Fétis 1868, p. 75 écrit : « Le succès de la musique de Pleyel fut prodigieux. Il s'était surpassé et s'était montré digne de lutter avec son illustre maître. » Contrairement à ce que dit Fétis, les œuvres londoniennes de Pleyel n'ont pas été perdues : David M. Guion, The trombone: its history and music, 1697—1811, p. 270.