les cours ont lieu au 1, rue Talleyrand et au 31, rue Jean-Goujon (qui avait été le siège depuis 1932 de la Bank Pekao, polonaise). L'Hôtel de Monaco, rue Saint-Dominique, et, au fond de son parc, l'édifice de la rue Talleyrand, appartenaient depuis 1936 à l'ambassade de Pologne. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k586939t/f2.item.r=(prOx:%20"Institut%20allemand"%2022%20"rue%20saint%20dominique").zoom
Roland Krebs, Le programme de traductions de l’Institut allemand de Paris (1940-1944). Un aspect peu connu de la politique culturelle national-socialiste en France, dans Études Germaniques 2014/3 (n° 275), pages 441 à 461 https://www.cairn.info/revue-etudes-germaniques-2014-3-page-441.htm
. Les deux opéras furent Lohengrin et Le Chevalier à la rose, donné deux fois, par la troupe de l'Opéra de Paris (Germaine Lubin, Janine Micheau, Marisa Ferrer…) et l'orchestre du Grand-Théâtre de Bordeaux dirigé par Louis Fourestier. Le programme musical comporta en outre un récital de piano par Wilhelm Kempff ; un concert d'orgues en l'église Notre-Dame, par Fritz Werner(en) ; un spectacle au Théâtre Fémina, Chansons et musique de chambre chez les soldats et, en dernier gala de la Semaine, un concert militaire précédant la réception de clôture ! Deux films furent présentés à l'Apollo : Rembrandt de Hans Steinhoff, et Les Aventures du baron de Münchhausen. Il y eut également plusieurs conférences, la première par l'écrivain Paul Coelestin Ettighoffer(de) sur Le Livre allemand pendant la guerre, une autre par Heinrich Strobel, avec audition de disques : La Musique allemande contemporaine, une troisième de Werner Hager(de) sur Hans Holbein et son siècle, et une autre encore sur Le Théâtre allemand d'aujourd'hui par un docteur Lothar Schücking (sans doute pas Lothar Engelbert Schücking, qui mourut en février 1943). Les deux expositions portèrent l'une sur Hans Holbein, l'autre sur Le Livre allemand pendant la guerre
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. Les deux opéras furent Lohengrin et Le Chevalier à la rose, donné deux fois, par la troupe de l'Opéra de Paris (Germaine Lubin, Janine Micheau, Marisa Ferrer…) et l'orchestre du Grand-Théâtre de Bordeaux dirigé par Louis Fourestier. Le programme musical comporta en outre un récital de piano par Wilhelm Kempff ; un concert d'orgues en l'église Notre-Dame, par Fritz Werner(en) ; un spectacle au Théâtre Fémina, Chansons et musique de chambre chez les soldats et, en dernier gala de la Semaine, un concert militaire précédant la réception de clôture ! Deux films furent présentés à l'Apollo : Rembrandt de Hans Steinhoff, et Les Aventures du baron de Münchhausen. Il y eut également plusieurs conférences, la première par l'écrivain Paul Coelestin Ettighoffer(de) sur Le Livre allemand pendant la guerre, une autre par Heinrich Strobel, avec audition de disques : La Musique allemande contemporaine, une troisième de Werner Hager(de) sur Hans Holbein et son siècle, et une autre encore sur Le Théâtre allemand d'aujourd'hui par un docteur Lothar Schücking (sans doute pas Lothar Engelbert Schücking, qui mourut en février 1943). Les deux expositions portèrent l'une sur Hans Holbein, l'autre sur Le Livre allemand pendant la guerre