Zineb Ali-Benali, « Une généalogie de la parole « harkis ». Mémoires des filles, paroles des mères », Les Temps Modernes, no 666, , p. 186–196 (ISSN0040-3075, DOI10.3917/ltm.666.0186, lire en ligne, consulté le )
Zineb Ali-Benali, « Une généalogie de la parole « harkis ». Mémoires des filles, paroles des mères », Les Temps Modernes, no 666, , p. 186–196 (ISSN0040-3075, DOI10.3917/ltm.666.0186, lire en ligne, consulté le )
Abderahmen Moumen, « De l'Algérie à la France. Les conditions de départ et d'accueil des rapatriés, pieds-noirs et harkis en 1962 », Matériaux pour l’histoire de notre temps, no 99, , p. 60–68 (ISSN0769-3206, lire en ligne, consulté le )
« Sans registres précis, il est impossible de connaître le nombre total d'Algériens ayant ainsi servi du côté français. On peut seulement avancer une estimation comprise entre 200 000 et 400 000 hommes, soit 10 % à 20 % de la population algérienne susceptible d'être recrutée. L'ordre de grandeur témoigne d'un phénomène massif, qui a concerné avec plus ou moins d'intensité la société rurale algérienne dans son ensemble. », François-Xavier Hautreux, « L'usage des harkis et auxiliaires algériens par l'armée française », Abderrahmane Bouchène in Histoire de l'Algérie à la période coloniale. 1830-1962, La Découverte, 2014, pp. 519-526. En ligne.
François-Xavier Hautreux, « L'engagement des harkis (1954-1962), Abstract », Vingtième Siècle : Revue d'histoire, vol. 90, no 2, , p. 33–45 (ISSN0294-1759, DOI10.3917/ving.090.0033, lire en ligne, consulté le )
Zineb Ali-Benali, « Une généalogie de la parole « harkis ». Mémoires des filles, paroles des mères », Les Temps Modernes, no 666, , p. 186–196 (ISSN0040-3075, DOI10.3917/ltm.666.0186, lire en ligne, consulté le )
Zineb Ali-Benali, « Une généalogie de la parole « harkis ». Mémoires des filles, paroles des mères », Les Temps Modernes, no 666, , p. 186–196 (ISSN0040-3075, DOI10.3917/ltm.666.0186, lire en ligne, consulté le )
Charles-Robert Ageron, « Le « drame des Harkis » : mémoire ou histoire ? », Vingtième Siècle : Revue d'histoire, vol. 68, no 1, , p. 3–16 (ISSN0294-1759, DOI10.3406/xxs.2000.3931, lire en ligne, consulté le )
Abdel Kader Hamadi, « Mémoire des lieux : les camps ouverts aux harkis dans le sud de la France », Bulletin de l'Association de géographes français, vol. 83, no 1, , p. 105–120 (DOI10.3406/bagf.2006.2497, lire en ligne, consulté le ).
Charles-Robert Ageron, « Complots et Purges dans l'armée de libération algérienne (1958-1961) », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, no 59, , p. 15–27 (ISSN0294-1759, DOI10.2307/3770276, lire en ligne, consulté le ).
Xavier Yacono, « Les pertes algériennes de 1954 à 1962 », Revue de l'Occident musulman et de la Méditerranée, vol. 34, no 1, , p. 119–134 (DOI10.3406/remmm.1982.1963, lire en ligne, consulté le ).
Mohammed Harbi et Gilbert Meynier, Le FLN, documents et histoire : 1954-1962, Fayard, (lire en ligne)
Régis Pierret, Les filles et fils de harkis : entre double rejet et triple appartenance, Éditions L'Harmattan, 2008, [lire en ligne], p. 148.
harki.net
Jean Lacouture, dans Le Monde du 13 novembre 1962 donne, à cette date, une première estimation : « Plus de dix mille harkis ont été, entre le 18 mars et le 1er novembre (1962) , exécutés ou assassinés ». Mohand Hamoumou, dans Et ils sont devenus harkis (Fayard, 1994, réédité en 2001, page 249), précise: « Pourtant, il faut bien l’admettre, c’est bien 100 000 à 150 000 personnes, l’équivalent de villes comme Cergy-pontoise ou Orléans, qui furent assassinées dans des conditions horribles ». Le général François Meyer, dans son ouvrage « Pour l’honneur, avec les harkis », (Editions CLD, 2005, page 168) reprend l’estimation de l’historien Jean-Charles Jauffret : « Il semble qu’un consensus rassemble peu à peu les historiens français, et qu’une évaluation commune de 60 000 à 80 000 (victimes) soit retenue ». Boussad Azni, à l’origine de la création du Comité national de liaison des harkis, avance le chiffre de 150 000 harkis tués dans le livre Harkis, crime d’Etat, généalogie d’un abandon (Editions Ramsay, collection J’ai lu, 2002, page 56). Georges-Marc Benamou, dans son livre Un Mensonge français, avance le chiffre de 70 000 victimes. L’historien Gilbert Meynier a déclaré dans une interview publiée dans le quotidien El Watan le 10 mars 2005 que les massacres avaient été moins importants et plus localisés que ce que déclarent certains journalistes comme Georges-Marc Benamou. Abderahmen Moumen et Fatima Besnaci-Lancou, dans Les harkis (éd. Le cavalier bleu, collection Idées reçues, août 2008, page 40), écrivent : « Peu d’historiens s’aventurent à donner des chiffres. Benjamin Stora avance, dans La guerre d’Algérie (1954-2004), la fin de l’amnésie (2004), une estimation entre 10 000 et 25 000 morts, d’autres reprennent les estimations du général Maurice Faivre, soit entre 55 000 et 75 000 morts ». De fait, en 1995, le général Maurice Faivre avançait une fourchette de 50 000 à 70 000 harkis tués par le F.L.N. (Pierre Messmer, Les blancs s'en vont: récits de décolonisation, Albin Michel, 1998, p.174). Les chiffres des morts ont pu être contestés car basés sur des témoignages locaux que l’on a ensuite étendu à l’ensemble du pays.
