Jacques Chiffoleau, « Note sur la bulle Vergentis in senium, la lutte contre les hérétiques du Midi et la construction des majestés temporelles », dans Innocent III et le Midi (Cahiers de Fanjeaux, 50) Toulouse, Privat, 2015, p. 89-144. Texte latin et traduction de Vergentis in senium dans Patrick Gilli et Julien Théry, Le gouvernement pontifical et l’Italie des villes au temps de la théocratie (fin-XIIe-mi-XIVe s.), Montpellier, Presses universitaires de la Méditerranée, 2010, p. 553-561, chapitre 11, disponible en ligne.
(en) Christine Caldwell Ames, « Peter Martyr: The Inquisitor as Saint », Comitatus : A Journal of Medieval and Renaissance Studies, University of California, (lire en ligne, consulté le )
Jacques Chiffoleau, « Note sur la bulle Vergentis in senium, la lutte contre les hérétiques du Midi et la construction des majestés temporelles », op. cit. ; texte latin et traduction de Vergentis in senium dans Patrick Gilli et Julien Théry, Le gouvernement pontifical et l’Italie des villes au temps de la théocratie (fin-XIIe-mi-XIVe s.), op. cit., p. 553-561chapitre 11, disponible en ligne.
archives-ouvertes.fr
hal.archives-ouvertes.fr
Monique Combescure Thiry, « Les assassins de l’inquisiteur Pedro Arbués », sur HAL, Pratiques Hagiographiques dans l’Espagne du Moyen Âge et du Siècle d’Or, CNRS-UMR5136-Université Toulouse le Mirail-Toulouse II, Méridiennes, , p. 235-241
Monique Combescure, « San Pedro Arbués, l'inquisiteur assassiné », dans Homenje a Henri Guerreiro. La hagiografia entre historia y literatura en la España de la Edad Media y del Siglo de Oro, Universidad de Navarra. Iberoamericana. Vervuert, coll. « Biblioteca Aurea Hispanica », (lire en ligne), p. 405–420
books.google.com
Joseph Lavallée, Inquisitions religieuses d’Italie d’Espagne et de Portugal : depuis leur origine jusqu’à la conquête de l’Espagne, t. Ier, Paris, Richomme, Capelle et Renand, , 405 p. (lire en ligne), p. 395.
Cyrille Michon, « Conscience morale et liberté religieuse chez saint Thomas d’Aquin », dans Liberté des consciences et religion : Enjeux et conflits (xiiie-xxe siècle), Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », , 29–40 p. (ISBN978-2-7535-8895-0, DOI10.4000/books.pur.172483, lire en ligne)
« Anno Domini millessimo quadringentessimo octogessimo primo, Sixto IV pontifice maximo, Ferdinand V et Elisabeth Hispaniarum et utriusque Siciliœ regibus catholicis, Sacrum Inquisitionis Offîcium contra hœreticos judaizantes ad fidei exaltationem hic exordium sumpsit. Ubi post Judœorum et Saracenorum ex pulsionem ad annum usque millessimum quingen tessimum vigessimum quartum, divo Carolo Romanorum imperatore ex materna hereditate eorumdem regum catholicorum successore tunc regnante, ac reverendissimo domino Alphonso Manrico archiepiscopo Hispalensi fidei officia prœfecto, viginti millia hereticorum et ultra nefandum hœreseos crimen abjurarunt, necnon hominum fere millia in suis hœresibus obstinatorum postea jure previo ignibus tradita sunt et combusta. Innocentio VIII, Alexandro VI, Pio III, Julio II, Leonne X, Adriano VI (qui etiam dum cardinalis Hispaniarum gubernator, ac generalis inquisitor esset, in summum pontificatum assumptus est) et Clemente VII annuentibus et faventibus. Domini nostri imperatoris jussu et impensis, licenciatus de la Cueva poni jussit, dictante domino Didaco a Cortegana archidiacono Hispalensi, anno Domini millessimo quingentessimo vigessimo quarto. » Cité par Llorente, Histoire critique de l'inquisition d'Espagne, p. 274-275.
