Hugues XI de Lusignan (French Wikipedia)

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archive.org

  • Matthieu Paris (éd. Henry Richards Luard), Matthæi Parisiensis, Monachi Sancti Albani, Chronica Majora, vol. V : A. D. 1248 à A. D. 1259, Londres, Longman, (lire en ligne), p. 158 :

    « Hugo Brunus comes de Marchia cujus pater paulo ante obiit apud Damiatan »

  • Cartulaire des comtes de la Marche et d'Angoulême (éd. Georges Thomas), Angoulême, Imprimerie Ouvrière, (lire en ligne), XII : Sequitur de cartus comitis Pictaven cum ipse recepit deminum Hugonem Brunni in Hominem, p. 31-32
  • Matthieu Paris (éd. Henry Richards Luard), Matthæi Parisiensis, Monachi Sancti Albani, Chronica Majora, vol. IV : A. D. 1240 à A. D. 1247, Londres, Longman, (lire en ligne), p. 209 :

    « Et ibidem fecit duos fratres suos, filios scilicet comitis de Marchia, milites. »

    Probablement Guy et Geoffroy de Lusignan.
  • Guillaume de Nangis (éd. Pierre-Claude-François Dannou et Joseph Naudet), Gesta sanctae memoriae Ludovici regis Franciae, t. XX : Recueil des historiens des Gaules et de la France, Paris, (lire en ligne), p. 337 :

    « Iluec fu pris i. des fila au conte de la Marche, qui batarz estoit »

  • Flores historiarum (éd. Henry Richards Luard), vol. II : A.D. 1067-A.D. 1264, Londres, (lire en ligne), p. 254 :

    « Occupaverat enim jam castrum dictum Frontenay, quod videbatur Pictavensibus inexpugnabile, et in ipso filium comitis de Marchia cum centum militibus »

  • Jean-Claude Castex, Répertoire des combats franco-anglais du Haut Moyen-Age, Vancouver, Les Editions du Phare-Ouest, (lire en ligne), Taillebourg, p. 209-211
  • Guillaume de Nangis (éd. Pierre Daunou et Joseph Naudet), « Gesta sanctae memoriae Ludovici regis Franciae », dans Recueil des historiens des Gaules et de la France, t. XX, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), p. 338 :

    « Quo audito, comes Marchiæ statim armatus cum tribus filiis suis militibus »

    1242, 22 juillet, Saintes : Bataille de Saintes.
  • Jean-Claude Castex, Répertoire des combats franco-anglais du Haut Moyen-Age, Vancouver, Les Editions du Phare-Ouest, (lire en ligne), Saintes, p. 195-197.
  • Matthieu Paris (éd. Henry Richards Luard), Matthæi Parisiensis, Monachi Sancti Albani, Chronica Majora, vol. IV : A. D. 1240 à A. D. 1247, Londres, Longman, (lire en ligne), Recedente rege Anglorum rex Francorum pontem transit, quasi fugitivum insequendo, p. 212-213
  • Guillaume de Nangis (éd. Pierre Daunou et Joseph Naudet), « Gesta sanctæ memoriæ Ludovici regis Franciæ », dans Recueil des historiens des Gaules et de la France, t. XX, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), p. 338 :

    « Eâdem die venit filius comitis Marchiæ primogenitus Hugo miles ad regem Franciæ, cum ipso de pace sub hac forma tractaturus […] Et quia comes Marchiæ non erat præsens, ipse Hugo filius ejus remansit in hostagium apud regem, donec prædicta pater ejus veniret in crastino completurus. »

    1242, 29 juillet, Pons : Hugues [XI] le Brun négocie les conditions de la paix avec le roi de France et est retenu comme otage.
  • Guillaume de Nangis (éd. Pierre Daunou et Joseph Naudet), « Gesta sanctæ memoriæ Ludovici regis Franciæ », dans Recueil des historiens des Gaules et de la France, t. XX, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), p. 338 :

    « Comes quidem illustrissimi régis Francorum clementiam et cordis pictatem eximiam non ignorans, in crastino unà cum uxore sua ad regem deveniens cum lacrymis, suspiriis, singultibus, genu flexo, præsente Hugone filio suo primogenito, et duobus aliis filiis... »

