Pierre Milza, « Le fascisme italien et la vision du futur », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, vol. 1, no 1, , p. 47–56 (DOI10.3406/xxs.1984.1765, lire en ligne, consulté le )
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B. Bruneteau évoque « la première historiographie » du totalitarisme selon laquelle la figure de l'Homme nouveau serait « plus crédible dans l’univers du communisme » en rupture avec « le Capital, Dieu et l’autocratie » (p. 117), que du côté fasciste ou nazi (Bruneteau 2011 - compte-rendu de lecture par Fr. Guillemot, lire en ligne). Dans l'ouvrage de Bruneteau, le chapitre « L’Homme nouveau des fascismes est un simple objet de propagande », p. 119-126 réagit contre cette « idée reçue ».
Pierre Milza, « Le fascisme italien et la vision du futur », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, vol. 1, no 1, , p. 47–56 (DOI10.3406/xxs.1984.1765, lire en ligne, consulté le )
