Jean-Pierre Van Noppen, « Les hymnes dans le discours méthodiste », Études théologiques et religieuses, t. 90, no 2, (DOI10.3917/etr.0902.0247, lire en ligne).
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Théodore Nisard, Etudes sur la Restauration du Chant Gregorien au XIXe Siecle (etc.), , 544 p. (lire en ligne), p. 79.
Jean Heuclin, Hommes de Dieu et fonctionnaires du roi en Gaule du Nord du Ve au IXe siècle (348-817), , 404 p. (ISBN978-2-85939-551-3, lire en ligne), p. 122.
; « Comme la célébration des dimanches et fêtes débute toujours avec les premières vêpres du soir précédent, la discussion de la structure liturgique des offices commencera avec ce service (vêpres) » selon la tradition hébraïque. Mais essentiellement, c'est la règle pour tous les offices.
Jean Racine, Œuvres complètes, Édition du Seuil, Paris 1962, (ISBN2-02-000710-X) 631 p. p. 447, 455–456 ; il manquait cependant d'hymne des vêpres du samedi. Cela aurait été une hésitation de Racine, car la tradition des vêpres du samedi est la plus ancienne dans l'histoire des offices et son hymne était habituellement celle de Saint Ambroise, Deus, Creator omnium, en dépit de l'hymne O Lux, beata Trinitas dans le bréviaire romain (http://www.preces-latinae.org/thesaurus/Hymni/DeusCreator.html). Donc, celle-ci de Louis-Isaac Lemaistre de Sacy publiée en 1650 était généralement ajoutée pour l'usage (p. 447).