    1242, 30 juillet, Pons : Soumission au roi.
  • Cartulaire des comtes de la Marche et d'Angoulême (éd. Georges Thomas), Angoulême, Imprimerie Ouvrière, (lire en ligne), VI - 1242, 3 août : Incipunt carte regis Francie, et ita prima quarta loquitur de castri de Merpinio, de Castro Achardi et de castro Crosani, p. 25-26
  • Matthieu Paris (éd. Henry Richards Luard), Matthæi Parisiensis, Monachi Sancti Albani, Chronica Majora, vol. IV : A. D. 1240 à A. D. 1247, Londres, Longman, (lire en ligne), De conspiratione facta inter quosdam nobiles in regno Francorum contra Papam, p. 590-592 :

    « ...le duc de Burgoinne, le cunte Perrun de Bretainne, le cunte de Angulesme, e le cunte de Seint Pol,... »

    Hugues IV, duc de Bourgogne, Pierre de Bretagne, Hugues XI le Brun, comte d'Angoulême, Hugues de Châtillon, comte de Saint-Pol.
  • Cartulaire des comtes de la Marche et d'Angoulême (éd. Georges Thomas), Angoulême, Imprimerie Ouvrière, (lire en ligne), III : Sequitur de donationibus illustris regis Anglie, p. 23-24
    1249, 15 janvier, Windsor : Le roi d'Angleterre, Henri [III], accorde à son frère, Hugues [XI] le Brun, comte d'Angoulême, et à ses héritiers engendrés de manière légitime, une rente annuelle de 400 marcs à l'Echiquier en Angleterre, jusqu'à ce que le roi lui fournisse en garde, déshérences, ou autres, une terre de cette valeur.
  • Cartulaire des comtes de la Marche et d'Angoulême (éd. Georges Thomas), Angoulême, Imprimerie Ouvrière, (lire en ligne), XIII - 1249, 24 juin, Paris : Item sequitur carta de paccionibus habitis inter comitem Pictavien. et dominum Hugonem Bruni, comitem Engolm., quando perrexerunt ultre mare, p. 33-36
  • Cartulaire des comtes de la Marche et d'Angoulême (éd. Georges Thomas), Angoulême, Imprimerie Ouvrière, (lire en ligne), XV - 1249, 24 juin, Paris : Item sequitur carta de donatione sexcentarum librarum quas comes Pictavien. dedit comiti Engolm., p. 37-38
    1249, 24 juin, Paris : Alphonse, comte de Poitiers, concède sous hommage lige à Hugues [XI] de Lusignan, comte d'Angoulême, un fief-rente héréditaire de 600 livres tournois à asseoir sur Niort, Poitiers ou la Rochelle.
  • « Annales Monasterii de Burton : (A.D. 1004-1263) », dans Annales monastici (éd. Henry Richards Luard), vol. I, Londres, Longmans, Green, Reader, and Dyer, (lire en ligne), MCCXLIX, p. 285 :

    « Mariam, VII annorum puellulam, neptem regis Henrici, filiam fratris sui comitis Engolismi et Marchiae. »

    1249, septembre-octobre, Westminster : Fiançailles avec Robert III de Ferrières, comte de Derby.
  • (en) Calendar of the Liberate Rolls preserved in the Public Record Office (éd. J. B. W. Chapman), vol. IV : 1251-1260, Londres, (lire en ligne), p. 176 :

    « Liberate to John de Westbur’, chamberlain of Mariota the king’s niece dwelling at Windesores, 23s. 10,5d. spent in maintenance of her grooms and horses before they were received to stay (perendinandum) at Leicester, and in purchase of some small jewels for her before the queen’s voyage to Gascony. Account was rendered in the presence of the constable of Windesores. »

  • Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 3307 : Yolande de la Marche, Femme du précédent (1294), p. 38-39
  • Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 3306 : Préaux (Pierre de), Chevalier - Normandie (1294), p. 38
  • Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 835 : Hugues XI, le Brun, Fils de Hugues X (1246), p. 398
  • Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 835 bis : Hugues XI, le Brun, Fils de Hugues X (1246) / revers, p. 398
  • Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 836 : second sceau (1248), p. 398

bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), Accord entre Hugues le Brun & le Prevost de Vertou, col. 925-926
    1245, Juillet : Hugues [XI] le Brun, seigneur du Pallet, et son épouse Yolande [de Bretagne] étaient en conflit avec le prévôt de Vertou : ils revendiquaient pour eux et leurs hommes du Pallet le droit de passer librement sur la chaussée des moulins du monastère de Vertou et de faire aller et venir leurs barques et leurs navires. Après de nombreuses disputes, Hugues [XI] abandonne au prévôt les droits qu'il prétendait avoir.
  • Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), Autre Lettre de Hugues le Brun Comte d'Angoulême pour le Prieuré de Lamballe, col. 931-932
    1247, juillet, Le Pallet : Hugues [XI] le Brun, comte d'Angoulême, et son épouse Yolande de Bretagne, héritière et dame de Penthièvre confirment les donations des ducs de Bretagne Geoffroy [II] Plantagenêt et Pierre Mauclerc et de la duchesse Alix [de Thouars] en faveur du prieuré de Lamballe du monastère de Marmoutier.
  • Veterum scriptorum et monumentorum, historicorum, dogmaticorum, moralium, amplissima collectio (éd. Dom Martène), t. I, Paris, (lire en ligne), col. 1214-1217
    1227, 16 mars, Vendôme : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, passe un traité avec la reine Blanche [de Castille] et son fils, le roi de France, Louis [IX]. Le frère du roi, Alphonse, épousera Isabelle de Lusignan et Hugues [XI] épousera Isabelle de France, si l’Église est d'accord. Isabelle de Lusignan recevra en dot Frontenay et l'île d'Oléron et la dot d'Isabelle de France est laissée à l’appréciation de son frère. Si Hugues [XI] mourait sans avoir consommé le mariage, un autre enfant du comte de la Marche prendrait sa place. Si les mariages ne se faisaient pas malgré l'accord de l’Église, le roi devrait payer 10 000 marcs d'argent au comte. Le comte recevra du roi pendant dix ans une rente de 10 600 livres tournois dont 5300 livres sont en compensation de Bordeaux et 500 livres en compensation du douaire d'Isabelle d'Angoulême. Si cette dernière venait à mourir dans les dix ans, la rente serait diminuée de 5000 livres. Si la paix était faite avec le roi d'Angleterre, Henri [III] et qu'Isabelle récupérait son douaire, elle serait diminuée de 2500 livres. À l'issue des dix ans, elle recevra pour son douaire une rente de 5000 livres. En échange de cela, le comte et la comtesse de la Marche abandonnent leurs prétentions sur Issoudun, Langeais, Bordeaux et les 400 livres qu'ils percevaient annuellement à Tours. Le comte jure sur les Évangiles fidélité au roi et à sa mère contre leurs ennemis, promet de ne pas faire d'alliance avec eux. Le roi lui accorde également qu'il puisse confier la garde de sa terre et de ses héritiers, s'il décède, à sa femme ou à qui il voudra et promet qu'il ne fera pas de paix avec le roi d'Angleterre sans le conseil du comte. Le comte fait hommage lige au roi de toutes les terres et forteresses qu'il possède en Poitou, dans les comtés de la Marche et d'Angoulême, en Saintonge ainsi que de Cognac et de Merpins.
  • Veterum scriptorum et monumentorum, historicorum, dogmaticorum, moralium, amplissima collectio (éd. Edmond Martène), t. I, Paris, (lire en ligne), col. 1238-1239
    1230, 30 mai, Clisson : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, passe un second traité avec la reine, Blanche [de Castille], et son fils, le roi de France, Louis [IX]. Ce dernier lui remet le château et la ville de Saint-Jean-d'Angély avec toutes ses dépendances, Montreuil-Bonnin et tout le fief de Pierre de Marly et Langeais avec toutes ses dépendances, à condition que l'ensemble revienne au roi lorsque la sœur du roi [Isabelle de France] aura épousé le fils aîné d'Hugues [Hugues XI]. Si d'ici deux ans, le mariage n'avait pas lieu alors que la dispense pontificale avait été obtenue, le roi payerait au comte de la Marche la somme de 5000 marcs d'argent. Si la dispense n'était pas obtenue il garderait les châteaux qui lui ont été remis à titre de récompense de ses services.
  • Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), Serment de fidélité fait au Roi de Navarre par Hugues de Lezignem, col. 900
  • Layettes du trésor des chartes, de l'année 1224 à l'année 1246 (éd. Alexandre Teulet), t. II, Paris, Plon, (lire en ligne), no 2443, p. 313
    1236, dimanche 13 avril : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, et son épouse, Isabelle d'Angoulême, forment une alliance défensive avec Pierre [Ier Mauclerc], comte de Bretagne et de Richemont et Thibaut [IV de Champagne], roi de Navarre.
  • « Chronicon Britannicum », dans Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), MCCXXXVI, col. 111 :

