ACAP, « Sept questions sur le Tibet » de Elizabeth Gleick, Agence Centrafrique Presse, page Chine, 24 novembre 2009 : « L'ONU a défini clairement et explicitement en 1960 les limites et les conditions dans l'exécution du droit d'autodétermination nationale, c'est-à-dire que l'application du droit d'autodétermination nationale ne doit en aucun cas porter atteinte à la souveraineté d'Etat d'un pays et compromettre son intégrité territoriale ».
Tibet - Questions-Réponses, Site de l'Ambassade de Chine en France : « Le Tibet a été officiellement proclamé Région autonome en septembre 1965. »
amigospais-guaracabuya.org
Tendzin Choegyal, le conseiller du dalaï-lama, dans un discours fait en 1999 au Hillsdale’s Center pour un séminaire sur les alternatives constructives, intitulé Faith and Freedom Around the World : « More than 1.2 million Tibetans are dead as a result of the Chinese occupation ». (en) Tendzin Choegyal, « The Truth about Tibet », Imprimis (publication of Hillsdale College, Michigan), .
Fabienne Jagou, « Vers une nouvelle définition de la frontière sino-tibétaine : la Conférence de Simla (1913-1914) et le projet de création de la province chinoise du Xikang »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) In: Extrême-Orient, Extrême-Occident. 2006, No 28, p. 147-167. « Au cours des différentes phases de négociations engagées à Simla, divers arguments furent avancés par les protagonistes pour parvenir à un éventuel accord. Les Tibétains souhaitaient recouvrer un Tibet composé des trois provinces (Û-Tsang, Amdo et Kham) avec une frontière sino-tibétaine allant de Dartsédo au Kham au nord du lac Kokonor en Amdo. Les Chinois revendiquèrent une frontière interne passant à l'ouest de Gyamda, incluant de la sorte tout l'Amdo et la majeure partie du Kham au territoire chinois. Les Britanniques proposèrent alors de diviser le Tibet en un Tibet Extérieur (Û-Tsang) autonome et un Tibet Intérieur (Amdo et Kham) sous suzeraineté chinoise. Mais, les Tibétains et les Chinois rejetèrent cette proposition. Face à ce double refus, les Britanniques modifièrent leur projet en avril 1914, ne parlant alors que d'une suzeraineté chinoise dite « nominale » sur le Tibet extérieur et « effective » sur le Tibet intérieur. Cette version fut d'abord paraphée par les trois protagonistes, avant que le gouvernement chinois ne se rétracte. Finalement, seuls les Britanniques et les Tibétains la signèrent le 3 juillet 1914. »
(en) United States Bureau of Citizenship and Immigration Services, « Tibet (China): Information on Chushi Gangdruk (Gangdrug) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) : « Chushi Gangdruk was active as a CIA-trained and - backed armed resistance group in Tibet in the 1950s and 1960s (Associate Professor of Tibetan Studies 15 Jan 2003). For the Dalai Lama's flight from Tibet to India during the 1959 Tibetan insurrection against Chinese occupation, Chushi Gangdruk fighters were deployed from Lhasa in Tibet across the Himalayas into India in order to block Chinese pursuit of the Tibetan leader (Roberts 1997) (References : Associate Professor of Tibetan Studies, Indiana University. Email to the INS Resource Information Center (15 Jan 2003) - Roberts, John B. THE AMERICAN SPECTATOR, "The Secret War Over Tibet: A Story of Cold War Heroism - and Kennedy Administration Cowardice and Betrayal" (décembre 1997) - NEXIS) ».
Martine Bulard, Chine-Tibet, des identités communes, article reproduit sur le « site de l'UPMF de Grenoble »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) avec comme indications Le Monde Diplomatique, 30 avril 2008, ainsi que sur le blogue Planète Asie du Monde Diplomatique à la date du 30 avril 2008 : « Rappelons que les Nations unies n’ont jamais inclus le Tibet dans les pays à décoloniser (avant comme après 1971 – date du remplacement de Taïwan par la république populaire de Chine) et qu’aucun pays n’a reconnu le "gouvernement" tibétain en exil et donc la possibilité d’une indépendance ».
« The Dalaï Lama of Lhassa », p. 8 et 9 « Gushi was declared ruler of Tibet — under the supreme rule of Lozang-gyats'o — to whom he shortly aafter transferred the authority retaining only the command of the Mongol troops of occupation. The old Tibetan office of Dési or "Prime Minister" was maintained. ».
