Thomas Lebègue et Emmanuelle Walter, Grandes écoles, la fin d'une exception française, édition Calman Levy, 2008. (présentation sur Google Livres, morceaux choisis sur boivigny.com)
books.google.com
Gérard Vincent et Anne-Marie Dethomas, Sciences po: Histoire d'une réussite, Plon (réédition numérique FeniXX), (ISBN978-2-259-26077-0, lire en ligne).
Gérard Vincent et Anne-Marie Dethomas, Sciences po: Histoire d'une réussite, Plon (réédition numérique FeniXX), (ISBN978-2-259-26077-0, lire en ligne).
Anne Mascret, Enseignement supérieur et recherche en France: une ambition d'excellence, La Documentation Française, (ISBN9783331954105, lire en ligne), Les grandes écoles ne présentent pas non plus d'homogénéité du côté de leur statut : – certaines sont publiques, rattachées à un ministère (Polytechnique, Mines de Paris, Centrale Paris, École de Management de Strasbourg...) – d'autres, les écoles consulaires, sont également publiques mais dépendent d'une chambre de commerce et d'industrie (HEC, ESCP Europe, Sup de Co La Rochelle, École supérieure d'ingénieurs en électrotechnique et électronique...) – il y a enfin une multitude d'écoles privées, qui sont généralement sous tutelle ministérielle également mais peuvent prendre divers statuts : association loi de 1901 (Edhec Business School – École des hautes études commerciales du Nord -, Montpellier Business School, École de Management de Normandie, Institut Catholique d'Arts et Métiers...) fondation (EPF École d'ingénieurs...) ou société de type SAS – Société par Action Simplifiée (École Supérieure du Commerce Extérieur...) ou société à responsabilité limitée (Institut supérieur européen de gestion...).
Monique de Saint-Martin, « Les recherches sociologiques sur les grandes écoles : de la reproduction à la recherche de justice », Éducation et sociétés 1/2008 (no 21), p. 95-103. lire en ligne sur Cairn.info
Marianne Thivend, « Les filles dans les écoles supérieures de commerce en France pendant l’entre-deux-guerres », Travail, genre et sociétés, vol. 2, no 26, (lire en ligne).
Marianne Blanchard, « Quand féminisation rime avec légitimation : les écoles supérieures de commerce, du début des années 1960 au début des années 1990 », Histoire de l’éducation, vol. 4, no 136, (lire en ligne).
capital.fr
« La difficile féminisation des écoles d'ingénieurs », Capital, (lire en ligne).
« Grandes écoles - Calendrier des concours d'entrée dans les grandes écoles: session 2022 », Bulletin officiel, no 4, 27 janvier 2022, pages 1-6 (lire en ligne [PDF]).
Françoise Boch, Écrire dans l’enseignement supérieur: Des apports de la recherche aux outils pédagogiques, UGA Éditions, (ISBN9782843103629, lire en ligne), p. 27.
Claude Durand-Prinborgne, Dictionnaire encyclopédique de l'éducation et de la formation, Retz, , 3e éd. (ISBN9782725661810, lire en ligne), p. 314.
Philippe Maubant, L’archipel des temps de la formation. Esquisse d’une ingénierie de l’alternance, pages 120-121, paragraphe 17.
Claude Marion, Chronologie des machines de guerre et de l'artillerie : depuis Charlemagne jusqu'à Charles X, Quinquenpoix, (lire en ligne), p. 23.