Juan Antonio LLORENTE et Philippe-Paul comte de Ségur, Histoire abrégée de l'Inquisition d'Espagne, … précédée d'un discours sur cette histoire par M. le Comte de Ségur. Quatrième édition, ornée de figures, (lire en ligne), p. 54
Cesare Cantù, Histoire universelle, (lire en ligne), p. 171
(en) Henry Charles Lea, A History of the Inquisition of the Middle Ages, Cosimo, Inc., , 601 p. (ISBN978-1-59605-620-6, lire en ligne), p. 237
Lea 1906-1907, tome IV, livre IX, chapitre 2, page 517 : « There is no question that the number of these has been greatly exaggerated in popular belief, an exaggeration to which Llorente has largely contributed by his absurd method of computation… ». De même, Gérard Dufour, spécialiste reconnu de Llorente, écrit dans l'article Juan Antonio Llorente, de servidor a crítico de la Inquisición (Historia 16, no 83, 1983, (ISSN0210-6353)) : « Lo que interesaba en la Historia crítica no era tanto lo que decía Llorente como lo que permitía decir contra los ultrarrealistas de otra sociedad secreta, muy temida por los liberales franceses: Congrégation. Creyendo hacer una obra histórica, Llorente había hecho obra política ».
newadvent.org
(en) « Inquisition », Catholic Encyclopedia, sur newadvent.org.
Raphaël Carrasco et Anita Gonzalez, « L’Inquisition après les Rois Catholiques : crise et résurrection (1517-1561) », dans Aux premiers temps de l’Inquisition espagnole (1478-1561), Presses universitaires de la Méditerranée, coll. « Voix des Suds », (ISBN978-2-36781-085-0, lire en ligne), p. 51–132
Cyrille Michon, « Conscience morale et liberté religieuse chez saint Thomas d’Aquin », dans Liberté des consciences et religion : Enjeux et conflits (xiiie-xxe siècle), Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », , 29–40 p. (ISBN978-2-7535-8895-0, DOI10.4000/books.pur.172483, lire en ligne)
Tertulien, trad. De Genoude, À Scapula (lire en ligne), Toutefois, chaque homme reçoit de la loi et de la nature la liberté d'adorer ce que bon lui semble : quel mal ou quel bien fait à autrui ma religion ? Il est contraire à la religion de contraindre à la religion, qui doit être embrassée volontairement et non par force, puisque tout sacrifice demande le consentement du cœur. Aussi quand même vous nous forceriez de sacrifier, il n'en reviendrait aucun honneur à vos dieux, qui ne peuvent se plaire à des sacrifices arrachés par la contrainte, à moins qu'ils n'aiment la violence. (§2.2).
uca.edu
libro.uca.edu
Bennassar, dans L'Inquisition espagnole, chap. I, p. 15-16, indique qu'Henry-Charles Lea« n'éprouvait aucune sympathie pour le Saint-Office », mais que la conclusion de son History of the Inquisition in Spain (1906-1907), qui « reste, en dépit de [son ancienneté], l'ouvrage le plus documenté sur le sujet », est que « Llorente exagère énormément » (tome IV, livre IX, chap. 2, p. 516-525). De même, Henry Kamen, dans The Spanish Inquisition: A Historical Revision, écrit : « Llorente came up with the incredible figures of 31,912 relaxations in person, 17,659 relaxations in effigy, and 291,450 penitents, a grand total of 341,021 victims. All the historical evidence has shown this greatly exaggerated figure to be without any foundation » (p. 280-281 de l'édition de 1965).
Lea 1906-1907, tome IV, livre IX, chapitre 2, page 517 : « There is no question that the number of these has been greatly exaggerated in popular belief, an exaggeration to which Llorente has largely contributed by his absurd method of computation… ». De même, Gérard Dufour, spécialiste reconnu de Llorente, écrit dans l'article Juan Antonio Llorente, de servidor a crítico de la Inquisición (Historia 16, no 83, 1983, (ISSN0210-6353)) : « Lo que interesaba en la Historia crítica no era tanto lo que decía Llorente como lo que permitía decir contra los ultrarrealistas de otra sociedad secreta, muy temida por los liberales franceses: Congrégation. Creyendo hacer una obra histórica, Llorente había hecho obra política ».