(en) Michael R. Sheehy, « The Jonangpa after Tāranātha:Autobiographical writtings on the transmission of esorteric buddhist knowledge in seventeenth century Tibet », Bulletin of Tibetology, Namgyal Institute, vol. 45, no 1, , p. 9-24 (lire en ligne)
case.edu
Un document d'origine chinoise fournit des détails sur l'origine du chiffre de 87 000 tibétains tués : Tibetan Population in China: Myths and Facts Re-examined, Yan Hao (Institute of Economic Research, State Department of Planning Commission, Beijing), p. 20, note 21 : il s'agirait d'un document secret de l'Armée chinoise datant de 1960, dont la résistance tibétaine se serait emparé en 1966, et qui a été publié pour la première fois en 1990 en Inde par une organisation bouddhiste tibétaine. Selon ce document, 87 000 Tibétains ont été « éliminés », ce qui d'après certains ne voudrait pas forcément dire « tués ».
Dans l'étude Tibetan Population in China: Myths and Facts Re-examined, publié en 2000 dans la revue américaine Asian Ethnicity, le démographe Yan Hao (Institute of Economic Research, State Department of Planning Commission, Beijing) cite le chiffre de 1,278,387 morts tibétains avancé par le Bureau du Tibet en 1984 (voir page 19, « Table 4 : Distribution of Tibetan deaths directly resulting from China's invasion, by causes of death and regions (1949–79) ».
cdlib.org
publishing.cdlib.org
(en) Melvyn Goldstein, The Snow Lion and the Dragon, chapter The Imperial Era, p. 14 : « the emperor saw Tibet as an important buffer for western China (Sichuan, Gansu, and Yunnan) and was unwilling to allow it to remain in the control of his enemy, the Dzungars.[8] Consequently, he ordered a second, larger army into Tibet, sending the young seventh Dalai Lama with them. [...] This time the Dzungars were defeated, and in October 1720 the Qing army entered Lhasa with the new seventh Dalai Lama. Qing troops now controlled Lhasa and Tibet. [...] Now the Qing decided to create a kind of loose protectorate over Tibet to enforce its dynastic interests. The powerful Qing dynasty would protect Tibet from external and internal conflict, leaving Tibetan leaders it approved of to rule Tibet in a manner that was not inimical to Qing interests. »
(en) Jiawei Wang, Nyima Gyaincain, The Historical Status of China's Tibet', chapter IX (1) Putting Down the Armed Rebellion : « Among the 5,360 armed rebel forces put out of action during the Lhasa attack, most were captured or surrendered. »
china.com.cn
(en) Jiawei Wang, Nyima Gyaincain, The Historical Status of China's Tibet, Chapter IX - Tibetan People Acquired Ultimate Human Rights Through Quelling of Rebellion and Conducting the Democratic Reform, (2) Democratic Reform : « On March 22, 1959, the Central Government [...] stressed that the system of feudal possession must be abolished, but in different ways. The property of serf owners who participated in the rebellion must be confiscated and distributed to peasants; that of those who did not participate could be redeemed. »
en 1950 sa première loi sur le mariage de la république populaire de Chine, qui abolissait radicalement ce système matrimonial, synonyme de mariage forcé, de machisme et d'indifférence devant les intérêts de l'enfant, pour le remplacer par un nouveau système fondé sur la liberté du mariage, la monogamie, l'égalité entre l'homme et la femme, et la protection des intérêts légitimes de la femme et de l'enfant.
chinalawinfo.com
law.chinalawinfo.com
Les disciplines militaires de l'APL de 1990 à 2005. Le 3e article, le 10e point : interdiction de maltraiter les captifs. Le 32e article, le 1er point, punition en cas de violation de la loi de l'état (en Chine, fréquenter une prostituée est une violation de la loi), le 15e, punition en cas de se permettre des privautés envers une femme. Le 17e punition en cas de regarder les pornographiques.
(en) Robert Barnett, The Babas are Dead: Street Talk and Contemporary Views of Leaders in Tibet, in Proceedings of the International Association of Tibetan Studies (ed. Elliot Sperling), University of Indiana, Bloomington, p. 7 : « he had been forced to return to his hometown when the declaration of the PRC in July 1949 led the Tibetan government to expel all Chinese and their sympathisers from Lhasa and from as much of Tibet as it administered. »
Michael van Walt van Praag: "In the course of Tibet's 2000-year history, the country came under a degree of foreign influence only for short periods of time in the thirteenth and eighteenth centuries. Few independent countries today can claim as impressive a record. As the ambassador for Ireland at the UN remarked during the General Assembly debates on the question of Tibet, "[f]or thousands of years, or for a couple of thousand years at any rate, [Tibet] was as free and as fully in control of its own affairs as any nation in this Assembly, and a thousand times more free to look after its own affairs than many of the nations here." From a legal standpoint, Tibet has to this day not lost its statehood. It is an independent state under illegal occupation." voir http://www.culturalsurvival.org/ourpublications/csq/article/the-legal-status-tibet
cvm.qc.ca
La sinisation forcée du Tibet, Le passé composé, no 3, mars 2001 : « Selon une estimation chinoise, près de 87 000 Tibétains furent massacrés dans le seul Tibet central ».
