Cf. à ce propos (en) Herbert Spinden, « The question of the Zodiac in America », American Antropologist, no 18, , p. 53-80 cité par (en) Heather Irene McKillop, The Ancient Maya : new perspectives, Santa Barbara(Calif.), ABC-Clio, , 453 p. (ISBN1-57607-696-2, lire en ligne), p. 46.
Cf. par ex. (en) Elmer D. Johnson, A history of libraries in the western world, Metuchen, N.J., Scarecrow Press, , 354 p. (ISBN0-8108-0949-4) : « Although much Greek literature has been preserved, the amount actually brought down to modern times is probably less than 10 % of all that was written ». Ce passage a été rectifié dans une édition plus récente : (en) Michael H. Harris, A history of libraries in the western world, Lanham, Md., Scarecrow Press, , 310 p. (ISBN0-8108-3724-2, lire en ligne), p. 51 : « Why do we know so little about Greek libraries when such a relatively large amount of classic Greek literature has been preserved ? It is estimated that perhaps ten percent of the major Greek classical writings have survived ».
Expression utilisée notamment par Ptolémée, Almageste, IV, 4. Cette notion, importante dans l'histoire de la méthode scientifique, est bien expliquée par A. Mark Smith, Ptolemy's theory of visual perception : an English translation of the Optics with Introduction and Commentary, The American philosophical society, Philadelphie, 1996, p. 19. https://books.google.com/books?id=mhLVHR5QAQkC&pg=PP1&dq=ptolemy+theory+of+visual+perception#v=onepage&q=&f=false.
le 22 octobre 2137 av. J.-C. selon le calendrier julien proleptique, avec une différence de 19 jours en plus par rapport au calendrier grégorien de 2007. Cette éclipse eut lieu peu avant midi, alors que le Soleil était en transit au niveau de la tête du Scorpion. Cf. également (en) Anton Pannekoek, A History of Astronomy, New York, Dover Publ., (réimpr. 1961), 521 p. (ISBN0-486-65994-1, lire en ligne).
Thomas-Henri Martin, « La précession des équinoxes a-t-elle été connue des Égyptiens ou de quelque autre peuple avant Hipparque ? », Mémoires présentés par divers savants à l'Académie des inscriptions et belles-lettres de l'Institut de France, première série, Sujets divers d'érudition, vol. 8, , p. 303-522 (DOI10.3406/mesav.1869.1050)
Colette Le Lay, sous la direction de Jacques Gapaillard, Les articles d’astronomie dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, Mémoire de D.E.A. d’Histoire des Sciences et des Techniques, Faculté des Sciences et des Techniques de Nantes Centre François Viète, 1997, lire en ligne
C'est assez clair dans le Timée de Platon[réf. nécessaire]. Par contre, vers 450 av. J.-C., Hérodote se moque de cette idée : « Pour moi, je ne puis m’empêcher de rire quand j’en vois certains, qui ont donné des descriptions de la circonférence de la terre, prétendre, sans se laisser guider par la raison, que la terre est ronde comme si elle avait été travaillée au tour… » (Hérodote, Histoires [détail des éditions] [lire en ligne], IV, 36). Il est donc certain qu'au milieu du Ve siècle, l'idée était bien présente mais n'était pas généralement admise[réf. souhaitée].
Célèbre ouvrage parut sans nom d’auteur avec une dédicace à Frédéric II. Version française : Emmanuel Kant (trad. A. M. Roviello), Histoire universelle de la nature et théorie du ciel, Paris, Vrin, (lire sur Wikisource)
Célèbre ouvrage parut sans nom d’auteur avec une dédicace à Frédéric II. Version française : Emmanuel Kant (trad. A. M. Roviello), Histoire universelle de la nature et théorie du ciel, Paris, Vrin, (lire sur Wikisource)
zetetique.fr
Neyret, F. (2007) - « "Lascaux, le ciel des premiers hommes" ou La scientifique indépendante, le reporter et la chaîne culturelle », La Newsletter de l’OZ, novembre 2007, 029, p. 12-16.