Voir Pseudo-Skylax : le Périple du Pont-Euxin, éd. et trad. fr. par Patrick Counillon, Bordeaux, 2004 (ISBN2-910023-47-8) (en ligne) : en introduction, p. 3, Patrick Counillon précise que « le texte adopté s'aligne le plus souvent sur celui de K. Müller, l'apparat critique qui accompagne cette édition ne relève, en plus des leçons du manuscrit, que les divergences entre son édition est la mienne ». On peut aussi consulter une transcription partielle de l'éd. de Karl Muller faite, en 2006, par Ulrich Harsch dans sa bibliotheca Augustana.
Rudolf Helm a réalisé une transcription de la lecture de Adolf Bauer(de) et Otto Cuntz(de) publiée dans Die Chronik des Hippolytos im Matritensis 121, Leipzig (Texte und Untersuchungen N. F., 14), 1906 [1905], p. 243-276 (en ligne). Selon Pérez Martín 2016, p. 85 n. 53 (ci-dessous) : « Bauer assigned numbers to the pieces of varying sizes that make up the text. This numbering is rather arbitrary and obscures the clues that the original layout of the text gives for its understanding. Apart from that, the editors (particularly Helm) have not respected the textual variations in the manuscript, correcting and completing it with no explanation. » Voir Inmaculada Pérez Martín, « Chronography and Geography in Tenth-Century Constantinople : the Manuscript Madrid, BN, Mss/4701 », dans Geographia antiqua, 25, Florence, 2016, p. 79-98 (en ligne) ; Pascal Arnaud, « Un illustre inconnu : Le Stadiasme de la Grande Mer », dans Comptes-rendus de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 2017, p. 702 (en ligne).
Cf. Altomare 2013 et Bianca Maria Altomare, « Périples dans le Périple : notes sur la structure du Périple de la Mer extérieure de Marcien d’Héraclée et sur sa tradition indirecte », dans Revue des Études Tardo-antiques, 4, Paris, 2015, part. p. 36-37 (en ligne, bis). Voir aussi la notice du manuscrit dans le catalogue du CNRS pinakes.
Rudolf Helm a réalisé une transcription de la lecture de Adolf Bauer(de) et Otto Cuntz(de) publiée dans Die Chronik des Hippolytos im Matritensis 121, Leipzig (Texte und Untersuchungen N. F., 14), 1906 [1905], p. 243-276 (en ligne). Selon Pérez Martín 2016, p. 85 n. 53 (ci-dessous) : « Bauer assigned numbers to the pieces of varying sizes that make up the text. This numbering is rather arbitrary and obscures the clues that the original layout of the text gives for its understanding. Apart from that, the editors (particularly Helm) have not respected the textual variations in the manuscript, correcting and completing it with no explanation. » Voir Inmaculada Pérez Martín, « Chronography and Geography in Tenth-Century Constantinople : the Manuscript Madrid, BN, Mss/4701 », dans Geographia antiqua, 25, Florence, 2016, p. 79-98 (en ligne) ; Pascal Arnaud, « Un illustre inconnu : Le Stadiasme de la Grande Mer », dans Comptes-rendus de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 2017, p. 702 (en ligne).
Cf. aussi l'éd. de E. Miller en 1839 (en ligne). Voir les commentaires de Jean-Antoine Letronne, « Chapitre VI : Fragments géographiques inédits », dans Fragments des poèmes géographiques de Scymnus de Chio et du faux Dicéarque, Paris, 1840, p. 293-303 (en ligne).
Itineraria romana : römische Reisewege an der Hand der Tabula Peutingeriana. Mit 317 Kartenskizzen und Textbildern, éd. Konrad Miller(de), Stuttgart, 1916 : repr. Rome, 1964. Cf. La bio-bibliographie de (de) Miller.
Voir Henri Omont, Inventaire sommaire des manuscrits grecs de la Bibliothèque nationale et des autres bibliothèques de Paris et des départements. 3e partie, Paris, 1888, p. 262 (en ligne).
cnrs.fr
pinakes.irht.cnrs.fr
Voir les manuscrits dans le catalogue du CNRS pinakes.
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Voir la notice du manuscrit dans le catalogue du CNRS pinakes.
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Cf. Eleftheriou 2016. Voir aussi la notice du manuscrit dans le catalogue du CNRS pinakes.
Cf. Diller 1952, p. 3-14. Voir aussi la notice du manuscrit dans le catalogue du CNRS pinakes.
Cf. Altomare 2013 et Bianca Maria Altomare, « Périples dans le Périple : notes sur la structure du Périple de la Mer extérieure de Marcien d’Héraclée et sur sa tradition indirecte », dans Revue des Études Tardo-antiques, 4, Paris, 2015, part. p. 36-37 (en ligne, bis). Voir aussi la notice du manuscrit dans le catalogue du CNRS pinakes.