(en) « How Tibet was won : The barley mow », The Economist, (lire en ligne)
escholarship.org
(en) Melvyn C. Goldstein, The Snow Lion and the Dragon. China, Tibet, and the Dalai Lama, University of California Press, Berkeley - Los Angeles - Oxford, 1997, chap. The Post-Mao Era, p. 98. For well over a thousand years of recorded history, through wars and conquest, famines and natural disasters, Tibet remained the exclusive home of a people
Tibet, Tibet, A personal history of a lost land by Patrick French French argues, for the Tibetans to base their claim on roughly the area of the current TAR, whose borders generally coincide with those of the de facto independent state between the two world wars.
Tibet, globalsecurity.org : « An estimated 87,000 Tibetans were killed, arrested, or deported to labor camps ».
google.fr
books.google.fr
(en) Luciano Petech, Tibetan Relations with Sung China and with the Mongols, p. 173-203, in China among Equals. The Middle Kingdom and its neighbours, 10th-14th centuries, Morris Rassaki (ed.), University of California Press, Berkeley, Los Angeles, London 1983, p. 186-187.
(en) Ram Rahul, Central Asia: an outline history, New Delhi, Concept Publishing Company, 1997, p. 46 : « Nepal invaded Tibet in the summer of 1788. The Gorkhas withdrew [the] next year on certain terms ».
A History of Modern Tibet, 1913-1951 - The Demise of the Lamaist State, Melvyn C. Goldstein, University of California Press, 1989, p. 74-75 (voir en ligne)
Fabienne Jagou, « Vers une nouvelle définition de la frontière sino-tibétaine : la Conférence de Simla (1913-1914) et le projet de création de la province chinoise du Xikang »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) In: Extrême-Orient, Extrême-Occident. 2006, No 28, p. 147-167. « Au cours des différentes phases de négociations engagées à Simla, divers arguments furent avancés par les protagonistes pour parvenir à un éventuel accord. Les Tibétains souhaitaient recouvrer un Tibet composé des trois provinces (Û-Tsang, Amdo et Kham) avec une frontière sino-tibétaine allant de Dartsédo au Kham au nord du lac Kokonor en Amdo. Les Chinois revendiquèrent une frontière interne passant à l'ouest de Gyamda, incluant de la sorte tout l'Amdo et la majeure partie du Kham au territoire chinois. Les Britanniques proposèrent alors de diviser le Tibet en un Tibet Extérieur (Û-Tsang) autonome et un Tibet Intérieur (Amdo et Kham) sous suzeraineté chinoise. Mais, les Tibétains et les Chinois rejetèrent cette proposition. Face à ce double refus, les Britanniques modifièrent leur projet en avril 1914, ne parlant alors que d'une suzeraineté chinoise dite « nominale » sur le Tibet extérieur et « effective » sur le Tibet intérieur. Cette version fut d'abord paraphée par les trois protagonistes, avant que le gouvernement chinois ne se rétracte. Finalement, seuls les Britanniques et les Tibétains la signèrent le 3 juillet 1914. »
(en) United States Bureau of Citizenship and Immigration Services, « Tibet (China): Information on Chushi Gangdruk (Gangdrug) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) : « Chushi Gangdruk was active as a CIA-trained and - backed armed resistance group in Tibet in the 1950s and 1960s (Associate Professor of Tibetan Studies 15 Jan 2003). For the Dalai Lama's flight from Tibet to India during the 1959 Tibetan insurrection against Chinese occupation, Chushi Gangdruk fighters were deployed from Lhasa in Tibet across the Himalayas into India in order to block Chinese pursuit of the Tibetan leader (Roberts 1997) (References : Associate Professor of Tibetan Studies, Indiana University. Email to the INS Resource Information Center (15 Jan 2003) - Roberts, John B. THE AMERICAN SPECTATOR, "The Secret War Over Tibet: A Story of Cold War Heroism - and Kennedy Administration Cowardice and Betrayal" (décembre 1997) - NEXIS) ».
Martine Bulard, Chine-Tibet, des identités communes, article reproduit sur le « site de l'UPMF de Grenoble »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) avec comme indications Le Monde Diplomatique, 30 avril 2008, ainsi que sur le blogue Planète Asie du Monde Diplomatique à la date du 30 avril 2008 : « Rappelons que les Nations unies n’ont jamais inclus le Tibet dans les pays à décoloniser (avant comme après 1971 – date du remplacement de Taïwan par la république populaire de Chine) et qu’aucun pays n’a reconnu le "gouvernement" tibétain en exil et donc la possibilité d’une indépendance ».
