Jacqueline Genet, La poésie de William Butler Yeats, vol. 1072, Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Lettres et civilisations étrangères », , 330 p. (ISBN978-2-7574-0027-2, lire en ligne), p. 113.
(en) Stephen Fox, The American conservation movement : John Muir and his legacy, University of Wisconsin Press, , 436 p. (ISBN978-0-299-10634-8, lire en ligne), p. 83.
(en) Richard Grünert, Seize the Day : The « carpe Diem » Scene from Dead Poets Society as an Anticipatory Set for Beginning a Teaching Unit on Poetry, GRIN Verlag, , 29 p. (ISBN978-3-640-35810-6, lire en ligne), p. 3.
Le philosophe, invité par René de Girardin, passe en effet six semaines, à la fin de sa vie, dans la forêt d'Ermenonville afin de se ressourcer. Voir pour plus de détails le site du château d'Ermenonville.
Un autre transcendantaliste américain, Amos Bronson Alcott, note dans son journal que Thoreau prononce son nom de famille [ˈθɔrəʊ], faisant porter l'accent tonique sur la première syllabe et non sur la seconde, prononciation qui est pourtant, aujourd'hui, celle la plus courante aux États-Unis. Une variante trouvée à Concord est ['θɜːrəʊ], proche de celle du mot « thorough » en anglais américain, in (en) « THUR-oh or Thor-OH? And How Do We Know? », sur thoreau.eserver.org (consulté le ).
Pour une étude plus précise sur l'oncle de Thoreau, Charles Dunbar, se reporter à : (en) Austin Meredith, « Uncle Charles Jones “j.c.” Dunbar » [PDF], sur kouroo.info, (consulté le ).
Pour plus de précisions sur la relation de Thoreau avec le guide indien Joe Polis, voir (en) Tom Lynch, « The « Domestic Air of Wilderness »: Henry Thoreau and Joe Polis in the Maine Woods », Weber Studies, University of Nebraska, vol. 14, no 3, (lire en ligne, consulté le ).