Voir la notice du manuscrit dans le catalogue du CNRS pinakes.
Apollonios le Paradoxographe(en) qualifie cet Héraclide (du Pont ?) de Crétique[1], ce que certains ont lu comme Héraclide le Critique (G. Fr. Unger, « Herakleides Pontikos der Kritiker », dans Rh.M., 38, 1883, p. 481-506. Voir aussi R. Däbritz, « Herakleides [46] », dans RE, XV, 1912, col. 484 ; Alexander Arenz, « Herakleides Kritikos (2022 = 369A) », dans FGrH V (en-tête en ligne). Cf. Marcotte, 2000, p. XXIX, n. 52), ce qui ne fait pas de lui un crétois : Éric Perrin, « Héracleidès le Crétois à Athènes : les plaisirs du tourisme culturel », dans Revue des Études Grecques, 107, 1994, p. 192-202 (en ligne).
Une transcription partielle de la traduction anglaise par Wilfred H. Schoff a été faite, avant 2017, par K. E. Eduljee dans heritageinstitute.com.
hs-augsburg.de
Une transcription partielle du Périple a été faite, entre 1998 et 2002, par Ulrich Harsch dans sa bibliotheca Augustana.
Voir Pseudo-Skylax : le Périple du Pont-Euxin, éd. et trad. fr. par Patrick Counillon, Bordeaux, 2004 (ISBN2-910023-47-8) (en ligne) : en introduction, p. 3, Patrick Counillon précise que « le texte adopté s'aligne le plus souvent sur celui de K. Müller, l'apparat critique qui accompagne cette édition ne relève, en plus des leçons du manuscrit, que les divergences entre son édition est la mienne ». On peut aussi consulter une transcription partielle de l'éd. de Karl Muller faite, en 2006, par Ulrich Harsch dans sa bibliotheca Augustana.
Une transcription partielle de l'éd. de Friedrich Pfister a été faite, en 2010, par Ulrich Harsch dans sa bibliotheca Augustana.
Une transcription partielle de l'éd. de Wilfred H. Schoff a été faite, en 2019, par Ulrich Harsch dans sa bibliotheca Augustana.
Des transcriptions partielles des éd. de 1831 et de 1955 ont été faites, en 2017, par Ulrich Harsch dans sa bibliotheca Augustana.
La traduction française de Périple d'Hannon est accompagnée en regard du texte grec établi par Wolfgang Aly, en 1927, dans Jehan Desanges, Recherches sur l'activité des Méditerranéens aux confins de l'Afrique (VIe siècle avant J.-C. - IVe siècle après J.-C.), Rome, 1978, p. 392-397 (Publications de l'École française de Rome, 38) (en ligne).
Apollonios le Paradoxographe(en) qualifie cet Héraclide (du Pont ?) de Crétique[1], ce que certains ont lu comme Héraclide le Critique (G. Fr. Unger, « Herakleides Pontikos der Kritiker », dans Rh.M., 38, 1883, p. 481-506. Voir aussi R. Däbritz, « Herakleides [46] », dans RE, XV, 1912, col. 484 ; Alexander Arenz, « Herakleides Kritikos (2022 = 369A) », dans FGrH V (en-tête en ligne). Cf. Marcotte, 2000, p. XXIX, n. 52), ce qui ne fait pas de lui un crétois : Éric Perrin, « Héracleidès le Crétois à Athènes : les plaisirs du tourisme culturel », dans Revue des Études Grecques, 107, 1994, p. 192-202 (en ligne).
Voir Bianca Maria Altomare, « Géographie et cosmographie dans l’Antiquité tardive : la tradition grecque et les modèles latins », dans Dialogues d'histoire ancienne, 39-1, 2013, p. 9-34 (en ligne).
Voir Didier Marcotte, « Priscien de Lydie, la géographie et les origines néoplatoniciennes de la Collection philosophique », dans Journal des savants, 2014, no 2, p. 165-203 (en ligne).
Voir Henri Omont, « Minoïde Mynas et ses missions en Orient (1840-1855) », dans Mémoires de l'Institut national de France, 40, 1916. p. 337-421 (en ligne).