西藏的主权归属与人权状况 La souveraineté et le droit de l'homme au Tibet 中华人民共和国国务院新闻办公室 du Bureau de l'information du Conseil des affaires d'État de la république populaire de Chine. ——造谣诽谤,策动骚乱。达赖在出国后的三十多年里,不顾事实,编造了大量诸如“‘十七条协议’是武力逼迫下强加给西藏的”;“汉人屠杀了120万藏人”;“由于汉人移民,藏族在西藏成了少数”;“共产党在西藏强行对妇女实行计划生育、堕胎”;政府反对宗教自由,迫害宗教人士;藏族传统文化艺术遭到灭绝危险;西藏自然资源受到严重破坏;西藏环境受到污染等等谎言,蓄意挑拨民族关系,煽动西藏群众反对中央政府。1987年9月至1989年3月拉萨发生的多起骚乱事件,就是在达赖集团的煽动和派遣回藏的叛乱分子策划下挑起的,这些骚乱给西藏人民的生命财产造成严重损失。– Rumeurs et calomnies créées de toutes pièces, un stratagème pour semer le désordre. Le dalaï-lama, à l'étranger depuis plus de 30 ans, en a fabriqué un grand nombre au mépris des faits, telles que « l'accord en 17 points a été imposé au Tibet par la force militaire », « les Chinois han ont massacré 1,2 million de Tibétains », « à la suite de l'immigration de Chinois han, la nationalité tibétaine est devenue minoritaire au Tibet », « le parti communiste contraint les femmes tibétaines à pratiquer un contrôle des naissances et des avortements », « le gouvernement s'oppose à la liberté religieuse, et persécute les dignitaires religieux », « la culture et les arts traditionnels tibétains sont en danger de disparition », « les richesses naturelles du Tibet ont été dévastées », « l'environnement au Tibet est soumis à la pollution » et autres contre-vérités, dans l'intention de nuire aux relations entre les peuples en incitant les foules tibétaines à s'opposer au gouvernement chinois. De septembre 1987 à mars 1989, se sont produits à Lhassa de nombreux troubles que la clique du dalaï-lama a provoqués en incitant à la rébellion, troubles qui ont causé de lourdes pertes en vies humaines et en capital.
(en) Tibet - Summary of a Report on Tibet: Submitted to the International Commission of Jurists by Shri Purshottam Trikamdas, Senior Advocate, Supreme Court of India, Point 27 : « The above events establish that there has been a deliberate vio1ation of fundamental human rights. There is also a prima facie case that on the part of the Chinese there has been an attempt to destroy the national, ethical, racial and religious group of Tibetans as such by killing members of the group and by causing serious bodily and mental harm to members of the group. These acts constitute the crime of Genocide under the Genocide Convention of the United Nations of 1948. »
Le conflit sino-tibétain, Libération pacifique versus invasion armée. Dans le chapitre « La résistance tibétaine au Tibet », notamment : « Des guerriers Khampas furent emmenés aux États-Unis dans un camp d’entraînement du Colorado, Camp Hale, où la CIA leur enseigna les techniques de guérilla et le maniement d’armes modernes » et « La deuxième raison tient au refus de l’Inde, partenaire de l’opération, de risquer un affrontement avec son puissant voisin ».
(en) Richard Pierre Claude, compte rendu de Howard B. Tolley Jr., The International Commission of Jurists: Global Advocates for Humam Rights, Philadelphia, University of Pennsylvania Press, 1994, in Human Rights Quarterly, August 1994 : « Based on documentation and named respondents, the author presents the tale of the United States Central Intelligence Agency (CIA) in secretly bankrolling the formation of the ICJ as an instrument of the Cold War. [...] Tolley shows that the tainted source of funding was unknown to most ICJ officers and members, [...] ».
« On 10th October 1932, Liu and the Tibetan leaders signed a truce in which it was agreed that the Tibetan forces would remain west of the Yangtze river and the Chinese would remain east of it. The river remained the de facto border between Tibet and China until October 1950 (Peissel 1972 Guibaut 1949) »John Studley, « The History of Kham », (consulté le ).
marxists.org
(en) Strong, Anna Louise, When Serfs Stood Up in Tibet, Pékin, New World Press, (lire en ligne), « VIII Lhalu's serfs accuse » : « All "feudal debts" had been outlawed by the resolution passed July 17 by the Preparatory Committee for the Tibet Autonomous Region ».