    « Eodem tempore data & atournata fuit Penthevria, excepto Jugonio, Hugoni filio Comitis de Marchia, cum filia Petri Comitis totius Britanniæ »

  • Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, (lire en ligne), no 2976 Litterae Gaufridi de Lesigniaco super castri Voventi et Merventi, p. 473-474
    1242, 6 juin, Vouvant : Geoffroy [II] de Lusignan, chevalier, rend au roi de France, Louis [IX], son château de Vouvant pour qu'il le tienne pendant une année à ses frais, après quoi il le tiendra du frère du roi, Alphonse, comte de Poitiers. Si ce dernier décède, il devra faire hommage de Vouvant et de Soubise au roi. Le château de Mervent est remis au roi pour trois ans, aux mêmes conditions. Le roi lui rendra Moncontour, Marle-en-Brie et toutes ses terres et les terres de ses hommes qui ont été prises à cause de la guerre à l'exception de Fontenay. Le roi lui versera à lui, sa nièce ou ses héritiers une rente de 300 marcs d'argent jusqu'à ce qu'il récupère Soubise, qui appartient à sa nièce [Valence de Lusignan]. La garnison royale présente à Vouvant et à Mervent n'aura pas le droit de chasser ou de pêcher dans les forêts ou dans les eaux de Geoffroy.
  • Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, (lire en ligne), no 2980 : Littere Hugonis comitis Marchiæ et Isabelle reginæ Angliæ, uxoris ejus, de pace habita inter se et dominum Franciæ regem, p. 476-477
    1242, 1er août, au camp devant Pons : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, et son épouse, Isabelle, reine d'Angleterre, font la paix avec le roi de France, Louis [IX] et son frère, Alphonse. Ils reconnaissent la confiscation par le roi de ses conquêtes sur les terres qu'ils tenaient en Poitou et Saintonge : Saintes avec sa châtellenie et ses dépendances, la forêt de Baconais, la Vergne et tout le droit de Pont-l'Abbé d'Arnoult, Montreuil-Bonnin, Frontenay, Langeais, Saint-Gelais, Prahecq, Tonnay-Boutonne, la Clouze, Beaussais, les fiefs que tenaient de lui le comte d'Eu [Raoul II d'Exoudun], Renaud [II] de Pons, Geoffroy [V] de Rancon et Geoffroy [II] de Lusignan et le Grand Fief d'Aunis. Ils le tiennent quitte de leur pension de 5000 livres tournois, le libèrent de son obligation de ne pas traiter avec le roi d'Angleterre, Henri [III], sans eux. Ils annulent tous les précédents traités conclus entre eux et les rois Louis [VIII] et Louis [IX]. Ils placent leur terre sous la volonté du roi qui reçoit l'hommage lige d'Hugues [X] pour le comté d'Angoulême, les châteaux et les châtellenies de Cognac, Jarnac, Merpins, Aubeterre et Villebois et leurs dépendances. Ils font également hommage lige au comte de Poitiers, Alphonse, pour Lusignan, le comté de la Marche et ses dépendances.
  • Veterum scriptorum et monumentorum, historicorum, dogmaticorum, moralium, amplissima collectio (éd. Edmond Martène), t. I, Paris, (lire en ligne), Carta Hugonis Comitis Marchiæ & Isabellis reginæ uxoris ejus, col. 1273
    1242, 3 août, Pons : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, et son épouse Isabelle, reine d'Angleterre remettent au roi de France, Louis [IX], en gage de fidélité, les châteaux de Merpins et Château-Larcher pendant quatre ans et celui de Crozant pendant huit ans. Ils payeront pendant ce temps 200 cents livres annuelles pour la garde de Merpins et Château-Larcher et 200 cents pour celle de Crozant.
  • Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, (lire en ligne), no 2984 : Litteræ Hugonis comitis Marchiæ et Ysabellis, uxoris ejus, de castris Merpini, Castri Achardi et Crosani, pro securitate domino regi traditis, p. 478
  • Bénoni Drochon, Château-Larcher et ses seigneurs : recherches historiques, t. XXXIX : Mémoires de la Société des Antiquaires de l'Ouest, Poitiers, Fradet, (lire en ligne), p. 216-217
    Traduction de l'acte conservé par Edmond Martène dit Dom Martène.
  • Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, (lire en ligne), no 2985 : Quomodo liberi comitis Marchiæ in homagio comitis Pictavensis recipientur, p. 478-479
    1242, août, au camp devant Pleneselve : Le comte Alphonse de Poitiers recevra l'hommage des fils du comte de la Marche pour ce qui est de sa mouvance dans les terres qui leur seront assignées par leurs parents. Cet hommage n'empêchera pas que ces terres puissent être saisies en cas de forfaiture.
  • Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, (lire en ligne), no 3569, p. 615-616
    1246, novembre : Commission donnée par les barons de France à quatre d'entre eux dont Hugues [XI] de Lusignan, comte d'Angoulême pour gérer leur alliance contre les empiétements du clergé.
  • Bélisaire Ledain, Histoire d'Alphonse, frère de Saint Louis et du comté de Poitiers sous son administration (1241-1271), Poitiers, Henri Oudin, (lire en ligne), no 5, p. 109
  • Georges Loquet, « Essais historiques sur les Baronnies du Nord-Ouest du Poitou comprises dans les Marches dites de Bretagne et de Poitou », Bulletin Périodique de la Société d'émulation de la Vendée, La Roche-sur-Yon, 5e série, vol. 5,‎ , p. 68-69 (lire en ligne)
  • chartularium Majoris-monasterii Turonensis, ordinis S. Benedicti ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis quas potuit comperire et describere, et ex chartulario ejusdem monasterii ; praemittitur series Abbatum Majoris-monasterii : opera et studio domni Natalis Mars (manuscrit latin), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5441 (3)) (lire en ligne), p. 347-348
  • Recueil d'extraits pour servir à l'histoire de Bretagne : (IXe – XVIIe siècle) (manuscrit français), Paris, BnF, coll. « manuscrit français » (no 22322), 1601-1700 (lire en ligne), no 18, p. 287
  • « Table des Sceaux », dans Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), n° LXXVIII : Hugues le Brun Comte d'Angoulesme, Tom. I. Plan. 8
  • « Table des Sceaux », dans Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), n° LXXVIII : Contrescel, Tom. I. plan. 8

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  • Cartulaire de l´abbaye royale de Notre-Dame des Châtelliers (éd. Louis Duval), Niort, Clouzot, (lire en ligne), CXII, p. 122
    1298, avril : Guy de la Marche, chevalier, seigneur de Couhé, et Gaucher [V], seigneur de Châtillon-en- Champagne échangent le château et châtellenie de la Fère-en-Tardenois contre le château et la châtellenie de Frontenay.

hathitrust.org

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  • Charles Bémont, « La campagne de Poitou, 1242-1243, Taillebourg et Saintes », Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, vol. 5, no 19,‎ , p. 299-305 (lire en ligne)
  • Charles Bémont, « La campagne de Poitou, 1242-1243, Taillebourg et Saintes », Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, vol. 5, no 19,‎ , p. 306-307 (lire en ligne)

