(en) Maarten H D Larmuseau, Philippe Delorme, Patrick Germain, Nancy Vanderheyden, Anja Gilissen, Anneleen Van Geystelen, Jean-Jacques Cassiman et Ronny Decorte, « Genetic genealogy reveals true Y haplogroup of House of Bourbon contradicting recent identification of the presumed remains of two French Kings », European Journal of Human Genetics, (DOI10.1038/ejhg.2013.211).
La phrase tire vraisemblablement son origine des propos prêtés au « duc de Rosny »(Sully) dans « Les Caquets de l'accouchée » (satire anonyme de 1622) : « Comme disoit un jour le duc de Rosny au feu roy Henry le Grand, que Dieu absolve, lors qu'il luy demandoit pourquoy il n'alloit pas à la messe aussi bien que lui : Sire, sire, la couronne vaut bien une messe ; aussi une espée de connestable donnée à un vieil routier de guerre merite bien de desguiser pour un temps sa conscience et de feindre d'estre grand catholique. » L'allusion est au duc de Lesdiguières, qui se convertit en 1622 pour devenir connétable de France. Les Caquets de l'accouchée, page 172 de l'édition d'Édouard Fournier, 1855, numérisée sur Google Livres.
Lettres patentes de Henri IV du relatives à la destination de la Grande Galerie, enregistrées le ; transcrites d'après les registres du Parlement, In : Adolphe Berty, « Topographie historique du vieux Paris : Région du Louvre et des Tuileries », deuxième édition, Paris, Imprimerie impériale, 1885, p. 100 (en ligne).
« En 1576, à peine échappé de Paris, Henri aurait eu d'une dénommée Louise Borré, fille d'un notaire royal, un enfant illégitime, prénommé Hervé. Mais il est possible qu'il ne s'agisse là que d'une rumeur villageoise », Philippe Delorme, Henri IV : les réalités d'un mythe, Paris, Éditions de l'Archipel, , 409 p. (ISBN978-2-8098-0331-0, lire en ligne), p. 143
Paul Mironneau, « Aux sources de la légende d'Henri IV : le Cantique de la Bataille d'Ivry de Guillaume de Salluste du Bartas », Albineana, Cahiers d'Aubigné, vol. 9, no 1, , p. 111-127 (ISSN1154-5852, lire en ligne)
Cécile Claveaux, « Henri IV : le roi de coeur », Le Monde, (lire en ligne)
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La statue équestre indique la cause de la mort de son cavalier selon une règle généralement suivie : si le cheval est représenté en ayant ses 2 sabots antérieurs en l’air c’est que le personnage représenté est mort au combat ; si un seul est en l’air, le personnage est mort des suites de blessures reçues au combat et si les 4 sabots sont au sol, le personnage n’est pas mort au combat mais de causes “naturelles” c’est-à-dire sans blessure apparente.[1]
René Gandilhon, « Henri IV et le vin », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 145, no 2, , p. 384 (lire en ligne).
Yves-Marie Bercé, « Les Coups de majesté des rois de France, 1588, 1617, 1661 », dans Complots et conjurations dans l’Europe moderne. Actes du colloque international organisé à Rome, 30 septembre-2 octobre 1993, Rome, École Française de Rome, coll. « Publications de l'École française de Rome » (no 220), , 786 p. (ISBN2-7283-0362-2, lire en ligne), p. 491-505.
Paul Mironneau, « Aux sources de la légende d'Henri IV : le Cantique de la Bataille d'Ivry de Guillaume de Salluste du Bartas », Albineana, Cahiers d'Aubigné, vol. 9, no 1, , p. 111-127 (ISSN1154-5852, lire en ligne)