Martine Bulard, Chine-Tibet, des identités communes, article reproduit sur le « site de l'UPMF de Grenoble »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) avec comme indications Le Monde Diplomatique, 30 avril 2008, ainsi que sur le blogue Planète Asie du Monde Diplomatique à la date du 30 avril 2008 : « Rappelons que les Nations unies n’ont jamais inclus le Tibet dans les pays à décoloniser (avant comme après 1971 – date du remplacement de Taïwan par la république populaire de Chine) et qu’aucun pays n’a reconnu le "gouvernement" tibétain en exil et donc la possibilité d’une indépendance ».
nature.com
(en) Fahu Chen, Frido Welker, Chuan-Chou Shen et al., « A late Middle Pleistocene Denisovan mandible from the Tibetan Plateau », Nature, (lire en ligne).
Fabienne Jagou, « Vers une nouvelle définition de la frontière sino-tibétaine : la Conférence de Simla (1913-1914) et le projet de création de la province chinoise du Xikang »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) In: Extrême-Orient, Extrême-Occident. 2006, No 28, p. 147-167. « Au cours des différentes phases de négociations engagées à Simla, divers arguments furent avancés par les protagonistes pour parvenir à un éventuel accord. Les Tibétains souhaitaient recouvrer un Tibet composé des trois provinces (Û-Tsang, Amdo et Kham) avec une frontière sino-tibétaine allant de Dartsédo au Kham au nord du lac Kokonor en Amdo. Les Chinois revendiquèrent une frontière interne passant à l'ouest de Gyamda, incluant de la sorte tout l'Amdo et la majeure partie du Kham au territoire chinois. Les Britanniques proposèrent alors de diviser le Tibet en un Tibet Extérieur (Û-Tsang) autonome et un Tibet Intérieur (Amdo et Kham) sous suzeraineté chinoise. Mais, les Tibétains et les Chinois rejetèrent cette proposition. Face à ce double refus, les Britanniques modifièrent leur projet en avril 1914, ne parlant alors que d'une suzeraineté chinoise dite « nominale » sur le Tibet extérieur et « effective » sur le Tibet intérieur. Cette version fut d'abord paraphée par les trois protagonistes, avant que le gouvernement chinois ne se rétracte. Finalement, seuls les Britanniques et les Tibétains la signèrent le 3 juillet 1914. »
phayul.com
Thomas Laird, Tackling Tibet, Phayul.com, 11 janvier 2008.
Claude Arpi, 'We cleared the route for the Dalai Lama, 2 avril 2009 : Dans une interview publiée en 2009, Ratuk Ngawang, un des chefs de la résistance tibétaine, affirme qu'il y avait 2 opérateurs radio tibétains qui avaient été entraînés par la CIA, lors de la fuite du dalaï-lama : « At that time, you had CIA-trained radio operators? There were two men who were handling radio transmissions. They were Tibetans? Yes, they were Tibetans. (...) Everybody felt happy that His Holiness could get asylum in India. »
(en) Religion and culture, sur le site savetibet.org : « Approximately 6,000 monasteries, nunneries and temples, and their contents were partially or fully destroyed from the period of the Chinese invasion and during the Cultural Revolution. »
Quelle solution politique pour le Tibet ?, Rapport présenté par M. Louis de Broissia, Sénateur, p. 17 ; citation : « Le territoire revendiqué par le gouvernement tibétain en exil depuis 1959 correspond au Pö Chölka Sum, c’est-à-dire au « Tibet des trois provinces » : U-Tsang, Kham et Amdo. Ce Grand Tibet a une superficie d’environ 3,8 millions de km2, soit sept fois la France. Il représente donc près de 40 % de la superficie de la Chine dans ses frontières actuelles (9,6 millions de km2) (…) ».
« Quelle solution politique pour le Tibet ? », rapport du groupe interparlementaire français d'amitié no 77 (2007-2008) - 17 octobre 2007 : Le cadre institutionnel de l'autonomie
extranet.senat.fr
Un dossier du groupe interparlementaire d'amitié liant le Sénat français au Tibet, intitulé Un Tibet pour le XXIe siècle, chapitre 2.3 (Bilan de l'occupation du Tibet par la Chine) avance : « Massacres et déni des droits individuels : si l'on doit donner une comptabilité des pertes en vies humaines depuis 1949, on estime à plus de 1,3 million le nombre de Tibétains (un cinquième de la population) morts directement ou indirectement du fait de l'occupation ».
Chen Qingying, The Year of the Establishment and the Naming of the Domed (mdo smad) Pacification Commission of the Yuan Dynasty in TibetologyMagazine
La vérité du Tibet chinois en chiffre 中国西藏事实与数字2006 据文献记载,……从18世纪到20世纪中叶的200年时间,西藏地区的人口又骤降了约80万。Selon les archives historiques, la population du Tibet a diminué de 800 000 entre le XVIIIe siècle et le milieu du XXe siècle.
