Alexandre Pestémaldjoglou, Ce qui subsiste de l'Oran espagnol, vol. 79II, coll. « Revue Africaine », , numérisé par le site Algérie Ancienne éd. (lire en ligne), p. 673
bnf.fr
gallica.bnf.fr
Voyages de M Shaw dans plusieurs provinces de la Barbarie et du Levant, t. I, La Haye, Jean Neaulme, (lire en ligne), p. 35-36
voir notamment l'« Ordonnance royale des 9 novembre et 31 décembre 1845 » qui instaure le principe des consistoires en Algérie. Le premier consistoire a été fraichement accueilli par la communauté juive d'Oran et a vite été contesté, dès l'hiver 1848, provoquant la démission de Nahon et de Sananès en mai 1848. Très contesté également, comme les autres rabbins venus de métropole, Lazare Cahen finit par se faire accepter et devint Grand Rabbin d'Alger en 1864 (Dictionnaire biographique des rabbins, publié par Berg International Éditeurs, sous la direction de Jean Philippe Chaumont et Monique Lévy en 2007, p. 211-214). Abraham el Kanoui resta au consistoire et en devint par la suite Président. Il est le père de Simon Kanoui (cf différents actes de mariage et de naissance des frères et neveux de Simon Kanoui).
Décret impérial du 29 août 1862, non publié au Bulletin officiel [2]
Décret impérial des 16 septembre et 12 décembre 1867 [3]