Déclaration de la direction du groupe PSA sur le site du groupe : "Conformément à l’engagement de ses dirigeants, l’entreprise veille à une pratique éthique des affaires, avec notamment une « tolérance zéro » en matière de corruption et de manquement aux règles de la concurrence." (consulté le 24 novembre 2016)[1]
Déclaration de la direction du groupe PSA sur le site du groupe : "Les positions défendues par le groupe sur les grandes problématiques liées à ses activités sont publiques, tout comme les groupes d’intérêt auxquels il adhère. Le Groupe PSA soutient des pratiques de lobbying responsable, qui contribuent au débat public, et qui sont en ligne avec ses principes éthiques d’intégrité, de respect et de transparence." (consulté le 24 novembre 2016)[2]
Bertille Bayart, « Trois ans après son sauvetage, PSA négocie le rachat de l'allemand Opel », Le Figaro, (ISSN0182-5852, lire en ligne, consulté le )
Éric Béziat, « PSA fabriquera ses propres moteurs électriques avec l’aide de Nidec Leroy-Somer », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le )
Jean-Michel Bezat, « Le scénario d’un mariage entre PSA et Fiat Chrysler se précise », lemonde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Éric Béziat, « PSA fabriquera ses propres moteurs électriques avec l’aide de Nidec Leroy-Somer », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le )
Julien Dupont-Calbo et Maxime Amiot, « PSA : l’Etat empoche sa plus-value en cédant ses parts à Bpifrance », lesechos.fr, (lire en ligne, consulté le ).
"Niveau additif FAP trop faible" - conseil entretien Peugeot et Citroën, billet du blog "Medip, le spécialiste du kit distribution", paru le 8 juillet 2016 [5]