(en) Chinese population - Threat to Tibetan identity : « The exiled Tibetan government, however, revealed in 1984 that since the invasion over 1.2 million Tibetans died as a direct result of China's invasion of their nation. This figure was compiled after years of analysis of documents, refugee statements and interviews, and by official delegations sent to Tibet by the Tibetan Government between 1979 and 1983. The fact-finding delegations travelled to most parts of Tibet »
À la page Human rights sur tibet.com, le site basé à Londres du gouvernement tibétain en exil, au chapitre 1949-1979 : Killings and destructions, on peut lire : « Over 1.2 million Tibetans have died as a direct result of the Chinese invasion and occupation of Tibet. Today, it is hard to come across a Tibetan family that has not had at least one member imprisoned or killed by the Chinese regime. According to Jigme Ngabo, "after the suppressions of 1959 and 1969, almost every family in Tibet has been affected in some way". » et « According to information compiled by the Tibetan Administration in exile, over 1.2 million Tibetans died between 1949 and 1979. » avec un tableau détaillé donnant le chiffre total de 1,207,387 de morts tibétains.
'Tibet: Proving Truth from Facts', The Department of Information and International Relations: Central Tibetan Administration, 1996. p. 75-76. « From 1966 onwards complete sinicization became the watchword. Tibetan was labelled as the language of religion and its teaching was forbidden. Some time in the 1960s monk and nun teachers as well as qualified lay Tibetan teachers were all ordered to leave their teaching jobs. Tibetan language and grammar books were labelled “books of blind faith” and thus discouraged from being taught. In their place, books of Mao Zedong’s thoughts and newspapers were put on the school syllabus. Children were taught that the Tibetan religion was blind faith, Tibetan customs and habits “old green thinking”, Tibetan was a “useless, backward language”, old Tibetan society was “extremely backward, savage, and oppressive”. Those who agreed with the Chinese were considered progressive whereas those who disagreed were termed variously as counter-revolutionaries, reactionaries or class enemies. Naturally, a whole generation of Tibetan children grew up completely ignorant of their own culture, history and way of life. »
(en) 'Tibet: Proving Truth from Facts', The Department of Information and International Relations: Central Tibetan Administration, 1996. p. 85 : « Out of Tibet’s total of 6,259 monasteries and nunneries only about eight remained by 1976. Among those destroyed were the seventh century Samye, the first monastery in Tibet; Gaden, the earliest and holiest monastic university of the Gelugpas; Sakya, the main seat of the Sakyas; Tsurphu, one of the holiest monasteries of the Kagyuds; Mindroling, one of the most famous monasteries of the Nyingmapas; Menri, the earliest and most sacred Bon monastery, etc. Out of 592,558 monks, nuns, rinpoches (reincarnates) and ngagpas (tantric practitioners), over 110,000 were tortured and put to death, and over 250,000 were forcibly disrobed. »
(en) The Department of Information and International Relations: Central Tibetan Administration, 'Tibet: Proving Truth from Facts, 1996, p. 53. : « Over 1.2 million Tibetans have died as a direct result of the Chinese invasion and occupation of Tibet. Today, it is hard to come across a Tibetan family that has not had at least one member imprisoned or killed by the Chinese regime. ».
(en) Monastic Education in the Gönpa, sur le site tibetanculture.org : « More than 6,000 monasteries in Tibet were destroyed in the 1960s and 1970s following the Chinese invasion of Tibet. »
(en) United States Bureau of Citizenship and Immigration Services, « Tibet (China): Information on Chushi Gangdruk (Gangdrug) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) : « Chushi Gangdruk was active as a CIA-trained and - backed armed resistance group in Tibet in the 1950s and 1960s (Associate Professor of Tibetan Studies 15 Jan 2003). For the Dalai Lama's flight from Tibet to India during the 1959 Tibetan insurrection against Chinese occupation, Chushi Gangdruk fighters were deployed from Lhasa in Tibet across the Himalayas into India in order to block Chinese pursuit of the Tibetan leader (Roberts 1997) (References : Associate Professor of Tibetan Studies, Indiana University. Email to the INS Resource Information Center (15 Jan 2003) - Roberts, John B. THE AMERICAN SPECTATOR, "The Secret War Over Tibet: A Story of Cold War Heroism - and Kennedy Administration Cowardice and Betrayal" (décembre 1997) - NEXIS) ».
Martine Bulard, Chine-Tibet, des identités communes, article reproduit sur le « site de l'UPMF de Grenoble »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) avec comme indications Le Monde Diplomatique, 30 avril 2008, ainsi que sur le blogue Planète Asie du Monde Diplomatique à la date du 30 avril 2008 : « Rappelons que les Nations unies n’ont jamais inclus le Tibet dans les pays à décoloniser (avant comme après 1971 – date du remplacement de Taïwan par la république populaire de Chine) et qu’aucun pays n’a reconnu le "gouvernement" tibétain en exil et donc la possibilité d’une indépendance ».
