Gautier P « RFID et acquisition de données évènementielles : retours d'expérience chez Bénédicta », p. 94-96, Systèmes d'Information et Management - revue trimestrielle No 2 Vol. 12, 2007, (ISSN1260-4984) / (ISBN978-2-7472-1290-8), éditions ESKA. [6]
greenit.fr
Frédéric Bordage, « Empreinte environnementale du numérique », GreenIT.fr, lire en ligne
Pablo Mancini, En Internet hay más objetos que personas, [2], 21/07/2013 (Todo ser humano, durante un día normal, está rodeado por una media de entre 1.000 y 5.000 objetos, contando todo: desde el tenedor que usa para comer, el sillón donde descansa, etc., tal como lo explica Jean-Baptiste Waldner en Nano-informatique et intelligence ambiante)
Gautier P « RFID et acquisition de données évènementielles : retours d'expérience chez Bénédicta », p. 94-96, Systèmes d'Information et Management - revue trimestrielle No 2 Vol. 12, 2007, (ISSN1260-4984) / (ISBN978-2-7472-1290-8), éditions ESKA. [6]
« Internet des Objets : Arteria & Objenious fondent un partenariat national en vue d’accélérer la révolution numérique des territoires », Objenious, (lire en ligne, consulté le )
Oleg Demidov, From Right to Access to Network Intelligence, [3], Russian International Affairs Council, 12/04/2013, (ref#1: The Internet of Things boasts a market that is thought to cover dozens of billions or dozens of trillions of devices)
(en) Nathalie Devillier, « Santé et objets connectés : le risque de piratage, fantasme ou réalité ? », The Conversation, (lire en ligne, consulté le )
(en) Vincent Nicomette, « Nos objets connectés sont encore trop facilement piratables », The Conversation, (lire en ligne, consulté le )
(en) « MolluSCAN eye », sur L'utilisation de systèmes lointains abandonnés et communicants utilisant la capacité d'huîtres par exemple à "goûter" la qualité de l'eau en continu est une des voies possibles pour surveiller la qualité de nos eaux côtières. En fonction depuis 2006. CNRS, Université de Bordeaux..
[PDF] Étude L'Internet des objets, par Pierre-Jean Benghozi et Sylvain Bureau (Pôle de recherche en Économie et Gestion de l'École Polytechnique) et Françoise Massit-Folléa (programme Vox Internet II).