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  • Frédéric Morvan, « La maison de Penthièvre (1212-1334), rivale des ducs de Bretagne », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, vol. LXXXI,‎ , p. 23 (lire en ligne [PDF])

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  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 854 :

    « Yolande de Bretagne qui épouse Hugues XI, frère de Marguerite, en 1236, est elle-aussi une Thouars par sa mère, Alix, fille du gardien de Bretagne, Guy de Thouars, et petite-fille de Denise de Lusignan. Cette union avec la famille ducale bretonne renforce aussi les liens des comtes de la Marche avec les Thouars. »

  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 996 :

    « S'il faut en croire François de Corlieu, qui dit avoir trouvé cette information dans le martyrologe de l'abbaye de La Couronne, Hugues XI aurait été inhumé dans ce monastère de chanoines réguliers angoumoisins, dans la chapelle des apôtres. »

  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 843 :

    « ...l'aînée, Isabelle épouse successivement le seigneur de Taillebourg, Geoffroy VI de Rancon et celui de Belleville, Maurice III de Montaigu, et la benjamine, Yolande, le châtelain de Préaux, en Normandie. »

  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 836 :

    « Marie de Lusignan vient vivre en Angleterre à la suite de son engagement per verba de futuro avec le fils du comte de Derby. Elle est attestée en 1254, alors qu'elle a 12 ans, à Windsor où elle possède un logement. »

univ-paris1.fr

cujasweb.univ-paris1.fr

  • Layettes du trésor des chartes (éd. Joseph de Laborde), t. III : de l'année 1247 à l'année 1260, Paris, Plon, (lire en ligne), no 3712 : Obligatio Hugonis de Lezigniaco, comitis Marchiae, qua se Alfonso, comiti Pictavensi, cum ei libuerit, castra sua redditurum pollicetur., p. 47
    1248, août : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche a obtenu du comte de Poitiers, Alphonse, qu'il reçoive l'hommage lige de son fils Hugues [XI] le Brun, pour Lusignan et pour le comté de la Marche à l'exception des biens et des revenus qu'il a conservé par devers lui ainsi que des parts qui sont prévues pour ses autres enfants. Il promet également de rendre son château de Lusignan à chaque fois que le comte le réclamera.
  • Layettes du trésor des chartes (éd. Joseph de Laborde), t. III : de l'année 1247 à l'année 1260, Paris, Plon, (lire en ligne), no 3728 : Conventiones initæ inter Hugonem Bruni comitem Engolismensem et Alfonsum Pictavensem comitem, de comitatu Marchie et castello de Lizigniaco, p. 50-51
    1248, vendredi 13 novembre, Paris : Hugues [XI] le Brun de Lusignan, comte d'Angoulême, fait hommage lige à Alphonse de Poitiers pour le comté de la Marche et Lusignan, à la demande de son père, Hugues [X], qui en conserve la jouissance sa vie durant. Hugues le Brun jure sur les Évangiles qu'il remettra le château de Lusignan et ceux de la Marche à Alphonse ou à ses envoyés chaque fois qu'il le lui demandera.
  • Layettes du trésor des chartes, ancienne série des sacs dite aujourd'hui supplément (éd. Henri-François Delaborde), t. V, Paris, Plon, (lire en ligne), no 529 : Hugo Bruni, comes Engolismensis, notum facit se cum Alfonso, comite Pictavensi, ad praesidium Terrae Santae Transfretaturum esse, p. 177-178
    1249, 24 juin, Paris : Hugues [XI] le Brun de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, passe avec Alphonse, comte de Poitiers, un contrat de retenue pour lui et onze chevaliers pour la croisade pendant un an contre une rente de 600 livres poitevines à asseoir à Niort, Poitiers ou la Rochelle, des gages de 40 sous par jour et la restauration des chevaux perdus, le tout assorti d'un prêt de 4000 livres tournois payables en quatre termes annuels à partir du 24 juin 1249, sur lequel 600 livres étaient concédées en don à Hugues tous les ans et le surplus, à raison de 400 livres par an, serait remboursé à Alphonse en quatre ans. En cas de décès, les chevaliers d'Hugues devront compléter son service.