René Grousset, « L’Empire des steppes — Attila, Gengis-khan, Tamerlan », Classiques de l'Université du Québec à Chicoutimi, page 645 : « Dans une première expédition (vers 1639 ?), il entra au Tibet, et défit tous les ennemis du dalaï-lama, tant partisans du clergé rouge que sectateurs de la vieille sorcellerie bon-po. Au cours d’une deuxième campagne, il fit prisonnier le de-srid de gTsang (vers 1642 ?), occupa Lhassa et proclama le dalaï lama Nag-dbang bLo-bzang souverain du Tibet central (Dbus et Tsang). Comme signe de la souveraineté temporelle à lui conférée par le prince khochot, bLo-bzang se fit construire une résidence sur l’emplacement du palais des anciens rois du Tibet, au Potala de Lhassa (1643-1645). En revanche, Gouchi-khan, déjà maître du Koukou-nor, du Tsaïdam et du Tibet septentrional, fut reconnu par le pontife, à Lhassa même, comme protecteur et vicaire temporel de l’Église Jaune. Jusqu’à sa mort en 1656, il fut vraiment, comme l’appelait la cour de Pékin, « le khan des Tibétains ».
usc.edu
(en) The Tibetans, Conflict Early Warning Systems (CEWS) research project of the International Social Science Council], Center for International Studies and Department of International Relations, University of Southern California.
ust.hk
cctr.ust.hk
(en) Barry Sautman, “All that Glitters is Not Gold”: Tibet as a Pseudo-State, in Maryland Series in Contemporary Asian Studies, No 3-2009 : « A US international law scholar who studied Tibet’s “declarations of independence” found they were not political-legal declarations at all, but merely the 13th Dalai Lama’s affirmations that the mchod-yon (priest-patron) relationship between Dalai Lamas and Chinese emperors had been extinguished due to the end of the empire (note : Alfred P. Rubin, “Tibet’s Declarations of Independence, AJIL 60 (1966):812-814 and Rubin, “A Matter of Fact”, AJIL 60 (1966):586 ».
(en) Barry Sautman, “All that Glitters is Not Gold”: Tibet as a Pseudo-State : « Exile leaders argue that Tibet’s statehood is based on a lack of Chinese central government influence in Tibet from 1913 (when the Lhasa government “declared independence”) to 1951 (...). Most people do not know that (...) legal standards for statehood exist or that hiatuses in national government control over a territory do not automatically convert the territory into a state. They are often unaware that parts of countries have no “right to independence” ».
Fabienne Jagou, « Vers une nouvelle définition de la frontière sino-tibétaine : la Conférence de Simla (1913-1914) et le projet de création de la province chinoise du Xikang »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) In: Extrême-Orient, Extrême-Occident. 2006, No 28, p. 147-167. « Au cours des différentes phases de négociations engagées à Simla, divers arguments furent avancés par les protagonistes pour parvenir à un éventuel accord. Les Tibétains souhaitaient recouvrer un Tibet composé des trois provinces (Û-Tsang, Amdo et Kham) avec une frontière sino-tibétaine allant de Dartsédo au Kham au nord du lac Kokonor en Amdo. Les Chinois revendiquèrent une frontière interne passant à l'ouest de Gyamda, incluant de la sorte tout l'Amdo et la majeure partie du Kham au territoire chinois. Les Britanniques proposèrent alors de diviser le Tibet en un Tibet Extérieur (Û-Tsang) autonome et un Tibet Intérieur (Amdo et Kham) sous suzeraineté chinoise. Mais, les Tibétains et les Chinois rejetèrent cette proposition. Face à ce double refus, les Britanniques modifièrent leur projet en avril 1914, ne parlant alors que d'une suzeraineté chinoise dite « nominale » sur le Tibet extérieur et « effective » sur le Tibet intérieur. Cette version fut d'abord paraphée par les trois protagonistes, avant que le gouvernement chinois ne se rétracte. Finalement, seuls les Britanniques et les Tibétains la signèrent le 3 juillet 1914. »
(en) United States Bureau of Citizenship and Immigration Services, « Tibet (China): Information on Chushi Gangdruk (Gangdrug) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) : « Chushi Gangdruk was active as a CIA-trained and - backed armed resistance group in Tibet in the 1950s and 1960s (Associate Professor of Tibetan Studies 15 Jan 2003). For the Dalai Lama's flight from Tibet to India during the 1959 Tibetan insurrection against Chinese occupation, Chushi Gangdruk fighters were deployed from Lhasa in Tibet across the Himalayas into India in order to block Chinese pursuit of the Tibetan leader (Roberts 1997) (References : Associate Professor of Tibetan Studies, Indiana University. Email to the INS Resource Information Center (15 Jan 2003) - Roberts, John B. THE AMERICAN SPECTATOR, "The Secret War Over Tibet: A Story of Cold War Heroism - and Kennedy Administration Cowardice and Betrayal" (décembre 1997) - NEXIS) ».
