, comme le stade suivant qui en est directement et visiblement issu par l'adjonction d'un refrain (responsio). Ce stade suivant ne sera envisageable qu'au moment où il sera possible de demander à tout ce peuple, devenu plus instruit, non pas de chanter un psaume entier, ce ne sera jamais le fait que d'une élite, mais de répondre au chant du soliste par un court verset, un refrain facilement mémorisable pour le texte, et, autant que possible, sur une mélodie déjà connue pour avoir été souvent entendue. Saint Augustin encore, vrai miroir de l'usage milanais qu'il avait vu naître, nous a conservé dans ses sermons maint exemple de responsio, et s'il connaît encore au moins un psaume in directum, le psaume 21 du dimanche où on lit la Passion, il ignore totalement le chant d'un psaume par tout le peuple. » (Dom Jean Claire, Saint Ambroise et le changement de style de la psalmodie, dans les Études grégorienne, tome XXXIV, p. 13 - 17, Abbaye Saint-Pierre de Solesmes, 2007)

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  • (en) « Trove », sur nla.gov.au (consulté le ).

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