Son lieu de naissance est resté discuté parce que Marcillat se nommait « prieur du prieuré Saint-Thiébaut de Saint-Mihiel », en Lorraine, et on pouvait penser qu'il en était originaire. Or le testament de Marcillat, cité par exemple dans Léon Germain, Guillaume de Marcillat : Prieur de Saint-Thiébaut de Saint-Mihiel, Nancy, (lire en ligne), mentionne clairement qu'il est né à la Châtre.
Giorgio Vasari décrit la vie et l’œuvre de Guillaume de Marcillat dans Le Vite : pages 89-95 de l'édition 1568. Une traduction commentée du volume IV, contenant la biographie de Guillaume de Marcillat, est parue en 1839 : Giorgio Vasari, Vie des peintres, sculpteurs et architectes : Traduction par Léopold Leclanché, et commentée par Jeandron et Léopold Leclanché, t. 4, Paris, Just Tessier, (lire en ligne), p. 293-325.
Émile Chénon, dans la 4e série de ses « Notes historiques », étudie l'implantation de la famille Marcillat dans la région autour de La Châtre : Émile Chénon, « Notes archéologiques et historiques sur le Bas-Berry, 4e série : XX.- La patrie et la famille du peintre-verrier Fra Gugliemo (1473-1535) », dans Mémoires de la Société des Antiquaires du Centre, vol. 27, (lire en ligne), p. 232-239.
« Testament du peintre verrier Guillaume de Marcillat (1529) » traduit par MM. Henry Jouin et A. de Montaiglon, dans Revue de l'art français ancien et moderne, 1886, p. 49-59(lire en ligne)
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Giorgio Vasari décrit la vie et l’œuvre de Guillaume de Marcillat dans Le Vite : pages 89-95 de l'édition 1568. Une traduction commentée du volume IV, contenant la biographie de Guillaume de Marcillat, est parue en 1839 : Giorgio Vasari, Vie des peintres, sculpteurs et architectes : Traduction par Léopold Leclanché, et commentée par Jeandron et Léopold Leclanché, t. 4, Paris, Just Tessier, (lire en ligne), p. 293-325.