Grito de Alcorta (French Wikipedia)

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argentina.ar

atilf.fr

atilf.atilf.fr

centrocultural.coop

  • (es) Cristina Begnis, Eduardo Azcuy Ameghino, Juan Antonio Pivetta et Daniel Martinelli, « Jornada de homenaje al Grito de Alcorta », La Revista del CCC, Buenos Aires, Centro Cultural de la Cooperación, no 16,‎ (lire en ligne, consulté le )

ellitoral.com

  • (es) Pascualina Di Biasio et Alicia Talsky, « El Grito de Alcorta: la revuelta de los chacareros », El Litoral, Santa Fe,‎ (lire en ligne, consulté le )

lacapital.com.ar

  • (es) « El Grito de Alcorta, con monumento », La Capital, Rosario,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • (es) « Un monumento vivo para Alcorta », La Capital, Rosario, Multiportal Medios S.A.,‎ (lire en ligne, consulté le )

produccion-animal.com.ar

  • (es) « Grito de Alcorta », Información Veterinaria, Córdoba, Colegio Médico Veterinario de la Provincia de Córdoba, no 161,‎ , p. 74 (lire en ligne, consulté le ) (reprise d’un texte extrait de Hombres y Hechos de la Historia Argentina, paru aux éd. Abril, 1972.

santafe.gob.ar

telediariodigital.net

todo-argentina.net

  • L’encyclopédie en ligne Todo Argentina a schématisé cette « vision traditionnelle » ainsi que suit : « Au moment de la rébellion dite Grito de Alcorta, la structure sociale de la campagne argentine se composait de propriétaires terriens, de sous-bailleurs et de métayers. Ces derniers étaient soumis aux propriétaires par le biais de contrats de fermage qui stipulaient notamment des loyers impayables et l’obligation d’acheter outils et intrants auprès de la personne désignée par le propriétaire, et qui faisaient endosser au colon la responsabilité d’éventuelles mauvaises récoltes. La situation en était au point que, quand même le colon travaillait de l’aube jusqu’au coucher du soleil et quelque bonne que fût la récolte, il ne lui restait au bout du compte pas assez pour assurer sa subsistance. L’étude de Juan Bialet Massé, intitulé La condición de las clases trabajadoras de 1901, est une radiographie implacable du traitement inhumain infligé aux colons agricoles. » (cf. (es) Grito de Alcorta)

unlpam.edu.ar

biblioteca.unlpam.edu.ar

  • (es) Gabriela Dalla Corte Caballero, « María Robboti y el grito de Alcorta. Testimonios orales, historias vividas y agitación agraria », La Ajaba, La Pampa-Comahue-Luján (Argentine), no 17,‎ , p. 75-94 (lire en ligne, consulté le )

web.archive.org