Trafic d’organes : le nouveau « business » chinois, Amnesty International, 10 mai 2002 : « Harry Wu, révélant l’étendue du trafic d’organes en provenance de Chine, un commerce juteux pour l’Armée populaire de libération (APL), selon lui... Les condamnés sont généralement tués d’une balle dans la tête afin de préserver des organes tels que les poumons, le cœur, le foie ou les reins, a également précisé Mr. Wu. »
amnesty.fr
Bernard Debord, Alerte pour les lanceurs, Amnesty International, 2 février 2015 : « De même, il fallut les témoignages de Harry Wu et Wei Jingsheng sur le laogaï et leurs révélations sur les prélèvements d’organes des condamnés à mort ou le cannibalisme des années de famine pour que le monde découvre l’envers du rideau de bambou. »
Richard Sedillot, « « Our Body », l'exposition de cadavres portée devant la justice »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le )Rue 89, 2009 « Harry Wu, ancien prisonnier politique chinois de 1960 à 1979 et actuellement réfugié aux États-Unis où il œuvre pour les droits des Chinois, explique que les prisonniers sont, en Chine, exploités par l’État de leur vivant, mais que cette exploitation ne cesse pas avec leur mort. Les corps et les organes des prisonniers ou des condamnés à mort font l’objet d’un commerce »
asianews.it
(en) « Harry Wu questions Falun Gong's claims about organ transplants », sur AsiaNews(en), : « Mr Wu, who spent 19 years in Laogai camps, has uncovered evidence that establishes that for quite some time Chinese prisoners have been used to supply organ banks and executed on demand for needy transplant patients. / His doubts are not over the practice but over the alleged spike in transplants and organs sale purportedly carried out at the expense of the Falun Gong [...] According to Mr Wu, [...], Falun Gong's claim that they are victims of an Auschwitz-like camp runs the risk of being treated as "political propaganda." Still, in his opinion, the "Chinese Communist government is an evil regime that commits many atrocities, including the persecution of the Falun Gong." ».
Richard Sedillot, « « Our Body », l'exposition de cadavres portée devant la justice »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le )Rue 89, 2009 « Harry Wu, ancien prisonnier politique chinois de 1960 à 1979 et actuellement réfugié aux États-Unis où il œuvre pour les droits des Chinois, explique que les prisonniers sont, en Chine, exploités par l’État de leur vivant, mais que cette exploitation ne cesse pas avec leur mort. Les corps et les organes des prisonniers ou des condamnés à mort font l’objet d’un commerce »
independent.co.uk
Emily Langer, Obituary: Harry Wu, Chinese dissident and labour camp activist, The Independent, 29 avril 2016 : « By his account, Mr. Wu stole from prisoners and collaborated with police to survive in prison. "I became an animal," he told The Washington Post. "Unless you are an animal, you cannot survive." »
(en) Harry Wu Interviewed by CNN, Laogai Research Foundation, 30 janvier 2013 : « he stressed that with the Chinese new leadership taking power, China has entered into a critical period because the communist regime does not seem to be able to hold on to power for very long. Therefore, he was confident that the communist system will collapse in China. »
Harry Wu, 59 ans, le plus célèbre des dissidents chinois, consacre sa vie à dénoncer les camps où il a passé dix-neuf ans. Le Chinois qui aimait Jean Valjean, Libération, 28 janvier 1997 : « Il y a tout d'abord Shanghai, ville cosmopolite. Brasseur d'affaires, le père du petit Harry est riche. La famille Wu vit avec les Occidentaux dans la concession française, et Harry fréquente l'école catholique Saint-François en 1948, un an avant l'entrée de l'armée Rouge. Petit garçon choyé, il joue au base-ball, parle l'anglais à l'école et le chinois à la maison. [...] À cause de ses «origines bourgeoises» et pour avoir critiqué l'intervention soviétique en Hongrie, Harry passe directement de l'université, où il étudie la géologie, à l'univers des camps. »
Jean-Jacques GandiniLaogai, le Goulag chinoisLe Monde diplomatique, février 1998 « Avec le témoignage d’Harry Wu, qui a passé dix-neuf années de sa vie dans le laogai, ou goulag chinois, un rideau se déchire sur l’un des secrets d’Etat les mieux gardés en Chine. S’appuyant - outre sur son propre vécu - sur des sources provenant de journaux, documents officiels et documents internes du Parti communiste, l’auteur démonte le mécanisme à l’origine du plus important complexe pénitentiaire de tous les temps : il s’agit d’un système de réforme mentale ayant pour but de créer un homme nouveau, l’anéantissement de l’individu étant la condition nécessaire pour assurer la pérennité du régime totalitaire mis en place par le Parti communiste. »
Richard Sedillot, « « Our Body », l'exposition de cadavres portée devant la justice »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le )Rue 89, 2009 « Harry Wu, ancien prisonnier politique chinois de 1960 à 1979 et actuellement réfugié aux États-Unis où il œuvre pour les droits des Chinois, explique que les prisonniers sont, en Chine, exploités par l’État de leur vivant, mais que cette exploitation ne cesse pas avec leur mort. Les corps et les organes des prisonniers ou des condamnés à mort font l’objet d’un commerce »
