(en) Bradley Stoughton, Ph.B., B.S., The metallurgy of iron and steel, New York, McGraw-Hill Book Company, , 509 p. (lire en ligne), p. 42 ; 336-337
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Jules Rozet maître de forges et notable en Haute-Marne au XIXe siècle (1800 - 1871) : Thèse pour le Doctorat d’Histoire sous la direction de M. Denis Woronoff, vol. 2, Association pour le Patrimoine Industriel de Champagne-Ardenne, (lire en ligne), « La fonte brute devient un produit commercial »
umassd.edu
(en) Thomas Southcliffe Ashton, Iron and Steel in the Industrial Revolution, Manchester, Manchester University Press, , 252 p. (lire en ligne), Letter from Mrs. Abiah Darby, circa. 1775, p. 249-252
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Depuis, le terme anglais pig iron désigne à la fois la fonte brute de première fusion, à l'état liquide ou solide, et la gueuse elle-même. Lorsque le haut fourneau ne coule qu'une seule gueuse de grande dimension, les Anglais l'appellent sow[2], c'est-à-dire « truie ».
