Selon le Docteur Pasuch, voisin des deux officiers au camp militaire de Kanombe. Cf. Jacques Morel La France au cœur du génocide des Tutsi Izuba/L'esprit frappeur - 2010 p. 359 ou p. 373 de la Version 2.18 de 2017 téléchargeable sur le site de l’auteur
Assemblée nationale 1998 rapport sur le Rwanda p. 267 de sa version pdf R1271 Cf. Jacques Morel La France au cœur du génocide des Tutsi Izuba/L'esprit frappeur - 2010 p. 477 et suivantes ou p. 501 et suivantes de la Version 2.18 de 2017 téléchargeable sur le site de l’auteur
free.fr
cec.rwanda.free.fr
Emmanuel Cattier, « Le Chiffon de papier » : du premier accord d'Arusha à la rébellion des autorités de la France au Rwanda, Commission d'enquête citoyenne, , 91 p. (lire en ligne)
« L'extermination des Tutsis - Les massacres du Ruanda sont la manifestation d'une haine raciale soigneusement entretenue », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
Piotr Smolar, « Rwanda : le juge Bruguière met en cause le président Kagamé », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
Marion Van Renterghem, « Hôtel Rwanda : le bûcher d’une vanité », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
mdrw.org
selon Abdul Joshua Ruzibiza, dans Rwanda, l'histoire secrète, éd. Panama, 2005), et selon les enquêtes d'André Guichaoua, professeur à Paris-I-Sorbonne, expert auprès du TPIR ([1]).
memorialdelashoah.org
expo-genocide-tutsi-rwanda.memorialdelashoah.org
« Les « ethnies » Hutu et Tutsi procèdent de constructions idéologiques. Les mythes raciaux, forgés par les missionnaires et les colonisateurs à la fin du XIXe siècle et au cours de la première moitié du XXe siècle, qui assignaient aux Tutsi une origine éthiopienne ou centre-asiatique ont trouvé une actualité nouvelle dans les discours qui ont préparé, puis justifié l'extermination à partir de 1990. »Hélène Dumas et Stéphane Audoin-Rouzeau, Rwanda 1994 : le génocide des Tutsi, Paris, Mémorial de la Shoah, , 48 p. (ISBN978-2-916966-69-4), p. 23. (livret d'exposition au Mémorial de la Shoah)