Dissidence politique -mise à jour Commission de l'immigration et du statut de réfugiés du Canada : « Par contre, un rapport publié en janvier 1995 par Human Rights Watch/Asia et Human Rights in China présente un document secret du bureau de la sécurité publique, produit en mai 1994 et qui contient le nom de 49 personnes non autorisées à retourner en Chine pour des raisons politiques, ainsi que des renseignements à leur sujet [...]La troisième catégorie comprend des cas semblables à ceux de la deuxième, mais les fonctionnaires chargés de la sécurité des frontières doivent consulter les hauts fonctionnaires sur la façon de traiter ces personnes. Des considérations d'ordre politique peuvent être importantes pour cette catégorie, qui comprend plusieurs personnalités célèbres [...] Harry Hongda Wu, dont les révélations sur les conditions qui existent dans les prisons et sur l'utilisation du travail des prisonniers pour fabriquer des marchandises pour l'exportation ont embarrassé le gouvernement chinois »
scmp.com
(en) Paul Moon et Paul Mooney, « Activist Harry Wu challenges organ harvesting claims », South China Morning Post, : « On March 22, I wrote certain US Congress Representatives and other people about the Sujiatun situation and I told them what I thought. The recipients of this letter were about 20 or so people who were either US Congress Representatives or media people. There were three main points in the letter: (1) according to my recent investigation, the Sujiatun concentration camp holding 6,000 people does not exist; (2) for over more than 20 years, the Chinese government had extracted large numbers of organs from death-sentence prisoners. But a scale of 4,500 live organ extractions is impossible in theory and infeasible in practice: (3) the report "The Communists are stealing organs from Falun Gong members to export to Thailand and other countries" is completely not credible. ».
slate.fr
m.slate.fr
Sylvain BoulouqueLa révolution chinoise au prisme de sa matrice soviétique, ou quand l'histoire se répète. Slate, 10 novembre 2014 : « Les camps sont constitutifs du système communiste. Entre 1928 et 1953, plus de vingt millions de personnes sont passées par le goulag en URSS, auxquelles s’ajoutent six millions de personnes déplacées de force. Là aussi, la Chine a copié le système soviétique. Dès la prise du pouvoir, des responsables de la police politique soviétique viennent aider les Chinois à construire leur système concentrationnaire, le laogaï, qui se double d’un système de rétention administrative, le laojiao. Le nombre de prisonniers chinois est d’environ dix millions entre 1952 et 1977. Dans un cas comme dans l’autre, le système de déshumanisation avancée affiche des principes idéologiques inverses. L’illustration la plus aboutie est dans un cas la Grande Terreur et dans l’autre la Révolution culturelle, où le processus d’animalisation de l’ennemi réel ou supposé atteint son paroxysme. Dans la doxa léniniste, le camp est un moyen d’éducation et de réforme de la pensée. L’idéologie demeure le fondement même des systèmes. »
taipeitimes.com
AFP, US museum displays China’s ‘laogai’, Taipei Times, 10 novembre 2008 : « “To this end, the museum will not only introduce the history and structure of the laogai, but will also tell the personal stories of many of its prisoners,” it said. / Materials on display at the museum, to open to the public on Thursday, include photographs, government documents and prisoner uniforms from Wu’s own archives or donated by other laogai survivors. »
Richard Sedillot, « « Our Body », l'exposition de cadavres portée devant la justice »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le )Rue 89, 2009 « Harry Wu, ancien prisonnier politique chinois de 1960 à 1979 et actuellement réfugié aux États-Unis où il œuvre pour les droits des Chinois, explique que les prisonniers sont, en Chine, exploités par l’État de leur vivant, mais que cette exploitation ne cesse pas avec leur mort. Les corps et les organes des prisonniers ou des condamnés à mort font l’objet d’un commerce »
wikipedia.org
en.wikipedia.org
(en) « Harry Wu questions Falun Gong's claims about organ transplants », sur AsiaNews(en), : « Mr Wu, who spent 19 years in Laogai camps, has uncovered evidence that establishes that for quite some time Chinese prisoners have been used to supply organ banks and executed on demand for needy transplant patients. / His doubts are not over the practice but over the alleged spike in transplants and organs sale purportedly carried out at the expense of the Falun Gong [...] According to Mr Wu, [...], Falun Gong's claim that they are victims of an Auschwitz-like camp runs the risk of being treated as "political propaganda." Still, in his opinion, the "Chinese Communist government is an evil regime that commits many atrocities, including the persecution of the Falun Gong." ».
Richard Sedillot, « « Our Body », l'exposition de cadavres portée devant la justice »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le )Rue 89, 2009 « Harry Wu, ancien prisonnier politique chinois de 1960 à 1979 et actuellement réfugié aux États-Unis où il œuvre pour les droits des Chinois, explique que les prisonniers sont, en Chine, exploités par l’État de leur vivant, mais que cette exploitation ne cesse pas avec leur mort. Les corps et les organes des prisonniers ou des condamnés à mort font l’objet d’un commerce »