Martine Bulard, Chine-Tibet, des identités communes, article reproduit sur le « site de l'UPMF de Grenoble »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) avec comme indications Le Monde Diplomatique, 30 avril 2008, ainsi que sur le blogue Planète Asie du Monde Diplomatique à la date du 30 avril 2008 : « Rappelons que les Nations unies n’ont jamais inclus le Tibet dans les pays à décoloniser (avant comme après 1971 – date du remplacement de Taïwan par la république populaire de Chine) et qu’aucun pays n’a reconnu le "gouvernement" tibétain en exil et donc la possibilité d’une indépendance ».
(en) T. D. Allman, A Myth foisted on the western world, in Nation Review, January 1974 : « The truth is that the Dalai Lama's departure from his own capital was engineered by the CIA American agents who flew air cover for the Dalai Lama's party, dropping supplies and money, and strafing Chinese positions. Color films of this operation were taken (...). This and other documentary evidence makes it clear that it was the Americans who wanted the Dalai Lama to leave Tibet, not the Chinese who wanted to dethrone him ».
Fabienne Jagou, « Vers une nouvelle définition de la frontière sino-tibétaine : la Conférence de Simla (1913-1914) et le projet de création de la province chinoise du Xikang »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) In: Extrême-Orient, Extrême-Occident. 2006, No 28, p. 147-167. « Au cours des différentes phases de négociations engagées à Simla, divers arguments furent avancés par les protagonistes pour parvenir à un éventuel accord. Les Tibétains souhaitaient recouvrer un Tibet composé des trois provinces (Û-Tsang, Amdo et Kham) avec une frontière sino-tibétaine allant de Dartsédo au Kham au nord du lac Kokonor en Amdo. Les Chinois revendiquèrent une frontière interne passant à l'ouest de Gyamda, incluant de la sorte tout l'Amdo et la majeure partie du Kham au territoire chinois. Les Britanniques proposèrent alors de diviser le Tibet en un Tibet Extérieur (Û-Tsang) autonome et un Tibet Intérieur (Amdo et Kham) sous suzeraineté chinoise. Mais, les Tibétains et les Chinois rejetèrent cette proposition. Face à ce double refus, les Britanniques modifièrent leur projet en avril 1914, ne parlant alors que d'une suzeraineté chinoise dite « nominale » sur le Tibet extérieur et « effective » sur le Tibet intérieur. Cette version fut d'abord paraphée par les trois protagonistes, avant que le gouvernement chinois ne se rétracte. Finalement, seuls les Britanniques et les Tibétains la signèrent le 3 juillet 1914. »
(en) United States Bureau of Citizenship and Immigration Services, « Tibet (China): Information on Chushi Gangdruk (Gangdrug) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) : « Chushi Gangdruk was active as a CIA-trained and - backed armed resistance group in Tibet in the 1950s and 1960s (Associate Professor of Tibetan Studies 15 Jan 2003). For the Dalai Lama's flight from Tibet to India during the 1959 Tibetan insurrection against Chinese occupation, Chushi Gangdruk fighters were deployed from Lhasa in Tibet across the Himalayas into India in order to block Chinese pursuit of the Tibetan leader (Roberts 1997) (References : Associate Professor of Tibetan Studies, Indiana University. Email to the INS Resource Information Center (15 Jan 2003) - Roberts, John B. THE AMERICAN SPECTATOR, "The Secret War Over Tibet: A Story of Cold War Heroism - and Kennedy Administration Cowardice and Betrayal" (décembre 1997) - NEXIS) ».
(en) Nano Riley, Tibet: The Killing of a Culture and Its People, automne 1996, mentionnant le documentaire Satya: A Prayer for the Enemy, réalisé par le réalisateur californien Ellen Bruno : « Using personal testimonies, the film explores the plight of Tibetan nuns, who tell of rape and forced marriage to Chinese immigrants. Once a nun has been raped, she cannot return to the nunnery because she is no longer pure. »
Martine Bulard, Chine-Tibet, des identités communes, article reproduit sur le « site de l'UPMF de Grenoble »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) avec comme indications Le Monde Diplomatique, 30 avril 2008, ainsi que sur le blogue Planète Asie du Monde Diplomatique à la date du 30 avril 2008 : « Rappelons que les Nations unies n’ont jamais inclus le Tibet dans les pays à décoloniser (avant comme après 1971 – date du remplacement de Taïwan par la république populaire de Chine) et qu’aucun pays n’a reconnu le "gouvernement" tibétain en exil et donc la possibilité d’une indépendance ».