Marie-Thérèse Lorcin, « Des restos du cœur avant la lettre », Historia thématique : « Un Moyen Âge inattendu », no 65, , p. 48-51 (lire en ligne)(frais de consultation requis).
La Pragmatique Sanction de Bourges, limite les prérogatives papales et affirme la supériorité des décisions des conciles de Bâle et de Constance sur celles du pape : voir la page de Marc Girot, L'affirmation du pouvoir royal (XIIe – XVe siècles), site de l'IUFM de Créteil. L'Église de France elle-même s'affranchissait de la tutelle du Saint-Siège et le souverain pouvait intervenir directement en son royaume en matière ecclésiale. Voir Olivier Guillot, Albert Rigaudière et Yves Sassier, Pouvoirs et institutions dans la France médiévale, t. II, p. 106, Armand Colin, 2003.
Voir : Bruno Galland, « Le rôle du comte de Savoie dans la ligue de Grégoire XI contre les Visconti (1372-1375) », Mélanges de l'École française de Rome. Moyen Âge, 1993, vol. 105, no 105-2, p. 765.
Adolphe-Charles Peltier, « Concile de Constance - 1414 - 1418 - seizième concile œcuménique » tiré du Dictionnaire universel et complet des concilest. 13 et 14 de l'Encyclopédie théologique sous la direction l'abbé Jacques-Paul Migne, 1847 [lire en ligne].