Ion Antonescu (French Wikipedia)

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archive.is

armenews.com

courriers.info

balkans.courriers.info

  • (ro) Nicolas Trifon et Norman Manea, « le témoignage littéraire dans l’engrenage de la concurrence mémorielle », Le Courrier des Balkans, jeudi , [7].

frontpagemag.com

  • Ce que les défenseurs d'Antonescu omettent de mentionner est que sort de la Roumanie après-guerre, avec ou sans le maréchal, était scellé depuis la Conférence de Moscou (1944) (dont la conférence de Yalta entérina les décisions). La délimitation des zones d'influence en Europe était sans relation avec l'attitude des différents pays pendant la guerre (la Pologne connut un sort similaire à la Roumanie), et du point de vue géographique, même si les armées occidentales avaient pénétré davantage en Europe centrale, elles n'auraient pas atteint la Roumanie, le plus oriental des « pays de l'Est », qui ne pouvait être que le premier conquis et occupé par les Soviétiques : cf. Alexandru Duțu, Mihai Retegan, Marian Ștefan, « România în al doilea război mondial » (« La Roumanie dans la Seconde Guerre mondiale ») in Magazin istoric, juin 1991, p. 35-39. Par ailleurs, lors de la retraite italienne du Dodécanèse, Harry Hopkins, principal conseiller de Franklin Delano Roosevelt, convainc ce dernier de ne pas participer à la campagne du Dodécanèse : vaincus par les Allemands fin 1943, les Britanniques perdent la possibilité de débarquer dans les Balkans et dès lors le sort militaire de la Roumanie et de ses voisins ne dépend plus que de l'Union soviétique : cf. Pascal Boniface, Le grand livre de la géopolitique : les relations internationales depuis 1945 - Défis, conflits, tendances, problématiques, éd. Eyrolles, Paris 2014. Pour avoir ainsi facilité l'extension de l'Union soviétique en Europe de l'Est, Hopkins a été accusé d'être un agent d'influence soviétique piloté par le NKVD via Ishak Ashmerov : cf. David Roll, The Hopkins Touch: Harry Hopkins and the Forging of the Alliance to Defeat Hitler, Oxford University Press 2013, ch. 6, p. 399 ; Eduard Mark, « Venona's Source 19 and the Trident Conference of May 1943: Diplomacy or Espionage? » in Intelligence & National Security, avril 1998, vol. 13, chap. 2, pp. 1 - 31 ; Verne W. Newton, « A Soviet Agent? Harry Hopkins? » in New York Times du 28 octobre 1990, [1] et John Earl Haynes, Harvey Klehr, « Was Harry Hopkins A Soviet Spy? » in Frontpage.Mag du 16 août 2013 [2]. Enfin, lorsqu'Antonescu fut renversé, les « Cinq de Cambridge », agents soviétiques qui dirigeaient les services de renseignement britanniques, avaient déjà persuadé les puissances Alliées que l'Europe orientale était pour elles une cause perdue d'avance : cf. Gianni Ferraro, Enciclopedia dello spionaggio nella Seconda Guerra Mondiale, editura Sandro Teti, (ISBN 978-88-88249-27-8).

gov.ro

dri.gov.ro

  • (ro) L'ordonnance d'urgence no 31 » du a pour objet « l'interdiction de l'organisation et symboles avec caractère fasciste, raciste et xénophobe et stimulation du culte de personnes coupables d'infractions contre la paix et l'humanité [11].

idee.ro

  • (ro) Jean Ancel, « Surse arhivistice despre Holocaustul din România », sur v.
  • (ro) Drăgan : Antonescu, II, no 23, p. 24, [5] Jean Ancel, Surse arhivistice despre Holocaustul din România.
  • (ro) Să se publice structura orașelor pentru ca să vadă și țara cât era de compromisă, și de amenințată viața economică și dezvoltarea spirituală din cauza ticăloșiei politicianiste iudeo-masonice a căror exponenți erau partidele “naționaliste” din Transilvania și Regat. Dacă voi lăsa moștenitorilor regimului aceeași situație, voi face și regimul meu părtaș la această crimă. Voi trece peste toți și peste orice greutate pentru a purifica nația de această neghină. Voi înfiera la timp pe toți acei care au venit – ultimul dl. Maniu – și vor veni să mă împiedice a răspunde dorinței majorității imense a acestei nații… Să se publice integral această rezoluție a mea odată cu publicarea statisticei și memoriului de față. Publicarea până la 10 septembrie Președenția Consiliului de Miniștri - Nota din 31 august 1942 cu adnotări ale lui Antonescu – (en) [6] Jean Ancel, Surse arhivistice despre Holocaustul din România.

