« L'été japonais à Paris - Une vaste rétrospective évoque la grande époque du film nippon » , sur lemonde.fr, (consulté le ) : « Mais le véritable chef-d’œuvre de cette ultime période, étrangement resté inédit, est Herbes flottantes (1959), remake en couleurs et sonore d'un film muet de 1934 qui suit les démêlés amoureux d'une troupe ambulante de " petits théâtreux ". »