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Selon les propos rapportés par Helmut Klotz(de) dans son livre édité en 1937 Les leçons militaires de la guerre civile en Espagne, la rébellion militaire a été décidée au début de janvier 1936 :
« La vieille armée espagnole, à la veille de l’effondrement de la Monarchie, compte 7 soldats pour un officier. À la même époque, on comptait en France, 17 soldats par officier, et en Suisse 25. L'armée espagnole était un hydrocéphale qui dévorait la majeure partie du budget de l’état. Peu de temps, après le début de la guerre civile, Helmut Klotz s’était entretenu avec 2 sous-officiers d’artillerie. Ils déclarèrent que durant tout leur service actif, ils n’avaient pas eu une seule fois l’occasion de prendre part à un tir réel. Un troisième avait eu l’occasion de participer à un exercice de ce genre. Cependant le régiment ne disposait que de 6 coups par pièce de canon.
La jeune république s’est rendu compte de ce que cette situation avait de malsain. Elle congédia plus de la moitié des officiers et 16 divisions furent réparties en 8 avec les effectifs restants. Le gros des officiers dont une partie avaient été congédiés, tandis que les autres redoutaient leur mise à la retraite, se plaça en opposition farouche. Dès les premiers jours de janvier 1936, la révolte était décidée. Le 25 mai 1936, le premier plan d’opération anti-gouvernementale fut remis aux officiers complaisants et de confiance. La révolte militaire n’était pas une action improvisée en juillet 1936. La révolte militaire est encore moins une prétendue réponse à la victoire électorale de la « Frente popular ». La Frente popular a été formée le 11/01/1936. La rébellion militaire a été décidée au début de janvier 1936. Sur 15000 officiers, 200 environ et seulement restèrent fidèles à leur serment. »