Voir la carte des camps établie par Abderahmen Moumen pour le livre : Fatima Besnaci-Lancou, Gilles Manceron (dir.), Les harkis dans la colonisation et ses suites, éditions de l'atelier, 2008, p. 134-135.
François-Xavier Hautreux, « L'engagement des harkis (1954-1962), Abstract », Vingtième Siècle : Revue d'histoire, vol. 90, no 2, , p. 33–45 (ISSN0294-1759, DOI10.3917/ving.090.0033, lire en ligne, consulté le )
Zineb Ali-Benali, « Une généalogie de la parole « harkis ». Mémoires des filles, paroles des mères », Les Temps Modernes, no 666, , p. 186–196 (ISSN0040-3075, DOI10.3917/ltm.666.0186, lire en ligne, consulté le )
Zineb Ali-Benali, « Une généalogie de la parole « harkis ». Mémoires des filles, paroles des mères », Les Temps Modernes, no 666, , p. 186–196 (ISSN0040-3075, DOI10.3917/ltm.666.0186, lire en ligne, consulté le )
Charles-Robert Ageron, « Le « drame des Harkis » : mémoire ou histoire ? », Vingtième Siècle : Revue d'histoire, vol. 68, no 1, , p. 3–16 (ISSN0294-1759, DOI10.3406/xxs.2000.3931, lire en ligne, consulté le )
Abderahmen Moumen, « De l'Algérie à la France. Les conditions de départ et d'accueil des rapatriés, pieds-noirs et harkis en 1962 », Matériaux pour l’histoire de notre temps, no 99, , p. 60–68 (ISSN0769-3206, lire en ligne, consulté le )
« Gardiens de la mémoire des harkis de la forêt », La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
Charles-Robert Ageron, « Complots et Purges dans l'armée de libération algérienne (1958-1961) », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, no 59, , p. 15–27 (ISSN0294-1759, DOI10.2307/3770276, lire en ligne, consulté le ).
Charles-Robert Ageron, « Complots et Purges dans l'armée de libération algérienne (1958-1961) », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, no 59, , p. 15–27 (ISSN0294-1759, DOI10.2307/3770276, lire en ligne, consulté le ).
la-croix.com
« Gardiens de la mémoire des harkis de la forêt », La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
Charles-Robert Ageron, « Les supplétifs Algériens dans l'Armée française pendant la guerre d'Algérie », Vingtième Siècle : Revue d'histoire, no 48, , p. 3 (lire en ligne).
Charles-Robert Ageron, « Le « drame des Harkis » : mémoire ou histoire ? », Vingtième Siècle : Revue d'histoire, vol. 68, no 1, , p. 3–16 (ISSN0294-1759, DOI10.3406/xxs.2000.3931, lire en ligne, consulté le )
Abdel Kader Hamadi, « Mémoire des lieux : les camps ouverts aux harkis dans le sud de la France », Bulletin de l'Association de géographes français, vol. 83, no 1, , p. 105–120 (DOI10.3406/bagf.2006.2497, lire en ligne, consulté le ).
Xavier Yacono, « Les pertes algériennes de 1954 à 1962 », Revue de l'Occident musulman et de la Méditerranée, vol. 34, no 1, , p. 119–134 (DOI10.3406/remmm.1982.1963, lire en ligne, consulté le ).
Raphaëlle Branche, Bilan historiographique de la guerre d’Algérie, des années 2000 à aujourd'hui, Institut de recherche stratégique de l'École militaire, , 57 p. (lire en ligne), p. 8, 9, 12, 17, 19, 37, 38, 39 et 52
Abderahmen Moumen et Nicolas Lebourg, « Les strates mémorielles du camp de Rivesaltes », Jean-Frédéric De Hasque et Clara Lecadet dir., in Après les camps. Traces, mémoires et mutations des camps de réfugiés, Paris, Academia, 2019, pp. 51-75. En ligne
Fatima Besnaci-Lancou, Les Harkis : dans la colonisation et ses suites, Ivry-sur-Seine, L'Atelier, , 223 p. (ISBN978-2-7082-3990-6, OCLC263687017), p. 113-130
Fatima Besnaci-Lancou, Les Harkis : dans la colonisation et ses suites, Ivry-sur-Seine, L'Atelier, , 233 p. (ISBN978-2-7082-3990-6, OCLC263687017), p. 13-33.
Fatima Besnaci-Lancou, Les Harkis : dans la colonisation et ses suites, Ivry-sur-Seine, L'Atelier, , 223 p. (ISBN978-2-7082-3990-6, OCLC263687017), p. 125-130.
Fatima Besnaci-Lancou, Les Harkis : dans la colonisation et ses suites, Ivry-sur-Seine, L'Atelier, , 223 p. (ISBN978-2-7082-3990-6, OCLC263687017), p. 131-145
Fatima Besnaci-Lancou, Les Harkis : dans la colonisation et ses suites, Ivry-sur-Seine, L'Atelier, , 223 p. (ISBN978-2-7082-3990-6, OCLC263687017), p. 169-172.