Henri de Joyeuse (French Wikipedia)

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archive.is

  • « Couvent des Capucines - extrait de : M. THIERY, Guide des amateurs et des étrangers voyageurs à Paris, tome 1, Paris, Hardouin et Gattey, 1787, p. 129-130 » [archive du ], sur nicolaslefloch.fr (consulté le ) : « Qu’advint-il des ossements qui ceux qui s’étaient fait enterrer dans le couvent ? On lit dans la Description des catacombes de Paris : précédé d'un précis historique sur les catacombes de tous les peuples..., de Louis-Étienne-François Héricart de Thury (Rossange et Masson, 1815, p. 208) : « Les ossements de ce cloître et de l'église des Capucines furent portés aux catacombes, le 29 mars 1804, ainsi que l'annonce l'inscription qui a été placée au milieu de leur ossuaire particulier. » Selon Jacques Hillairet (Dictionnaire historique des rues de Paris, (Nouvelle édition mise à jour, avec le Supplément rédigé en collaboration avec Pascal Payen-Appenzeller inséré à la fin de chaque volume, Éditions de minuit, 1963), le caveau de Mme de Pompadour aurait été laissé sous la chaussée. ».
  • « Notre-Dame de Paix » [archive du ], sur ssccpicpus.fr, congrégation des Sacrés Cœurs de Jésus et Marie (consulté le ) : « “Notre Dame de Paix” se trouve à deux pas de la place de la Nation, dans la rue de Picpus, au numéro 37 (chapelle Notre-Dame de Paix, entrée du cimetière de Picpus, métro / RER Nation). Louis XIV lui doit sa guérison en 1658. Notre Dame de Paix était la madone la plus vénérée par les Parisiens avant la Révolution. La dévotion à Notre Dame de Paix s'est ensuite répandue dans le monde entier grâce à la congrégation des Sacré Cœurs (Picpus). ».

bnf.fr

gallica.bnf.fr

doi.org

dx.doi.org

  • De Vaissière, Pierre, « La seconde profession de Frère Ange, capucin, duc de Joyeuse, pair et maréchal de France (1599-1608) », Revue d'histoire de l'Église de France, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 12, no 54,‎ , p. 34-52 (DOI 10.3406/rhef.1926.2382, lire en ligne, consulté le ).

google.fr

books.google.fr

  • Jacques de Caillières, Histoire du duc de Joyeuse ou le Courtisan predestiné, , 456 p. (lire en ligne), p. 10.

nicolaslefloch.fr

  • « Couvent des Capucines - extrait de : M. THIERY, Guide des amateurs et des étrangers voyageurs à Paris, tome 1, Paris, Hardouin et Gattey, 1787, p. 129-130 » [archive du ], sur nicolaslefloch.fr (consulté le ) : « Qu’advint-il des ossements qui ceux qui s’étaient fait enterrer dans le couvent ? On lit dans la Description des catacombes de Paris : précédé d'un précis historique sur les catacombes de tous les peuples..., de Louis-Étienne-François Héricart de Thury (Rossange et Masson, 1815, p. 208) : « Les ossements de ce cloître et de l'église des Capucines furent portés aux catacombes, le 29 mars 1804, ainsi que l'annonce l'inscription qui a été placée au milieu de leur ossuaire particulier. » Selon Jacques Hillairet (Dictionnaire historique des rues de Paris, (Nouvelle édition mise à jour, avec le Supplément rédigé en collaboration avec Pascal Payen-Appenzeller inséré à la fin de chaque volume, Éditions de minuit, 1963), le caveau de Mme de Pompadour aurait été laissé sous la chaussée. ».

persee.fr

  • De Vaissière, Pierre, « La seconde profession de Frère Ange, capucin, duc de Joyeuse, pair et maréchal de France (1599-1608) », Revue d'histoire de l'Église de France, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 12, no 54,‎ , p. 34-52 (DOI 10.3406/rhef.1926.2382, lire en ligne, consulté le ).

ssccpicpus.fr

  • « Notre-Dame de Paix » [archive du ], sur ssccpicpus.fr, congrégation des Sacrés Cœurs de Jésus et Marie (consulté le ) : « “Notre Dame de Paix” se trouve à deux pas de la place de la Nation, dans la rue de Picpus, au numéro 37 (chapelle Notre-Dame de Paix, entrée du cimetière de Picpus, métro / RER Nation). Louis XIV lui doit sa guérison en 1658. Notre Dame de Paix était la madone la plus vénérée par les Parisiens avant la Révolution. La dévotion à Notre Dame de Paix s'est ensuite répandue dans le monde entier grâce à la congrégation des Sacré Cœurs (Picpus). ».