Apollonios le Paradoxographe(en) qualifie cet Héraclide (du Pont ?) de Crétique[1], ce que certains ont lu comme Héraclide le Critique (G. Fr. Unger, « Herakleides Pontikos der Kritiker », dans Rh.M., 38, 1883, p. 481-506. Voir aussi R. Däbritz, « Herakleides [46] », dans RE, XV, 1912, col. 484 ; Alexander Arenz, « Herakleides Kritikos (2022 = 369A) », dans FGrH V (en-tête en ligne). Cf. Marcotte, 2000, p. XXIX, n. 52), ce qui ne fait pas de lui un crétois : Éric Perrin, « Héracleidès le Crétois à Athènes : les plaisirs du tourisme culturel », dans Revue des Études Grecques, 107, 1994, p. 192-202 (en ligne).
remacle.org
Voir Pseudo-Plutarque, Nommer le monde : origine des noms de fleuves, de montagnes et de ce qui s’y trouve, trad. par Charles Delattre, Lille, 2011 (ISBN9782757402054). Une transcription partielle de la trad. française par Dominique Ricard de 1783-1795 a été faite dans remacle.org.
Une transcription partielle de la trad. française par E. Despois et Ed. Saviot de 1843 a été faite par Thierry Vebr dans remacle.org.
Une transcription partielle de la trad. française par E.-F. Corpet de 1845 a été faite par Marc Szwajcer dans remacle.org.
Voir dans Extraits des auteurs grecs concernant la géographie et l'histoire des Gaules, éd. et nouv. trad. par Edmond Cougny et Henri Lebègue, Paris, 1878-1892, t. I, note 16 : « Nicéphore le Blemmide est un moine du XIIIe siècle ; sa Géographie synoptique n'est autre chose qu'un Commentaire de Denys le Périégète. »
Cf. Altomare 2013 et Bianca Maria Altomare, « Périples dans le Périple : notes sur la structure du Périple de la Mer extérieure de Marcien d’Héraclée et sur sa tradition indirecte », dans Revue des Études Tardo-antiques, 4, Paris, 2015, part. p. 36-37 (en ligne, bis). Voir aussi la notice du manuscrit dans le catalogue du CNRS pinakes.
Rudolf Helm a réalisé une transcription de la lecture de Adolf Bauer(de) et Otto Cuntz(de) publiée dans Die Chronik des Hippolytos im Matritensis 121, Leipzig (Texte und Untersuchungen N. F., 14), 1906 [1905], p. 243-276 (en ligne). Selon Pérez Martín 2016, p. 85 n. 53 (ci-dessous) : « Bauer assigned numbers to the pieces of varying sizes that make up the text. This numbering is rather arbitrary and obscures the clues that the original layout of the text gives for its understanding. Apart from that, the editors (particularly Helm) have not respected the textual variations in the manuscript, correcting and completing it with no explanation. » Voir Inmaculada Pérez Martín, « Chronography and Geography in Tenth-Century Constantinople : the Manuscript Madrid, BN, Mss/4701 », dans Geographia antiqua, 25, Florence, 2016, p. 79-98 (en ligne) ; Pascal Arnaud, « Un illustre inconnu : Le Stadiasme de la Grande Mer », dans Comptes-rendus de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 2017, p. 702 (en ligne).
Itineraria romana : römische Reisewege an der Hand der Tabula Peutingeriana. Mit 317 Kartenskizzen und Textbildern, éd. Konrad Miller(de), Stuttgart, 1916 : repr. Rome, 1964. Cf. La bio-bibliographie de (de) Miller.
en.wikipedia.org
Apollonios le Paradoxographe(en) qualifie cet Héraclide (du Pont ?) de Crétique[1], ce que certains ont lu comme Héraclide le Critique (G. Fr. Unger, « Herakleides Pontikos der Kritiker », dans Rh.M., 38, 1883, p. 481-506. Voir aussi R. Däbritz, « Herakleides [46] », dans RE, XV, 1912, col. 484 ; Alexander Arenz, « Herakleides Kritikos (2022 = 369A) », dans FGrH V (en-tête en ligne). Cf. Marcotte, 2000, p. XXIX, n. 52), ce qui ne fait pas de lui un crétois : Éric Perrin, « Héracleidès le Crétois à Athènes : les plaisirs du tourisme culturel », dans Revue des Études Grecques, 107, 1994, p. 192-202 (en ligne).
Apollonios le Paradoxographe(en) qualifie cet Héraclide (du Pont ?) de Crétique[1], ce que certains ont lu comme Héraclide le Critique (G. Fr. Unger, « Herakleides Pontikos der Kritiker », dans Rh.M., 38, 1883, p. 481-506. Voir aussi R. Däbritz, « Herakleides [46] », dans RE, XV, 1912, col. 484 ; Alexander Arenz, « Herakleides Kritikos (2022 = 369A) », dans FGrH V (en-tête en ligne). Cf. Marcotte, 2000, p. XXIX, n. 52), ce qui ne fait pas de lui un crétois : Éric Perrin, « Héracleidès le Crétois à Athènes : les plaisirs du tourisme culturel », dans Revue des Études Grecques, 107, 1994, p. 192-202 (en ligne).