Les ouvrages généraux sur les génocides ou sur la colonisation française, aux bibliographies très fournies, soit n'évoquent pas la question, soit reconnaissent tout au plus des violences génocidaires épisodiques. Le mot « génocide » désigne des campagnes militaires entières, mais aussi des événements algériens tragiques du XXe siècle, dans des discours victimaires venus d'Algérie, qui résonnent notamment dans la propagande de Recep Tayyip Erdoğan en Turquie : comparer les avis irréconciliables des historiens Mohamed El-Korso et Pierre Vermeren.
Samuel Tanner, « Le génocide à l’épreuve des massacres de masse contemporains : vers une rupture paradigmatique ? », Criminologie, vol. 39, no 2, , p. 39-58 (ISSN0316-0041, DOI10.7202/014427ar, lire en ligne).
Samuel Tanner, « Le génocide à l’épreuve des massacres de masse contemporains : vers une rupture paradigmatique ? », Criminologie, vol. 39, no 2, , p. 39-58 (ISSN0316-0041, DOI10.7202/014427ar, lire en ligne).
(ru) « Закон Российской Советской Федеративной Социалистической республики "О реабилитации репрессированных народов" » [« Loi de la république socialiste soviétique fédérative de Russie "Sur la réhabilitation des peuples opprimés" »], Ведомости Съезда народных депутатов РСФСР и Верховного Совета РСФСР, Москва, Юридическая литература, no 18, , p. 536-538 (lire en ligne, consulté le ). L'article 2 de la loi dispose (p. 537) : « Sont reconnus comme opprimés les peuples (nations, nationalités ou groupes ethniques et autres communautés culturelles et ethniques de personnes, historiquement formées, par exemple les Cosaques), à l’égard desquels, à cause de leurs signes d’appartenance nationale ou autres, était menée au niveau de l’État une politique de calomnie et de génocide qui s’accompagnait de leur déplacement forcé, de la dissolution des formations nationales étatiques, du redécoupage des frontières nationales territoriales, de l’instauration d’un régime de terreur et de violence dans des lieux spéciaux d’établissement. »
Donald Niewyk et Francis Nicosia, The Columbia Guide to the Holocaust, Columbia University Press, 2000, p. 45 : « The Holocaust is commonly defined as the murder of more than 5 000 000 Jews by the Germans in World War II » : « Le mot "Holocauste" désigne communément l'assassinat de plus de 5 000 000 Juifs par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale. » The Columbia Guide to the Holocaust, extraits en ligne.
Elliot Sperling, « The Body Count », sur le site Tibetan Buddhism in the West (info-buddhism.com), .
issn.org
portal.issn.org
Samuel Tanner, « Le génocide à l’épreuve des massacres de masse contemporains : vers une rupture paradigmatique ? », Criminologie, vol. 39, no 2, , p. 39-58 (ISSN0316-0041, DOI10.7202/014427ar, lire en ligne).
« Guerre à Gaza : pour Amnesty International, Israël commet un génocide », La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le )
Les ouvrages généraux sur les génocides ou sur la colonisation française, aux bibliographies très fournies, soit n'évoquent pas la question, soit reconnaissent tout au plus des violences génocidaires épisodiques. Le mot « génocide » désigne des campagnes militaires entières, mais aussi des événements algériens tragiques du XXe siècle, dans des discours victimaires venus d'Algérie, qui résonnent notamment dans la propagande de Recep Tayyip Erdoğan en Turquie : comparer les avis irréconciliables des historiens Mohamed El-Korso et Pierre Vermeren.
lemonde.fr
Ulysse Bellier, « « Au cours de la colonisation du Canada, il y a eu des épisodes génocidaires » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« Au Guatemala, le procès du dictateur Rios Montt ajourné le temps d'une expertise psychiatrique », Le Monde.fr, (lire en ligne).
« La justice irakienne rend son verdict sur le massacre des Kurdes en 1988 », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
« Guerre Israël-Hamas : l’accusation de génocide à Gaza, une épreuve sans précédent pour la justice internationale », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« Amos Goldberg, historien israélien : « Ce qui se passe à Gaza est un génocide, car Gaza n’existe plus » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« Guerre au Proche-Orient : une plainte contre X pour complicité de génocide à Gaza déposée auprès du tribunal judiciaire de Paris », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, approuvée et soumise à la signature et à la ratification ou à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 260 A (III) du , entrée en vigueur le , conformément aux dispositions de l'article XIII.
Cette convention reconnaît qu'« à toutes les périodes de l'histoire le génocide a infligé de grandes pertes à l'humanité ».
Extrait du document PS-1919, dans Procès des grands criminels de guerre devant le Tribunal militaire international, t. XXIX, Nuremberg, 1948, p. 110-173 ; traduction sur le site du concours national de la résistance et de la déportation.
(en) Ana Filipa Vrdoljak, « Human Rights and Genocide: The Work of Lauterpacht and Lemkin in Modern International Law, Part I », European Journal of International Law, Social Science Research Network, no ID 1401234, (lire en ligne, consulté le ).
(en) Alexander Laban Hinton, « Critical Genocide Studies », Genocide Studies and Prevention: An International Journal, vol. 7, no 1, , p. 4-15 (lire en ligne).
Mark Gregory Pegg (trad. Patrick Hutchinson), « ‘Le monde était changé à tout jamais’ - La ‘croisade des albigeois’ et l'invention du génocide », World Religion Watch, (lire en ligne).