J. B. Duvergier, Décret du 30 vendémiaire an IV concernant les écoles de services publics, tome 8, p. 338-343, dans Collection complète des lois, décrets, ordonnances, réglemens, avis du Conseil d'État, publiée sur les éditions officielles du Louvre, de l'imprimerie nationale, par Baudouin, et du bulletin des lois (de 1788 à 1830 inclusivement, par ordre chronologique), chez A. Guyot et Scribe libraires-éditeurs, Paris, 1835 (lire en ligne)
Maurice Midena, Entrez rêveurs, sortez manageurs: Formation et formatage en école de commerce, La Découverte, (ISBN9782348059414, lire en ligne), p. 265-266
Maurice Midena, Entrez rêveurs, sortez manageurs: Formation et formatage en école de commerce, La Découverte, (ISBN9782348059414, lire en ligne), "Statut EESC (établissements d'enseignement supérieur consulaires)"
Maurice Midena, Entrez rêveurs, sortez manageurs: Formation et formatage en école de commerce, La Découverte, (ISBN9782348059414, lire en ligne), "Statut EESPIG"
Maurice Midena, Entrez rêveurs, sortez manageurs: Formation et formatage en école de commerce, La Découverte, (ISBN9782348059414, lire en ligne), "L'EM Lyon est devenue en 2018 une société anonyme"
Thomas Lebègue et Emmanuelle Walter, Grandes écoles, la fin d'une exception française, édition Calman Levy, 2008. (présentation sur Google Livres, morceaux choisis sur boivigny.com)
Décret n° 2009-652 du 9 juin 2009, sur Légifrance : « L'enseignement supérieur (…) Niveaux d'enseignement. Les formations longues. Il existe en France deux grands types d'établissements permettant de suivre des études supérieures longues: les universités et les écoles spécialisées. Les universités. Les universités françaises sont des établissements publics. (…) Les écoles supérieures: Les écoles supérieures sont des établissements sélectifs publics ou privés dont l'enseignement prépare à des pratiques professionnelles spécialisées, par exemple dans les domaines des sciences de l'ingénieur, de l'architecture, du commerce et de la gestion, ou encore de la traduction et de l'interprétariat. Parmi les écoles supérieures, les « grandes écoles » constituent une particularité française : ce sont des établissements très sélectifs qui accueillent beaucoup moins d'étudiants que les universités. Les « grandes écoles » forment des ingénieurs et des managers de haut niveau, mais aussi des spécialistes de l'art, des lettres et des sciences humaines. »
Décret n° 2009-652 du 9 juin 2009 : « Les formations au sein des « grandes écoles » et des écoles spécialisées s'effectuent généralement en 5 ans, incluant deux années de préparation initiale, soit au sein de l'établissement lui-même, soit dans des établissements secondaires (classes préparatoires aux grandes écoles, CPGE). Ces écoles permettent le plus souvent d'obtenir un diplôme de niveau bac + 5, conférant à leur titulaire le grade de master à l'issue de leur scolarité. »
Arrêté du 27 août 1992 relatif à la terminologie de l'éducation, sur Légifrance : « La tutelle d'une grande école est assurée par un ministère qui n'est pas obligatoirement l'éducation nationale. On citera par exemple l’École polytechnique sous la tutelle du ministère de la défense, l’École nationale du génie rural, des eaux et des forêts sous la tutelle du ministère de l'agriculture et de la forêt ».
« Dans les grandes écoles, la diversité sociale n’a pas progressé en dix ans », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« L’impuissance des politiques d’ouverture sociale dans les grandes écoles », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« CentraleSupélec : ouverture d’une enquête après une étude montrant l’ampleur des violences sexistes et sexuelles », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
Les 11 établissements spécialisés mentionnés dans cette liste sont: l'« École des hautes études en sciences sociales, l’École nationale des chartes, l’École nationale supérieure du paysage, l’École nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques, les écoles nationales vétérinaires, le Muséum national d’histoire Naturelle et l’École pratique des hautes études » dans Quelle démocratisation des grandes écoles depuis le milieu des années 2000?, Institut des politiques publiques (IPP), , 3, 31, 71, 78 (lire en ligne [PDF])
Quelle démocratisation des grandes écoles depuis le milieu des années 2000?, Institut des politiques publiques (IPP), , 3, 31, 71, 78 (lire en ligne), « En 2016-2017, on comptait 234 grandes écoles (Écoles recensées dans le système d’information SISE en 2016-2017) en France, qui étaient pour la plupart membres de la Conférence des grandes écoles. », SISE= "Système d’information sur le suivi des étudiants"
Garçon, Anne-Françoise, 19.-, Entre l'État et l'usine : l'École des mines de Saint-Étienne au XIXe siècle, Presses universitaires de Rennes, , 368 p. (ISBN978-2-86847-958-7, OCLC419401301).