ispaim.ro

  • (ro) L'Holocauste en Roumanie - Le télégramme de général Iacobovici au Cabinet militaire, le (Holocaustul în România - Telegrama lui Iacobici către Cabinetul militar din 22 octombrie 1941), [4]

itcnet.ro

  • (ro) Giurescu, Dinu C. : Cine poartă răspunderea? (Qui est le Responsable ?) [8].

lemonde.fr

nytimes.com

  • Ce que les défenseurs d'Antonescu omettent de mentionner est que sort de la Roumanie après-guerre, avec ou sans le maréchal, était scellé depuis la Conférence de Moscou (1944) (dont la conférence de Yalta entérina les décisions). La délimitation des zones d'influence en Europe était sans relation avec l'attitude des différents pays pendant la guerre (la Pologne connut un sort similaire à la Roumanie), et du point de vue géographique, même si les armées occidentales avaient pénétré davantage en Europe centrale, elles n'auraient pas atteint la Roumanie, le plus oriental des « pays de l'Est », qui ne pouvait être que le premier conquis et occupé par les Soviétiques : cf. Alexandru Duțu, Mihai Retegan, Marian Ștefan, « România în al doilea război mondial » (« La Roumanie dans la Seconde Guerre mondiale ») in Magazin istoric, juin 1991, p. 35-39. Par ailleurs, lors de la retraite italienne du Dodécanèse, Harry Hopkins, principal conseiller de Franklin Delano Roosevelt, convainc ce dernier de ne pas participer à la campagne du Dodécanèse : vaincus par les Allemands fin 1943, les Britanniques perdent la possibilité de débarquer dans les Balkans et dès lors le sort militaire de la Roumanie et de ses voisins ne dépend plus que de l'Union soviétique : cf. Pascal Boniface, Le grand livre de la géopolitique : les relations internationales depuis 1945 - Défis, conflits, tendances, problématiques, éd. Eyrolles, Paris 2014. Pour avoir ainsi facilité l'extension de l'Union soviétique en Europe de l'Est, Hopkins a été accusé d'être un agent d'influence soviétique piloté par le NKVD via Ishak Ashmerov : cf. David Roll, The Hopkins Touch: Harry Hopkins and the Forging of the Alliance to Defeat Hitler, Oxford University Press 2013, ch. 6, p. 399 ; Eduard Mark, « Venona's Source 19 and the Trident Conference of May 1943: Diplomacy or Espionage? » in Intelligence & National Security, avril 1998, vol. 13, chap. 2, pp. 1 - 31 ; Verne W. Newton, « A Soviet Agent? Harry Hopkins? » in New York Times du 28 octobre 1990, [1] et John Earl Haynes, Harvey Klehr, « Was Harry Hopkins A Soviet Spy? » in Frontpage.Mag du 16 août 2013 [2]. Enfin, lorsqu'Antonescu fut renversé, les « Cinq de Cambridge », agents soviétiques qui dirigeaient les services de renseignement britanniques, avaient déjà persuadé les puissances Alliées que l'Europe orientale était pour elles une cause perdue d'avance : cf. Gianni Ferraro, Enciclopedia dello spionaggio nella Seconda Guerra Mondiale, editura Sandro Teti, (ISBN 978-88-88249-27-8).

presidency.ro

canord.presidency.ro

  • (ro) L'histoire de décorations (Istoricul decorațiilor) - [3].

prezi.com

  • Sandru Cosmin-Marian, Imaginea României în presa internațională după 1989 (L'image de la Roumanie dans la presse internationale depuis 1989) sur [12] consulté le .

unibuc.ro

universalis.fr

video.google.com

wikipedia.org

en.wikipedia.org

worldwar2.ro

  • (en) Victor Nițu, Armata română în al Doilea Război Mondial - Marshal Ion Antonescu [9].

yad-vashem.org.il

  • (en) International Commission on the Holocaust in Romania (Commission Wiesel), Final Report of the International Commission on the Holocaust in Romania, Yad Vashem (The Holocaust Martyrs' and Heroes' Remembrance Authority), 2004, [10]

yadvashem.org

www1.yadvashem.org

ziua.ro

  • (ro) L'article du quotidien Ziua [13].
  • (ro) « La Haute Cour de Cassation et Justice de Roumanie a rejeté la réhabilitation partielle de maréchal Antonescu » (Instanța Supremă a respins reabilitarea mareșalului Antonescu) – (en) Ziua on-line, no 4224, , [14].