Adélaïde-Marie-Anne Moitte (auteur) et Paul Cottin (éditeur scientifique), Un ménage d'artistes sous le premier Empire. Journal inédit de Mme Moitte, femme de Jean-Guillaume Moitte, statuaire… 1805-1807, Paris, Plon, (BNF30957325), p. 221, cité par (en) Margaret A. Oppenheimer, Women Artists in Paris : 1791-1814 (thèse de doctorat en histoire de l'art), New York, New York University, Institute of Fine Arts, (lire en ligne), p. 249 et note 445.
books.google.com
Bulletin des lois du royaume de France, 9e série (Règne de Louis-Philippe Ier, roi des Français) 2e partie (Ordonnances), 2e section, tome 6, Ordonnances d'intérêt local ou particulier publiées pendant le second trimestre de 1834, bulletin no 114, no 6406 : « Ordonnance du roi qui autorise l'inscription au Trésor public de quatre cent quatre-vingt-six pensions civiles et militaires, », pp. 436-437 [lire en ligne].
« Notice biographique sur Louis Perin, peintre rémois, par M. A. Perin, son fils, communication de M. Fanart », Séances et Travaux de l'Académie de Reims, Reims, L. Jacquet, éditeur, vol. 1 « 5 juillet 1844-7 mars 1845 », , p. 273 (lire en ligne).
cairn.info
Marie-Jo Bonnet, « Femmes peintres à leur travail : de l'autoportrait comme manifeste politique (XVIIIe – XIXe siècles) », Revue d'histoire moderne et contemporaine, vol. 49, no 3, , p. 140-167 (DOI10.3917/rhmc.493.0140, lire en ligne). Voir la liste des « Autoportraits exposés aux Salons révolutionnaires », p. 165-167.
(en) « Isabelle Pinson, Portrait supposé de Madame Pinson [sic], mère de l'artiste », sur Christie's (consulté le ). Modèle identifié de façon erronée dans la source comme « Mme Pinson », patronyme de l'époux de sa fille. Les travaux de Boulinier permettent d'identifier correctement la mère de l'artiste.
Marie-Jo Bonnet, « Femmes peintres à leur travail : de l'autoportrait comme manifeste politique (XVIIIe – XIXe siècles) », Revue d'histoire moderne et contemporaine, vol. 49, no 3, , p. 140-167 (DOI10.3917/rhmc.493.0140, lire en ligne). Voir la liste des « Autoportraits exposés aux Salons révolutionnaires », p. 165-167.
essonne.fr
archives.essonne.fr
Archives de l'Essonne, Saint-Germain-lès-Corbeil, naissances, mariages, décès : registre d'état civil (1842-1857), 4E/2569, image 132 sur 156, Acte de décès d'Isabelle Proteau (no 21) dressé le pour un décès survenu la veille.
« Portrait de M. Pinson », sur Collections du département des arts graphiques - Musée du Louvre (consulté le ).
musee-orsay.fr
salons.musee-orsay.fr
Ses maîtres de peinture sont connus par les livrets du Salon. Aux Salons de 1801 et 1810, elle se dit élève de « MM. Vincent et Regnault », c'est-à-dire François-André Vincent et Jean-Baptiste Regnault, mais aux Salons de 1804 et 1806, elle indique plutôt « Mme Vincent et de M. Regnault ». Mme Vincent, pour les contemporains, désigne Adélaïde Labille-Guiard après son mariage en 1800 avec François-André Vincent. L'enseignement reçu par Isabelle Pinson de Vincent et Regnault est mentionné par l'ensemble des études, mais celui de Labille-Guiard n'a été signalé que par Lemoine-Bouchard 2008, p. 415.
Adélaïde-Marie-Anne Moitte (auteur) et Paul Cottin (éditeur scientifique), Un ménage d'artistes sous le premier Empire. Journal inédit de Mme Moitte, femme de Jean-Guillaume Moitte, statuaire… 1805-1807, Paris, Plon, (BNF30957325), p. 221, cité par (en) Margaret A. Oppenheimer, Women Artists in Paris : 1791-1814 (thèse de doctorat en histoire de l'art), New York, New York University, Institute of Fine Arts, (lire en ligne), p. 249 et note 445.